旅 Tabi.
Périple en Japonais.
Tabi est une renégate sans histoire, sans famille, sans village ni amis. Elle n'a jamais rien eu sans même tout avoir perdu. Elle hais le monde ninja.
Les villages, les guerres..
Et par dessus tout, elle ne sais même...
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Position : Point Violet
L'on me poursuit un long moment. Mais je semblais enfin les avoir semés. C'est évident qu'a force on est habitués... j'imagine que j'étais désormais recherchée au niveau S aussi bien que sur les Terres de Sable que celles du Feu. Ce n'était pas bien grave, puisque j'avais désormais prévu de disparaître un temps. J'allais prendre un an à m'entraîner sur les terres d'Otto, un mystérieux " village " apparu depuis 1 an. Des terres renfermées , qui devaient grouiller de malfrats et de ninja renégats, c'était un terrain d'entraînement et de chasse propice à mes activités. Cependant j'étais tracassée.. est ce qu'un entraînement auprès de minables déserteurs allait me faire progresser ? Je ne le saurais qu'en essayant. Le temps, le temps le temps ! Comment pourrais-je seulement vaincre 1 des 5 Kage dans ces conditions ? Étais-je vouée à mourir seule ? Moi et mon rêve ? Non. J'allais tuer plus. J'entendis un cri. Au nord, à 300 mètres. Je pris donc cette direction. Arrivée sur place, je me retrouva devant une simple cabane aux fenêtres éclatées et à la porte ouverte. Quelqu'un semblait ce débattre à l'intérieur. J'accourus, et tomba nez à nez avec un ninja de Kiri, au bandeau frontal barré. Un déserteur. Il battais un homme au sol et sa femme et ses enfants étaient, au fond de la cabane, en pleurs et couverts de sang. Je soupirais, dégaina mon Katana que je recouvris de flammes bleues et au moment ou le ninja ce retournais vers moi, je planta ma lame dans sa gorge, que je trancha net. La tête de ma victime roula à mes pieds. - Répugnant... soupirais-je. Je fis rouler en un coup la tête jusqu'au palier de la porte, puis je la relança d'un second coup de pied, et je la regarda s'écraser quelques mètres plus loin. Je me retournai ensuite vers les propriétaires de la maison. Toute la famille tressaillit. Je m'approcha de l'homme au sol. Il saignais abondamment à la tête. Je sorti une trousse de soins et le soigna. Je m'approcha ensuite de la femme et des enfants pour venir déposer quelque provision à leurs pieds. - Pardonnez-moi.
Je parti ensuite de la maisonnette. Je cru entendre quelque remerciement au loin, mais cela m'importais peu.
Je repris la route. D'ici une demi-journée j'arriverai aux frontières d'Otto. Le dernier bout de trajet me paru interminable. Heureusement je finis par arriver à destination. Otto. Il ne semblait y avoir aucune sécurité frontalière particulière et pas la moindre trace d'une patrouille. Étrange. Cela ne me dérangeais le moins du monde, mais je ne pu cesser de ressentir un certain malaise... disons face à cette facilité apparente. Je continua donc ma progression, méfiante. Après une quinzaine de minutes de traversée, Je du faire à un obstacle des plus morbides : Une fosse commune. Je longea sur une centaine de mètres ce carnage qui semblait sans fin. Je finis par me faire à l'idée de la traverser. Je commençais alors à carboniser de mes souffles de flammes bleues les corps qui jonchaient ma route. Barbare. Mais au milieu de ma traversée, deux ninjas me sautèrent dessus. Une femme et un homme. L'homme - Regarde moi ça , qu'est ce qu'on à aujourd'hui ? La femme - * rire malicieux * Un cadavre de plus à notre collection, QUE TU VIENS DE CARBONISER SORCIÈRE !
La folle s'élança sur moi, hystérique. Je souris et sauta en l'air. J'avais prévu. Mon assaillante était aussi en l'air et je la tenais désormais fermement part la gorge. Elle tenta de ce débattre, et je resserrais alors ma prise pour l'étouffer encore plus. Son compagnon, cependant commença à rire : homme - Hahahha ! Quelle idiote... Un pantin de plus Ikashiyo ! Tu sera un pantin de plus ! Ma prisonnière déglutis et j'entendis sortir de sa gorge broyée : - Fuis. Je lâcha alors ma prisonnière et la pourfendis de ma lame. Plus qu'un. Je relevais la tête vers mon dernier ennemi. Mon souffle ce coupa. Les cadavres de la fosse... Ils reprenaient vie. Je fu assaillie de tout les côtés, tandis que le présumé responsable de cet effroyable technique riais à chaudes larmes. Je souris aussi. - Tch. J'étais encerclée. D'ici 15 secondes je serais ensevelie. Je pris une lente respiration. Les deux mains collées : - Le Feu des Âmes !
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Mes flammes déferlèrent dans toute la fosse. La déflagration fut tel qu'il y eu une onde de choc. La terre trembla. Je ressortis de mon antre de flammes. Homme - Mais, mes, m-m-m mes fils de chakras on brûler !! Il fonça sur moi, désespéré, un kunaï à la main. Lorsque celui-ci arriva à un pas de moi, je dégaina mon katakana et trancha sa tête. Elle vola et s'écrasa au loin, dans un soupir se stupéfaction. Le dernier de sa misérable vie. Ceci me fis rire. Mais je n'avais pas le temps pour des enfantillages. Je remonta la fosse de l'autre côté. Lorsque je fut au sommet, une voix m'interpella : ??? - Voila donc notre trouble fait.. * rire en mmhm* Qui plus ai, tu me plait petite. Je releva la tête et fit face à un homme à l'allure de serpent. Je me releva et demanda : - A qui est-je l'honneur ? Enfaite deux hommes ce dressaient face à moi, le reptile et un blond binoclard. Serpent - Que d'arrogance mhm. Je ne suis autre que le maitre de ses Terres, je suis Orochimaru. Du trio légendaire ? Le déserteur de Konoah ? Serpent - Tu semble bien connaître les affaires de Konoah.. serais-tu un de leurs ninjas ? Je répliqua : - Je n'ai jamais eu ni patrie ni famille je n'appartiens à aucun village. J'ai seulement fais halte à Konoah il y à peut... Binoclard - Serais ce donc toi qui aurais attaqué le village ? Ou tout particulièrement Kakashi Hatake ?
- Tch. Qu'importe, je ne suis pas ici pour discuter de mes crimes. Je suis à la recherche de tout autr-
Serpent - De puissance ? Il affichait un sourire pervers. Je réfléchis un instant. Était-ce une proposition ? Après tout, cela serais une bonne expérience d'avoir un des trois ninjas légendaires en tant que Maître... Et rien ne m'empêchais de ne pas lui vouer mon corps et mon âme... et peut être qu'après avoir acquis de son savoir je n'aurais qu'a me débarrasser de lui et ses sbires. Je le questionna alors, pleine de provocations et un sourire narquois aux lèvres : - Êtes-vous capable de m'en donner ? Le Serpent répondit : - Si vous voulez bien me suivre... Ce que je fis sans tarder. Le binoclard passa alors derrière moi, me chuchotant à l'oreille : - Je t'ai à l'oeil. Un frisson me parcourra l'échine. - Tch.
