Je ne me rappelais plus de se qui s'était passée, les choses s'étaient déroulées trop vite, j'essayais de me rappeler mais c'était trop flou dans ma tête: j'avais juste l'image d'Elodie devant moi, apeurée et une pulsion incontrolable en moi qui voulait que je lui saute dessus, mais la suite c'était le point noir apsolut. Je me réveilla dans la chambre de Sylvia dans son énorme lit de princesse. Un pyjama rose bonbon sur moi et les cheveux magnifiquement paignaient comme une poupée d'enfant. Je me sentais pleine d'énergie mais en même temps fatiguée. J'ouvris la porte et me dirigea vers le rez-de-chaussé arrivant dans le salon. Il y avait une grande cheminée en pierre ancien qui devait coûter une fortune. J'avais passé tout mes noêls dans cette maison, avec Sylvia on posait nos chaussons à côtés de la cheminée, et au-dessus on déposait toujours un verre de lait et des biscuits. Ils ont toujours été mangés. On n'avait continué à le faire même si on n'y croyait plus au père Noël mais cela resté comme une tradition. Beaucoup de souvenir me venait à force d'entrée dans les différentes pièces, j'avais l'impression que sa faisait une éternitée que je n'avais pas mise les pieds ici. La cuisine était vide, je regarda par la fenêtre, personne dans le jardin, et il faisait nuit. Je remonta à l'étage. J'arriva dans le salon dans haut: la piaule des ados comme Côme pouvait appeler cette pièce, on trainait toujours ici, surtout quand Sylvia invitait des gens. A gauche se trouvait la chambre de Conrad, il était depuis longtemps plus là, désormais à l'université de New-York avec Logan et passait le week and, mais cette pièce rester identique, Côme venait faire le ménage, et la poussière laissant cette pièce intacte. Je savais que je ne devais pas rentrer mais bon quelque chose m'attirée je ne serais l'expliquer, je n'avais pas mis les pieds dedans depuis deux mois comme tout le reste de cette baraque. Je tourna la poigné et entra. Les murs verts forêts les mêmes depuis ses douze ans, un grand lit à deux places était dans le fond et était défait, un bazard pas possible raignait dans la pièces. Je reconnus ses affaires qui m'étaient si familliées: son ordinateur portable sur le lit, une chemise froissait au sol que je lui avais offerte, des tonnes de livres d'université ouverts sur différentes pages, éparpillaient dans la pièce. En n'en tournant un je découvris une photo: nous deux sur le lit, moi le taquinant pendant que lui il faisait ses devoirs,il affichait comme moi un énorme sourire. On semblait heureux, et si différent d'aujourd'hui, ne nous rendant pas compte de se qu'il allait nous attendre, je reposa la photo là où je l'avait trouvé avant que la nostalgie n'apparesse. Je croyais qu'il avait jeté cette photo, mais non elle était là, dans ses affaires. " Non Kathelin c'est le passé, sa reste le passé, tu as déjà tourné la page" dis-je pour reprendre le contrôle. J'étais à genoux, me releva. J'allais faire demi-tour pour sortir quand j'entendis des voix dans la pièce, je me tourna. Personne, à part moi. Puis en regardant mieu je trouva une porte à côté de son amoir, je connaissais cette maison par coeur et je savais qu'il y avait une pièce derrière, je l'ouvris et soudain je crus que le sol sous moi s'était dérobée car j'eus un vertige, et je fahis tomber d'étonnement. Sur un canapé était assis Conrad, Elodie avait la tête posait sur ses cuisses , il lui caressait les cheveux, et elle lâcha un petit rire, il venait sur de lui faire une blague, puis elle lui déposa une baisé long sur la bouche, soudain ils tournèrent leur tête vers moi. Je ne me sentis pas bien du tout: écoeurée, dégoutée, énervée.
-Où sont les autres? réussis-je à prononcer pour essayer d'expliquer ma présence ici.
Elodie me détailla de la tête au pied, avec son regard que je n'aimais pas du tout. Conrad croisa mon regard et lit dans mes pensées.
-Il n'y a que nous, ils sont parti faire des courses, dit-il.
Je tourna les talons il vallait mieu pour moi que je m'éloigne de cette endroit, j'avais des envies de meutre de jour en jour tellement les gens arrivaient à me faire monter dans ma colère. Je marcha rapidement hors de la chambre, et quand je fus hors de vue je me mis à courir, j'avais les larmes aux coins des yeux et je faisais un immense effort pour ne pas les faire couler. Je dévala les marches quatre à quatre. J'entendais qu'il me suivait, je sortis de la maison par la grande véranda et arriva dans le jardin, juste en face de la piscine. Il se tenait derrière moi, je pouvais entendre sa respiration pas régulière après m'avoir poursuivit. Je devais le faire face, la première fois depuis deux mois, et je ne me sentais pas prête du tout à le faire.
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Vampire K: Sister and brother
VampireVous croyez peut être que c'est une histoire de vampire comme toute les autres mais attendez de la lire un peu. C'est une histoire de vampire de nos jours, le genre d'histoire qu'on aimerait vivre pour pimenter notre vie, notre quotidien pour qu'il...