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S Y R I N EIssam : en m'attrapant par le bras Syrine ? Il s'passe quoi ?
: Issam j'ai pas le temps, ma mère elle s'est évanouie ou je sais pas quoi il faut que j'y aille.
Issam : J'viens avec toi.
J'ai même pas essayer de refuser ou d'accepter j'étais trop sous stress donc on est entrer tout les deux dans le camion d'ambulance.
L'hôpital était pas très loin donc on est arrivé assez vite, ils l'ont rapidement amené dans une salle, on avait pas le droit de rentrer donc on a du attendre dans le couloir.
J'avais un mal de tête comme pas possible, on dirait que mon cerveau allait explosé. J'me suis assise sur une chaise dans le couloir et j'ai soufflé.
Issam : Bouge pas, j'vais te ramener de l'eau.
Il est parti puis il est revenu quelques minutes après avec une bouteille d'eau, il me l'a tendu et je l'ai prise.
Issam : T'inquiète pas, ça va bien ce passer.
: Mmh, merci.
Issam : