Homophobie

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Soldat: Général, nous sommes arrivés.
Regis: Bien! Rayez-moi cet endroit de la surface de la PLANÈTE!

Chapitre 9: Homophobie

Gaspard couru entre les couloirs jusqu'aux cris de Michel. Il découvrit Boris et Michel, ce dernier collé à un mur et attaché.
Boris: Gaspard, toi aussi tu est dans le coup hein? Où est Laeticia?
Gaspard: ... Relâche Michel.
Boris: Ah non non non ça va pas se passer comme ça petit con d'espion.

Boris poussa Michel contre son père et sortit un couteau chromé.
Boris: vient là si tu l'ose.

Il se jetta sur Gaspard mais celui-ci le fit voler et lui donna un coup de coude dans la colonne vertébrale. Il tomba évanoui au sol.

Michel: Mais... Depuis quand tu sait faire ça?
Gaspard: Je sait pas moi-même. Viens, on se barre.
Père de Michel: Et vous ne me prenez pas?

Tout les deux se retournèrent. Le vieillard était une loque.
Gaspard: Je ne prends pas les ordures dans votre genre.
???: AVIS À TOUS, BOMBARDEMENT EN APPROCHE! JE RÉPÈTE, BOMBARDEMENT EN APPROCHE, CECI N'EST PAS UN EXERCICE.
Gaspard: de mieux en mieux...
Père de Michel : Vous allez pas me laisser là quand même hein? Genre je suis gentil et en vrai on m'a forcé, sinon je suis comme vous, un ga...

Gaspard donna un grand coup de pied dans le vieux, ce qui l'assomma.
Gaspard: Je ne respecte pas les ordures dans ton genre.

Ils s'en allèrent mais le monstre se retourna une dernière fois.
Gaspard: j'espère que dans ta prochaine vie tu souffrira éternellement.

~⭐~

Soldat: Général, nous n'attendons plus que votre ordre pour larguer les bombes.
Régis: Bien!

Il s'approcha de la baie vitrée de l'aéronef et regarda les ruines de ce qui était autrefois la tour Eiffel.
Régis: Ce jour, j'en suis sûr, restera dans les grandes marques de cette guerre. Vous pouvez y aller.

Le lancement fut immédiat. Des centaines de milliers de petites bombes pleuvaient sur les ruines du symbole Parisien. Un tonnerre de feu et de poussière s'abattait, à l'image de la haine du Général.
Après plusieurs minutes de cette violence la pluie s'arrêta.
R

égis dû reprendre son souffle, le spectacle l'ayant sûrement mis hors-de-lui. Il se releva et replia la cravache sur le long de son bras.
Régis: Je veut fouler ce nouveau monde de mon pied. Atterrissez et préparez un drapeau s'il vous plaît.
Le soldat eu un mouvement de recul. Le général Régis, poli?! Depuis le temps qu'il commandait l'aéronef comme second il n'avait entendu le général être poli seulement deux fois: une fois quand l'équipage était monté pour la première fois, il l'avait invité à embarqué à sa place en signe d'un nouveau monde qui allait se créer et aujourd'hui, là, après avoir éradiquer ce qu'il restait de la résistance LGBTQIA+

Régis : Et vous viendrez me voir dans mon bureau après Hugo.
Soldat (donc Hugo): ?!
Régis : Me suis-je mal fait comprendre?
Hugo: N-Non mon général. Bien mon général. Amorçage la descente!
Machiniste: Amorçage de la descente!

Dans un soubresaut le véhicule commença à se rapprocher du sol. À peine posé, Régis s'en alla dans la porte principale et foula les gravillons de sa botte. Le sol grinça sous ses pas. Le plaisir inconditionnel d'avoir éradiqué ces satanés gay l'envahissait. Si il aurait été seul, il aurait crié à plein poumons.

Hugo: Tenez monsieur.
Hugo lui tendis un drapeau rouge sang.
Régis: Et si vous faisiez ça? C'est plus grâce à vous et vos recherches que nous en sommes là.
Hugo: Général, vous vous sentez bien?

