Vampire K: Sister and brother

Chapitre trois: corps disparu

Je dormais toujours, quand je sentis une main me secouer. Agacée je me retourna sur le côté.

-Mais réveille toi Kathelin, me disait une voix lointaine.

Je ne voulais pas me lever. Je savais qu'on était vendredi. Vendredi!

-Réveille toi bon sang! continua la voix.

Vendredi! Au merde, j'ouvris les yeux et constata que j'étais dans le jardin allongée sur l'herbe. J'avais passé toute la nuit là. Les évènements de la veille firent surface dans ma tête, me relançant dans un caho infini, ah non non, j'allais pas commencer à pleurer. Kévin était devant moi à m'observer de ses yeux noisettes, ils étaient grands ouverts, limite paniqués. Mais qu'est-ce qu'il avait?

-Quoi? demandais-je.

-Elle est partie, me dit-il la voix émue.

Je souffla, mon dieu mais qu'est-ce qu'il était long à la détante lui.

-Ah! C'est maintenant que tu t'en rends compte? demandais-je.  Sa t'arrive des fois de ...

Il ne me laissa pas finir et dit:

-Je te parle de son corps Kathelin, il n'est plus là volatisé, dit-il affolé.

-Quoi? dis-je désemparé.

Mais qu'est-ce qui se passé? C'était quoi ce cirque qui nous arrivait? Je regarda autour de moi, cherchant désespérement son cadavre. Je chercha dans les moindres recoins du jardin, entra même dans la maison peut être dans l'espoir qu'elle y était et qu'elle nous attendait dans la cuisine nous préparant notre petit déjeuné, comme tout les vendredi car elle commençait le boulot tard. Effectivement, elle n'était plus là. A l'endroit même où elle avait pu lâché son dernier souffle, était intact. A cette endroit précis, où son corps était déposé l'herbe aurait dû être plié? Mais rien. Aucune trace, s'était comme si il n'y avait rien eu.

-C'est pas possible, ais-je mentionné. Tout cela n'est-que sans doute qu'une simple farce.  

J'avais la sensation de tomber à des dizaines d'étages, tellement j'étais choquée. Des dizaines de questions se posaient dans ma tête, n'en sachant pas les réponses. J'étais perdue, effondrée, désemparée. Moi qui croyais que cette année allait bien se passée, qu'on profiterait de ces derniers moments ensemble avant que moi et Kévin allions à l'université. Mais il en était rien, maintenant qu'elle n'était plus là on semblait plongé dans le noir, dans un puit sombre et profond où on ne pouvait plus sortir. Elle laissait un grand vide et s'était horrible. Je m'effondra au sol, d'énormes larmes coulèrent le long de mon visage, depuis l'an dernier je m'étais promis de ne plus pleurer mais là s'était plus fort que moi. Je ne pouvais m'en empêcher.

-Qu'est-ce qu'on va faire? lui demandais-je dans l'espoir qu'il est une solution.

Il ne s'était pas rasé, il avait une barbe de trois jours, ses yeux étaient  cernés et fatigués. Il ressemblait tout simplement à un homme abattut.

-Franchement j'en sais rien, je comprend rien de se qu'il se passe. On devrait appeler la police se sont les seule personne qui peuvent nous aider.

Je repensa soudain à la veille quand j'étais dans les bois à côté de chez Liam. La personne qui m'avait fait peur, je me rappela de sa rage, sa colère, et la peur menvahi. C'était un message, je le prenais du moin comme ça, quelque chose pour nous avertir, et hier mon pressentiment avant de me coucher que tout ça n'était que le début d'une longue série d'évènement.

-Non, non surtout pas Kévin,  se qui se passe là n'est pas normal. Son corps n'a pas pu disparaitre comme ça. On ne peut pas aller voir la police on n'a aucune preuve qu'elle est morte, pas de corps rien. Toutes ses affaires sont là,  dans la maison, et j'ai l'impression que quelque chose se trame.

-Mais quoi? On ne va tout de même pas rester comme ça? demande-t-il.

-Mais réfléchie, lui-je. Elle est morte ici, on n'était dans la maison, si la personne aurait voulu nous tuer elle l'aurait déjà fait, non? Je sais que c'est difficile à comprendre mais fait moi confiance, on va menait notre enquête et si d'ici quelque temps on ne la trouve pas on va prévenir les autoritsé de sa disparition.

-Ok, ok comme tu veux, dit-il en tournant les talons.

Je souffla mais, mon dieu dans quelle galère on était?

                                                    Kévin

Je venais de rentrer et je regardais Lost, quand elle dessendit les marches des escaliers. Elle avait comme d'habitude dévalisée les marches quatre à quatre. Je savais qu'elle m'observait, car   je sentais son regard posé sur moi. J'aurais bien voulu la rassurer, lui dire que j'allais bien, qu'elle ne devait pas s'inquièter, et que si elle avait besoin je serais toujours là pour elle, même je sais elle pensait souvent le contraire. Mais je ne dis rien. Elle me posa une question, que je répondis sans lui jeter un regard. Puis elle devint de plus en plus bizar. Je m'étais tourné pour lui demander de me passer une canette, et vit qu'elle semblait ailleur, figée par quelque chose. Ses yeux étaient braquaient sur la fenêtre, elle ragardait le jardin. Elle semblait apsante, coupée du monde. Je revint à la série que je regardais, pour ne pas qu'elle remarque que je m'inquiètais pour elle. Déjà quand la déposant chez Liam je n'étais pas contente qu'elle aille trainée dans ce genre de fête surtout pas en présence de son ami Logan. En quelque seconde, elle se mit à courir dehor. Peut être qu'elle avait oublié quelque chose dehor. Mais j'entendis un cri strident, s'était elle. Je courus pour voir se qui se passé. Elle était à genou au sol et pleurait, regardant un corps. Maman! Le monde autour de moi s'effondra. Elle était par terre sur l'herbe allongée sans vie. Qu'est-ce qui s'était passée? Que lui était-il arrivé? On n'avait rien entendu, rien remarquer, pas un bruit rien. Je pensais juste qu'elle était dans sa chambre bouquinant ou préparant le programme de son salon d'estéticienne, mais non. Kathelin se trompait, sa me faisait quelque chose. C'était comme si on m'avait enfoncé un couteau dans mon coeur, je ne le montrais pas car c'était ma manière à moi de montrer l'exemple. Il fallait bien qu'un de nous deux reste fort, histoire qu'on tienne le cou. Je sentais que quelque chose se préparer, quelque chose d'horrible, se n'était plus qu'une question de temps.