Chapitre 1 : Elle

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Hello, la compagnie !

Post-it-pas-in-mais-un-peu-out : Me voilà de retour pour vous jouer un mauvais tour ! Mouhahaha (non non, mes petit chat, mon humour ne s'est pas amélioré, ce n'est pas la période des miracles XD) Avec, avec, avec ? Un bakuDeku ! Cette fois, c'est une petite fic à chapitre, et comble du bonheur (J'ai les chevilles plus enflées que des ballons de baudruches) elle est déjà terminée ! Elle est en 5 chapitres et me reste quand même le dernier à corriger et à envoyer chez ma superbe Bêta de l'amour, j'ai nommé Himeka11 <3 (merci pour tout, je te zaime avec plein de fleurs et même quelques papillons arc-en-ciel)

Délation-et-dédicaces : Cette petit ficlette, je l'ai écrite pour Ykirby et Amira_aic parce qu'elles sont géniales et m'ont laissé plein de commentaires adorables en plus de faire la promo mes histoires <3 J'espère vraiment que cette fiction vous plaira.

A-savoir-pour-que-vous-l'accusiez-même-si-elle-n'est-pour-rien-dans-mon-sadisme-naturel : Je comptais poster tous les jours, et là ! Là ! Une coquine m'a dit de vous faire languir, chers lecteurs ! He ouais, j'ai trouvé que c'était une bonne idée ! Alors, pour faire traîner les choses, je posterais tous les deux ou trois jours, ça dépendra si vous êtes sages ;p

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Bref !

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Bonne lecture !
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Elle est jolie. Vraiment. Elle a de longs cheveux bleu clair méchés de rose et de violet. Elle est menue, mignonne, d'aucuns diraient délicate. Son sourire concurrence le foutu soleil. Ses yeux sont aussi clairs qu'un ciel d'hiver sans nuages. C'est une petite chose frêle et gentille et souriante. Même son excentricité est belle à voir. Elle n'est pas une héroïne, juste une coiffeuse de merde dans un putain de quartier merdique, même si les gens sont prêts à attendre des semaines pour avoir une chance de passer entre ses doigts. Paraît qu'ils sont magiques, ces doigts.

Katsuki les déteste. La déteste. C'est viscéral.

Depuis que sa gueule parfaite est sur tous les tabloïdes, il n'a qu'une envie, la détruire. Parce que ses mains à lui, c'est ce qu'elles font. Exploser, abîmer, briser. Il ne possède ni sa douceur ni sa candeur, et certainement pas sa coquetterie à la con.

— Vous allez l'acheter ? demande le gars qui tient le kiosque à journaux à deux pâtés de maisons de sa garçonnière.

Katsuki relève sa tronche revêche et le fusille de son regard écarlate.

— T'espères vraiment que je paye pour cette merde ?

Sans attendre de réponse, il se détourne, secouant la transpiration de sa tignasse blonde ébouriffée. Il se renfrogne et essuie rapidement son visage avec le bas de son débardeur noir. Il savait que c'était une connerie sans nom de finir son jogging par cette rue. Sérieux, il va faire cramer tous ces kiosques qui pullulent comme des champignons hallucinogènes.

Un grognement, un soupir vif, et il reprend sa course modérée pour rejoindre son appart et ses colocataires. Et si sa vue périphérique est attirée par les affiches collées çà et là sur les vitrines de tous les foutus magasins du coin, il lui suffit de les ignorer.

Courir. Respirer. Regarder droit devant lui. Ignorer son cœur et cette agonie pitoyable qui l'empêche de battre correctement. Rien à foutre. Il est Katsuki Bakugou. Il est l'un des meilleurs acolytes de sa génération. Il est déjà promis à une place de choix alors qu'il vient tout juste d'avoir dix-neuf ans. Le reste ne compte pas.

Entre nousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant