Chaton

Chapitre 1

Je m'appelle (t/p). Je suis la petite soeur d'Hisoka Morrow. J'ai les cheveux (c/c) de notre mère. J'ai vingt-et-un ans et ça doit faire plusieurs mois que je n'ai pas vu mon abrutis de grand frère.

Ma capacité permet de modifier mon corps grâce à mon aura. Si j'utilise le zetsu je ne peux pas me transformer. Je peux changer mon corps comme je veux et me changer en n'importe quel animal. Celui avec lequel j'ai le plus d'affinité est le chat. J'utilise cette forme pour m'approcher de mes jouets avant de les briser.

Je suis actuellement sur le canapé en train de dormir tranquillement quand j'entends un léger bruit. Je lève la tête et je cherche quelqu'un dans la pièce. Mais il n'y a que mon "maître" qui regarde la télé.

Une seconde plus tard, je vois quelqu'un face à lui. Il a de long cheveux noir et tient plusieurs aiguilles dans sa main. Il tue mon maître avec. Il finit par tourner les yeux vers moi.

Je saute du canapé et je me frotte contre ses jambes. Il ne prête pas attention à moi et se dirige vers la fenêtre. Il descend dans le jardin en passant par cette dernière. Je saute aussi et je le suis. Il marche dans la nuit en plein milieu des rues. Je marche un mètre derrière lui.

Il a tué mon jouet alors il sera mon nouveau jouet. Je le suis jusqu'à un immense portail. Il ouvre les gigantesque portes et entre. Je le suis discrètement à l'intérieur. Il s'arrête et lève un sourcil en me regardant.

Je miaule mais il se retourne et continue sa route. On arrive devant une sorte de grand manoir. Il entre rapidement et ferme la porte avant que j'entre.

Je grimpe au mur et j'entre par une fenêtre entre-ouverte. J'arrive dans une chambre. Un garçon aux cheveux court est assis à un bureau et lit un livre.

Je griffe la porte pour qu'il m'entende et l'ouvre. Il sursaute et se lève vers moi. Il écarquille les yeux avant de s'accroupir près de moi.

- : Comment t'es entré ? Mike t'a pas mangé, c'est étonnant.

Je miaule et il me prend dans ses bras.

- : Moi c'est Kalluto. Tu es très mignon, j'ai jamais eu de chat.

Il ouvre la porte et me caresse. Je ronronne un peu et pose ma tête sur son épaule. Après quelques minutes de marche, il entre dans une sorte de salon. Une dame avec une jolie robe et un casque étrange sur les yeux se lève et s'approche de nous.

- : Tu es sorti, Kalluto ?

Kalluto : Non. J'ai trouvé ce chaton dans ma chambre.

Elle a l'air surprise. Elle me prend avec l'une de ses mains et m'examine. J'arrête de ronronner parce que je n'ai plus de caresses. Elle ne me fait pas mal mais je n'aime pas être le centre de l'attention. Elle me pose au sol et me regarde. Je m'assois et la fixe également.

- : Comment est-il entré ?

Kalluto : Je ne sais pas.

- : Tu veux le garder ?

Il allait parler mais le garçon aux beau cheveux arrive. Je marche rapidement vers lui. Il s'arrête et hausse un sourcil.

- : Qu'est-ce que ce chat fait là ?

Kalluto : Il était dans ma chambre.

- : Il est entré en même temps que moi mais je ne l'ai pas laisser entre dans la maison.

Je me frotte à ses jambes encore une fois mais il m'ignore. Kalluto arrive et me prend dans ses bras avant de me caresser.

- : Tu connais ce chaton, Illumi ?

Illumi : Il était chez ma cible.

Kalluto : Et il t'a suivis jusqu'ici ?

Illumi : Oui.

Kalluto : Ça veut dire qu'il t'apprécie, je crois.

Il hausse les épaules et s'en va. Je saute des bras de Kalluto et le suis encore une fois.

Kalluto : Mais...

- : Si tu veux le garder c'est d'accord, mais demande aux intendants de vérifier sa santé et ce qu'il faut pour ses soins quotidien.

Kalluto : Oui.

Je suis ce Illumi jusqu'à une porte. Il entre alors je passe rapidement derrière lui avant qu'il ne ferme la porte. Ça doit être sa chambre. Il s'assoit sur le lit et sort des aiguilles ainsi qu'un mouchoir. Il commence à les nettoyer.

Je trouve ça sympa de tuer avec des aiguilles. Moi, comme mon frère, j'utilise des cartes à jouer. Je monte sur le lit et je m'allonge à contre lui. Il finit par poser sa main sur moi et me caresser. Je ronronne immédiatement. C'est la première fois que des mains aussi douce et délicate me caresse. C'est tout bonnement merveilleux.

Après plusieurs minutes, il part dans une autre pièce. Sûrement la salle de bain. Il revient avec une serviette autour de la taille et prend ses habits. Il a l'air gêné. Il est tellement pudique que même fasse à un chaton il est gêné ?

Il ressort en pyjama. Il s'allonge sous la couverture. Je me rapproche de lui et je me met en boule. Il me porte et me pose au sol. Il a cru que j'allais dormir au sol alors que son lit est super confortable ?

J'attends quelques minutes et je saute sur son lit. Je me met près de son visage et je m'endors.

Le lendemain quand j'ouvre les yeux, je suis sur son torse. Il finit par se réveiller et me décaler. Il ouvre la porte et je sors. Je ma balade dans l'immense maison jusqu'à croisé un garçon aux cheveux blanc.

Il se précipite sur moi et s'accroupit face à moi. Il fait une tête de chat et me caresse doucement. Je ronronne un peu mais il me prend dans ses bras. On arrive dans une salle à manger. Il est toujours en train de me caresser. Kalluto arrive face à nous.

Kalluto : Tu peux me donner le chaton, Killua ?

Killua : Non, je veux le garder.

Kalluto : Maman est d'accord pour le garder mais c'est moi qui l'ai trouvé dans ma chambre. J'ai envie de le caresser.

Killua : Je l'ai trouvé dans le couloir. T'avais qu'à le garder avec toi.

Kalluto : ...

Killua : Tch. C'est bon, tiens.

Il me donne à Kalluto. Il sourit et me caresse. La journée passe rapidement. Le soir venu, je passe par une fenêtre et je sors discrètement du domaine.

Je me dirige en ville et je vais dans mon appartement. Je me détransforme et je prend mon téléphone. J'ai un appel manqué d'un numéro inconnu. Je rappelle pour tomber sur la voix de mon idiot de frère.

*conversation téléphonique*

Hisoka : J'ai cru que tu n'allais pas me rappeler~

(T/p) : T'es où ?

Hisoka : Je suis dans un parc.

(T/p) : Tu sais quoi ? Flemme de te poser des questions pour savoir où t'es. Donne moi ta localisation ou m'appelle plus.

Hisoka : Toujours aussi énervée...

(T/p) : La faute à qui, abrutis ?

Hisoka : Tch.

Je raccroche.

*fin conversation téléphonique*

Il m'envoie sa localisation. Il est proche d'ici.

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