Je dois l'avouer, parfois j'ai peur. En façade j'essaie de le cacher mais la nuit révèle mes secrets. Sans crier gare elle s'en empare. Devenue reine de mes états d'âme, en sa présence coulent les larmes. Je baisse les armes...
Seule j'ai peur et j'ai peur d'être seule.
Dans une pièce sans fin je suis enfermée.
Par un sentiment d'oppression je suis habitée.Courant dans le noir à la recherche d'une sortie.
Mes pensées sont aussi brouillonnes que cet écrit.
Prise dans l'euphorie, je parle, je crie, j'écris!
Comme par un courant emportée, je ne peux m'arrêter de penser, de penser, de penser, de...Puis ma tête fatiguée se décide à arrêter. Le temps d'un instant la lumière j'ai trouvée.
Le soleil se levait, aux yeux de tous montrait un champ de bataille dévasté.
La bataille livrée, les soldats étaient partis se coucher et seul restait allongé, dérivant entre deux mondes partagés, leur kaporal qui bêtement souriait...
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Mes pensées dévoilées
Thơ caTout ce qui me passe par l'esprit avec un soupçon de poésie. Archives des méandres de ma tête depuis 2019.