Vampire K: Sister and brother

Partie 1 Chapitre 1: De retour au bahu

Je marchais sur une route sombre, où il ne se trouvait aucune voiture. La lune était pleine et le ciel était sans étoile. J'étais pied nu, je pouvais sentir sous eux le béton froid et humide. Je cherchais dans le paysage quelque chose qui m'était familliée mais cette endroit, m'était belle et bien inconnu. Des arbres par ci par là qui ne laissaient parraitre aucun signe de vie derrière eux. Un vent glaciale vint chatouiller ma peau, me laissant la chair de poule au passage, je serra mes bras autour de moi histoire de me réchauffer, mais cela ne changea rien car elles étaient nues. Je remarqua que je portais qu'une chemise de nuit en satin vert ivoires. Autour de moi semblait régner une ambiance inquiètante, on se croirait dans un film d'horreur: une jeune fille seule, marchant sur une route sombre, une nuit de pleine lune, sa pouvait foutre la trousse à bon nombre de personnes. Mais c'est vrai ça, que faisais-je sur cette route en pleine nuit? Cette question venait juste de se poser dans mon esprit. Seul sur cette route, telle une évadée de prison, ou une personne fuyant son agresseur. Je commençais à tanger comme un bâteau perdant l'équilibre, comme si j'avais bu un verre en trop d'alcool. Un épais brouillard entourait le paysage dorénavent, m'empéchant d'aperçevoir le chemin. D'un coup un bruit retentit au loin, le bruit d'une machine. Je tendis l'oreille pour tenter de mieu l'entendre. Le bruit se rapprochait, une lumière aveuglante m'éblouit, je dus me cacher le visage à l'aide de mes doigts. Des phares. Une voiture fonçait sur moi à tout vitesse. J'eus à peine le temps de me jeter sur le bas côté, attérissant sur l'herbe humide. La voiture continua son chemin à toute allure comme s'il n'avait pas remarquer qu'il avait fahi renverser une personne. Je m'étais écorchée la paume de la main, et ma tête saignait, mes jambes étaient couvertes d'égratinures. Je tenta de me lever mais en vain, sa me faisait trop mal. Une chouette se posa sur la branche d'un arbre et commença sa chanssonnette. Le sons de plus en plus inquiètant, et l'endroit aussi. Je fis une effort surhumain pour me relever et pour continuer de marcher, la chouette continuait ses bruits étranges. Mon coeur battait la chamade surement la panique que j'avais fahi passer près de la mort. Soudain la chouette s'arrêta de chantonner et s'envola précipitemment me laissant seule dans cette nature hostile. Mais je sentais une présence, quelqu'un était sur l'arbre, je plissa les yeux pour mieu distinguer la silhouette mais celle-ci à une vitesse fulgurante me sauta dessus me projectant à nouveau à terre. La panique me reprit, et ma respiration s'accéléra et se faisait entendre. La silhouette se tenait à mes pieds, elle se baissa et violemment m'attrapa à une main par le cou. Nos visages face à face je pus aperçevoir la couleur de son regard: des yeux noirs giclaient de sang et plein de fureur. J'aurais pu crier mais aucun sons n'arriver à sortir de ma bouche, je n'eus pas le temps de retenter ma chance qu'il m'entaya le cou à cou de dents.

Je me réveilla en sursaut, le front couvert de sueur, et haletant comme si je cherchais à respirer de l'air qui me manqué. Je regarda autour de moi, ouf j'étais bien dans ma chambre. Je mis ma main à mon coeur il battait vite. Je me leva et tira les rideaux, les rayons du soleil pénétrèrent dans ma chambre ramenant une lumière orangée. C'était la rentrée aujourd'hui, et je n'avais aucune envie d'aller en cours. J'entendis les pneux d'une voiture qui roulait dans l'allée, puis sa claque-sonna. C'était Sylvia, qui me faisait bien entendre que j'étais comme d'habitude grave en retard. Je courus dans la salle de bain, je n'avais que dix minutes maxi avant qu'elle ne réveille Kaylie. Kaylie c'est ma mère. Oui je sais sa pourrait parraitre étrange que je l'appelle par son prénom mais c'est une habitude. Je trouve que quand quelqu'un à un beau prénom il faut bien l'appeller par cela. Je laissa l'eau coulait sous ma peau quelques minutes avant de sortir m'abiller. Je dénicha dans le placard un petit short noir déchirer, une t-shirt "beautiful day", un long giltet blanc et une bonnet swagi que je fourra sur mes cheveux bouclés, pas coiffés, et encore tout mouillés. J'attrapa mon sac et dévalla les marches des escaliers. "Oh mince mes chaussures!". Je fis demi tour attrapa ma paire de botte millitaire. Kaylie ouvrit la porte de sa chambre pour aller se préparer pour une nouvelle journée de travail au "Pretty little pink spa", quand je la bouscula au passage.