Partie 3: C'est mon anniversaire?

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Par Tante-Diane

vendredi, le 13 mai

Complétement confuse, je me levai de mon lit. Quelle heure est-il?, me demandai-je et jetai un oeil sur mon horloge. Il était 6h59. Donc une minute avant que mon réveil sonne. J'éteignai mon réveil puisque j'étais déjà debout. Mais quel jour est-il? Il y a quelque chose qui m'échappe...

«JOYEUX ANNIVERSAIRE TANIA!», me cria ma mère dés que j'eus descendu les escaliers.

C'est mon anniversaire! Mais quelle idiote que je suis! Je l'avais complétement oublié aprés la peur que j'ai eu hier!

«Merci maman...», je répondis en laissant ma mère m'entreigner avec toute sa force.

Mon père descendit les escalier et me souhaita un joyeux anniversaire. Je le remerciai et me préparai pour aller au lycée.

Dés que j'entrai dans la salle de classe dans laquelle le professeur n'était pas encore là, mes amies me criérent un joyeux anniversaire.

Tout le monde était gentil avec moi, donc j'étais très contente et je ne me souciais de rien...

Dans la pause du midi une annonce arriva dans notre école: Demain, on ne pourrait plus aller à l'école parce qu'il y avait des personnes infectées avec la nouvelle maladie. Il est supposé que les personnes ont été infectées par les animaux mangeurs de chair humaine. Ces personnes infectées appelées ''les morts vivants'' deviennent une menace pour l'humanité. Les scientifiques ont découvert que les morts vivants aussi mangent de la chair humaine. Ils essayent aussi de trouver une cure pour cette nouvelle maladie.

Ont était tous choqués. D'un jour à l'autre, l'humanité est en danger? La nouvelle maladie se propage vraiment vite.

Une partie des lycéens était jubilants à l'idée de ne plus avoir besoin d'aller à l'école, même si on aurait des cours par écran.

Moi aussi j'étais contente de ne plus avoir besoin d'aller à l'école, mais j'étais aussi un peu inquiéte.

«Eh Tania? On va quand même fêter ton anniversaire?», me demanda soudain Clara.

«Mais bien sûr!», lui répond Anne. «On doit quand même fêter son anniversaire. On ne fête son anniversaire qu'une fois par an!»

«Mais vous devrez rentrer plus tôt à la maison, je ne veux pas que vous attrapiez cette maladie!», leur dis-je aussitôt. Pas question qu'elles fassent la fête jusqu'à minuit!

« Très bien, alors on n'a qu'à commencer ta fête plus tôt!», dit Jeanne, excitée.

Comme prévu, ma mère et moi on irait acheter mes cadeaux et ensuite, on se rencontrerait avec mes amies à ma maison. J'espère que tout se passera bien...

Elles ne devraient arriver qu'à 18 heures mais à cause de ces derniers événements on a décidé qu'elles arriveraient à 16 heures.

Un peu plus tard...

Ma mère et moi, on retournait à la maison pour tout préparer avant que la fête commençe quand soudain ma mère et moi, nous remarquâmes que quelque chose n'allait pas... Une ambulance se trouvait juste devant ma maison. À côté de ma maison, je vis le vélo de Sammy, une autre de mes amies du lycée. Mon coeur se mit à battre plus vite. Que s'est-il passé? Sammy était-elle arrivé plus tôt que prévu? Qui s'est blessé?

Je courus vers l'ambulance et demandai à un des ambulanciers ce qui s'était passé. L'ambulancier m'expliqua à moi et à ma mère que Sammy avait été mordue par un des animaux infectés. Sammy s'était évanouie et sa morsure était d'une étrange couleur verte néon. L'animal s'était enfui dés qu'il avait vu l'ambulance. C'était un passant qui avait appellé l'ambulance. Les ambulanciers nous ont interdit de nous asseoir dans l'ambulance avec Sammy jusqu'à l'hôpital donc on dût rentrer à la maison.

Je m'assieds sur une chaise dans la cuisine. Je tremblais de tout mon corps. Je voulais appeler mes amies et leur dire que c'était trop dangereux. Je pris mon portable et essayai de les appeler. Personne ne déchrocha. Je leur écrivai des messages, mais personne ne me répondit. C'était sans espoir. Mes amies viendraient avec ces animaux infectés menaçant de les mordre.

Le temps passait et mes amies étaient en retard. Elles ne m'avaient pas répondu à mes messages. Pour couronner le tout, mon père aussi était en retard.

J'étais tellement nerveuse que mon estomac s'était noué. Ma mère me mit sa main sur mon épaule et me dit d'un ton qui se voulait rassurant :«Il y a peut-être beaucoup de traffic dans les cités. Tu veux manger quelque chose en attendant?»

«Non merci maman...», je répondis. Dans l'état de nervosité que je me trouvais, je n'arriverais jamais à avaler quelque chose.

Soudain, j'entendis la porte d'entrée qui s'ouvrait avec un déclic...

À suivre...

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