La fin de Danganronpa V3 est tragique, Shuichi Saihara le seul survivant de cette tuerie est plongé dans le desespoir. Alors qu'il tente d'en finir sans même sortir du jeu, une possiblité se montre à lui : il peut recommencer Danganronpa en gardant...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Kokichi: Dis je peux... te faire un câlin ?
Hein ?
Je reste d'abord quelques secondes à me demander si j'ai bien entendu ce que j'ai entendu, une telle demande de la part du despote est plutôt... inatendue. Mais vu comme il me regarde avec insistance, j'ai du bien entendre.
Shuichi: Oui, si c'est ce que tu veux.
Le despote s'avance vers moi puis rentre dans mes bras, mos dos appuie un peu plus sur le bois du lit, mais sans me faire mal. Ce n'est pas le plus confortable, mais il y a pire.
Nous restons comme ça un petit moment, je carressais les cheveux du violet et l'embrassais sur sa tête. Il s'est endormi alors pour ne pas le réveiller, je ne bouge pas et finis par m'endormir à mon tour.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Un gros "toc toc toc" nous réveille tous les deux en sursaut. Je me dirige vers l'entrée tandis que Kokichi se cache en dessous de lit. J'ouvre la porte et vois Kaito qui avait l'air inquiet car dès qu'il m'aperçois dans le creu de la porte, il soupire de soulagement.
Kaito: Il est 22h passé et tu n'es toujours pas arrivé, je m'inquiétais ! Surtout que ni toi, ni le gremlins n'étaient présent au diner de ce soir ey puis c'est pas ton genre d'être en retard.
Je dois en conclure que le "gremlins" c'est Kokichi... Enfin, je n'avais pas vu l'heure passer entre le jeu, le câlin et la sieste.
Shuichi: Désolé, je me suis endormi en lisant un livre. Rejoins Maki, j'arrive dans cinq minutes.
Kaito: J'y vais. Ne sois pas en retard de nouveau. Dit-il en partant vers le point de rendez-vous.
Dès que je ferme la porte, le despote sort de sa cachette. Il a l'air aussi surpris que moi de l'heure qu'il est, je crois que sans Kaito, on aurait pu dormir comme ça jusqu'au lendemain matin, ça ne m'aurais pas déplus. M'enfin, je me prépare vite et sors avec le plus petit qui rentre dans sa chambre, il a entendu la conversation avec l'astronaute donc je n'ai pas besoin de lui expliquer.