Il jeta un regard sur les trois soldats qui leur servaient de garde à quelques mètres. Était t-il le seul à trouver que le général Régis était bizarre?
Régis: Ne discutez pas mes ordres second!

Aussitôt l'officier planta le drapeau sur les ruines du QG.

Aussitôt l'officier planta le drapeau sur les ruines du QG

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Régis: voilà une bonne chose de faite. Suivez-moi Hugo, il faut que je vous parle.
Le concerné crû entendre un bruit venant de leur forteresse volante mais ne s'en préoccupa pas.

~⭐~

Le bureau du général était des plus formels possible. Seul une photo d'une femme au trait de vieillesse visible accompagnée de deux enfants; une petite fille rousse et un bambin d'à peine trois ans, courant tous ensemble vers la personne qui prenait la photo était présente.
Régis: Prenez un siège Hugo.
Hugo: Quel est la raison de ma convocation?

Régis : Savez-vous depuis combien de temps je me bats pour exterminer cette racaille? Combien de pays j'ai traversé? Des dizaines, peut-être même des centaines. Et je considère qu'aujourd'hui après avoir rasé ce qui restait de la résistance de notre ancienne et belle France il est temps pour moi de prendre une retraite bien méritée.
Hugo: PARDON?! J'imagine que c'est une blague général? Vous, le général Régis, héros de l'armée qui as mis fin à lui tout seul des hostilités dans plusieurs pays, vous voulez arrêtez votre traque?
Régis: Oui.

Hugo rigola tellement jaune qu'il aurait pu invoqué un Japonais.
Hugo: Mais bien sûr général, je vais vous croire.
Pour toutes réponse Régis donna une tape sur l'épaule de son second et ouvrit la porte du cabinet.
Régis: Je pense retourner en Espagne voir ma femme et mes enfants une dernière fois. Mon dieu Qu'est-ce-qu'ils ont dû grandir depuis cette photo.
Et il s'en alla.

~⭐~

Michel: Quand même, j'ai encore du mal à croire qu'on est réussi à s'infiltrer si facilement ici.
Gaspard: chut!
I

ls trainaient dans les conduits d'aération. Pendant que l'aéronef c'était posé ils étaient entrer et c'étaient glissés dans l'une des grilles du complexe.
Michel: Quand je pense à ceux qui n'ont pas survécus au bombardement.
Gaspard se mordit la lèvre. Il pensa que Laeticia n'avait déjà pas survécu à ce qu'il était devenu.

Michel: Gaspard, ça va?
Gaspard: Mais ta geule!
Le monstre ce serait retourné si il l'avait pu et si un bruit de porte qui s'ouvre ne l'avait pas dérangé. Ils se hâtèrent à la grille et virent un homme bourru entrer dans ce qui semblait être une chambre et poser une cravache.
Régis: Encore deux jours et je quitterais ce vaisseau. Hugo fera un très bon capitaine.
Il efleura la photo d'une femme assise dans un champs de fleurs.
Régis: Je serais bientôt là Géraldi-

D'un mouvement imperceptible et rapide Gaspard avait bondit sur le général et lui avait craqué la nuque froidement. Michel tomba sur le sol louredemment.
Michel: Gaspard! Tu viens de tuer un innocent!
Gaspard: Ce n'était pas un innocent, il avait le sang de gens sur les mains.
Michel: Et maintenant tu as le sien sur les tiennes!

Un silence.
Michel: Je ne peut pas te laisser tuer des gens impunément.
Il sortit un 9mm de derrière sa ceinture.
Gaspard: J'en étais sûr, tu est la même raclure que ces autres homophobes.
Michel: Gaspard, ça ne m'amuse pas...
Gaspard activa la bête qui était en lui.
Gaspard: et moi encore moins...

~⭐~

Voilà c'est la fin de ce chapitre.
J'espère que vous détestez Gaspard maintenant.

Parlons Peu, Parlons LGBTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant