Léo Fox - La légende Hocto [en pause]

Chapitre 11 - le retour

Il en était finalement finis de son séjour en enfer et il espérait ne pas y retourné de si tôt. Le Soleil, si beau, était entrain de se coucher se qui créait gde magnifiques couleurs dans le ciel. À droite, au sud (il avait une boussole avec lui c'est ainsi qu'il savait où le sud se trouvait), un dégradé allant du bleu au vert. Léo pouvait déjà voir quelques étoiles puis il vit une étoile filante. Cette instant, il aurait aimé qu'il dure des heures, en a peine une seconde, il avait vu quelque chose de si majestueux, de si flambant, de si rapide. Léo n'eut bien entendu pas le temps de réalisé un veux car l'étoile était si rapide mais pendant ce court instant, il avait repensé à sa vie avant son aventure, quand il était encore en classe, quand les professeurs parlait de la guerre W5 comme si ce n'était pas grand chose, pas important, mais Léo lui, voyait au dessus de ça, lui, ce qu'il avait compris était que le peuple Woshis se faisait discriminer pour rien. Cet instant lui avait permit de se vider l'esprit et même si il n'avait pas formulé de veux, maintenant, grâce à l'étoile filante, il avait un nouvelle objectif en tête. Il voulait maintenant trouvé le trésor de la légende Hocto mais aussi sauve le peuple Woshis, les libérer de leur cage satanique. Avec ça en tête, il regarda de l'autre côté pour voir la couleur du ciel, de ce côté, elle avait un dégrader allant du mauve au rose. Cette fois ci, Léo observa la nature; si charmante, si douce comme si elle pouvait t'empoter doucement au vent. Léo remarqua aussi une chouette entrain de chasser une souris. Il se rendu compte que la nature tait comme un piège, une fois que tu es attiré par elle, elle t'attaque de tous les côtés. Quand Léo arriva enfin à sortir son regard de la forêt sombre avec seulement la pointe des arbres éclairé par la lueur de la lune, il commença à marcher vers la droite. Assez miraculeusement, en sortant des souterrains, il c'était retrouvé devant la forêt où il avait passé quelques heures au paravent. Il pouvait donc une approximation du temps que ça lui prendrait de rentrer et finit par se dire que ça lui prendrait 15-20 minutes, ce qui lui laisserait beaucoup de temps pour penser au future. On avait souvent dit à Léo qu'il ne fallait pas trop penser au future mais plutôt vivre le moment présent mais Léo justement, adorait planifier tout car il savait que la plus part du temps rien n'irait comme prévu et Léo aimait imaginer se qui tournerait mal et la plus part du temps, il était surpris car il n'avait pas pensé à ce cas de figure. Pendant qu'il marchait, il pensa à ce qu'il allait manger et il se dit qu'il mangerait des fruits car lui et a Oxy serait au court de nourriture. Ou alors, il penserait à ce qui se passerait le lendemain, est-ce qu'il trouverait de quoi remonter, comme une corde ou des semblants de pioches pour pouvoir escalader mais repensa vite à tous les problèmes qui viendrait avec comme le fait que même avec une corde, une personne devra quand même escalader jusqu'en haut pour pouvoir attacher la corde qui pourrait aider l'autre personne. Le problème étant que une personne escaladant une falaise aussi haute que ça sans matériels ni corde de secours a une plus grande chance de mourrir que de survivre. Malheureusement, Léo ne trouvait pas de solution car pour qu'il remontent, un des deux devrait risquer sa vie et ça, on ne pouvait  pas l'éviter. (Sans mauvais jeu de mots) Comme il marchais en direction de ce qui a été sa maison pendant quelques jours, il reconnu les alentour et fut donc content de finalement rentrer « chez lui ». Oxy était là, il avait l'air d'avoir attendu pour longtemps. Soudain, Oxy bondit, non pas pour saluer Léo mais bien pour le frapper. Léo, bien entendu, ce prit son point en pleine face. Dans la tête de Léo, « chez lui », ce n'est pas un coup de point pour essayer de te chasser de ton chez toi mais dans sa tête, c'est un à droit ou il peut dormir.

-« Franchement, partir comme ça toute la journée sans dire un mot, et tu pense quoi, que tu pourras revenir sans aucune conséquence?! » dit Oxy avec des yeux emplis de rage.

-« Baaah, je me suis perdu. » dit Léo.

