La Nouvelle guerre des boutons

Chapitre 6:

PDV Lexy:

Quand j'ai vue les regards de mon frère ainsi que de l'Aztec envers lui, j'ai baissé les yeux de gêne.
Mon frère m'a alors prit le bras en s'exclamant:
"Viens Lexy on bouge!"
Lebrac c'est retourné vers les Velrans en leur disant:
"Je vous interdit de vous approchés de ma sœur, j'espère avoir été clair."
Nous avons alors rebrousser chemins et nous avons été sur la place du village où tous nos amis se retrouvent pour jouer.

PDV l'Aztec:

Non mais pour qui il se prend celui-là! Je m'approche de sa sœur si je veux !
Et puis l'autre la, de quel droit il ose la regarder! Je vais lui régler son compte à ce connard !
"Je peux savoir ce qui t'arrive ?". Ça c'est lui qui ose me poser la question !

"Tu veux vraiment savoir ce qui m'arrive ?". Je pense qu'il n'est pas prêt de la réponse!

Je lui réponds en me rapprochant dangereusement de lui: " Écoute moi bien! Tu es ici parce que j'ai eu pitié de toi!"
Je l'ai alors pris par le col de son tee-shirt: " Si jamais j'apprends que tu as essayé de lui parler ou même de la regarder je te tuerais! Je me suis bien fait comprendre ?". Il a alors secoué la tête très rapidement de haut en bas.

Non mais quel clochard, c'est vrai quoi elle est à moi!

Il faut absolument que je la vois et que je lui parle! Cette envie devient presque primordial.

PDV Lexy:

11h46:

Une fois arrivé sur la place du village avec mon frère.
J'ai prétexté être fatiguée afin de pouvoir rentrer à la maison.
Je suis alors rentrée. Personne n'était là.
Ma mère devait être au marché tandis que mon père devait être au bar avec ses amis à se remémorer des vieux souvenirs d'époque.
J'ai alors mangé rapidement et je suis monté dans ma chambre.
Cela devait faire 20 minutes que j'étais en train de lire quand j'ai entendu des coups à ma fenêtre, comme des cailloux qu'on lance.
Je n'étais pas sûr d'avoir entendu donc j'ai attendu que le bruit réitère.
Je me suis donc levé lentement d'appréhension et est ouvert ma fenêtre.

En regardant en bas j'ai vu l'Aztec près à relancer des cailloux. Il c'est stopper dans son geste en me voyant.
-" Qu'est-ce que tu fais là ?!"

-"Il fallait absolument que je te vois!"

-"Mais t'es complètement malade, si jamais mon père ou mon frère te voit, on est morts tous les deux !"

-"T'inquiète je ne vais pas faire de bruit, je peux monter ?"

-"Tu crois y arriver ?"

-"Pour qui tu me prends ?"