Comme réponse, Oxy retourna juste sur sa pierre. Léo fit de même pour ne pas rester la sur le « chemin », planté comme un piquet. Léo passa une nuit tranquille, sans cauchemar, se qui était quelque chose. Le matin, les deux ados se firent réveillé par Le Soleil. Ainsi, il se réveillèrent simultanément. Malgré ça, Oxy ne prit pas la peine de parler à Léo et même quand Léo, ce qui était d'habitude assez rare, engageait la conversation, Oxy ne répondait pas non plus. Finalement, après 20 minutes de blanc total, Oxy dit à Léo que sans son aide, il serait coincé là pour toujours, plus tôt, Oxy avait pensé à ça et donc quand il avait vue que Léo était partit, il avait pris peur, c'est pourquoi il en faisait tout un plat. En entendant les propos d'Oxy, Léo réalisa qu'il avez été très égoïste depuis leur rencontre, c'était toujours moi je vais faire si et ça. La seul fois où il avait pensé à Oxy, c'etait quand ils avait essayer d'apprendre la langue de l'autre et même cette fois, il avait quelque chose à gagner de cette rencontre. Il se demanda ensuite quel était la cause de son égoïsme. Il se dit d'abord que c'était l'environnement dans lequel il avait grandi mais il se rappela à l'ordre et se dit que c'était trop facile de rejeter la faute sur les autres, en plus, là n'était pas le problème. Ensuite, il se dit que c'était son entourage, et il semblerait qu'il ai eut raison car cela faisait du sens; il avait toujours été tout seul, donc il n'avait pas eut besoin de penser aux autres. Maintenant qu'il avait trouvé d'où venait le problème, il devait trouver une solution. Il se dit que pour l'instant, il se dirait constamment qu'il est avec quelqu'un et il verrait le résultat. Si ça ne marchais pas il changerait de tactique, et dans le cas contraire, il trouverait d'autres moyen pour accentuer le fait qu'il ne soit pas tout seul. Finalement, il s'endormit car le lendemain, comme tous les jours précédent, serait long et dure sur eux. Pendant trois jours, leur journées se répétèrent, ils se levaient aux aurores, cherchait les objets qui pourrait les aider à escalader la falaise sans jamais ne rien trouver puis le soir Léo penserait à toute sorte de chose comme comment être moins égoïste ou comment les sortir de là... Le lendemain matin, un homme qui semblait familier aux yeux de Léo se présenta « chez eux ». Il était grand et avait l'air très amical. Il avait la mâchoire assez carré qui aurait fait peur a tout le monde si il n'était pas entrain de sourire de toute dents. Aussi, il avait une petite touffe de cheveux sur la tête. Le gars commença à parler: « Salut, je me demandais si nous pouvions faire une alliance car mon équipe avait disparue quand je me suis réveillé il y a deux matins de cela. Depuis, j'ai été à la recherche de n'importe qui seraient ici. ».

-« Nous accepterions avec joie mais nous sommes nous meme coincé ici, nous avons aucun moyen de remonter. Si, vous cherchez simplement une équipe avec qui survivre, on serait les bonnes personnes. » dit Oxy d'un ton très gentil.

-« Je serais ravis de vous accompagner malgré le fait que vous n'ayez pas de matériel. Si vous voulez remontez, vous y arriverez je n'en doute pas! »  dit l'homme à la mâchoire carré.

-« Dans ce cas, je vous invite à vous joindre à nous, je m'appelle Léo »

-« Et moi c'est Oxy »

-« Je m'appelle Languu, merci de m'accueillir! » dit le nouvel arrivant.

Léo et Oxy montraient à Languu tout l'espace dans lequel ils avaient habité pendant quelques jours. Heureusement, il y avait une autre pierre où Languu pouvait dormir. Ils lui expliquèrent aussi que pendant la journée, ils partaient du camp et se déplaçaient pour trouver de la nourriture et autres objets utiles... Une fois le tour complet, il était déjà midi car même si leur camp était petit, ils avaient bien pris le temps de le faire visiter. Pour le midi, ils mangeaient des fruits qu'il avaient cueillis la veille. Ils avaient la chance de mangé des fraises des bois, des myrtilles et même deux, trous bananes. Ils avaient fait une salade car ses fruits s'assortissent bien ensemble. Ils continuèrent de parler de sujets diverses et d'un coup, Léo dit une question en anglais, il se demandait si Languu s'avait parler anglais, comme ça il répondrait du tac au tac et n'aurait pas la possibilité de mentir.

-« Who were your teammates in your old group? » dit Léo.
     (Qui était t'es camarades dans ton ancien groupe?)

-« Désoler, dit Languu, je parle simplement le français et pas les autres langues provinciales. »

-« Oui, je m'excuse, j'ai l'habitude de parler comme ça... » dit Léo.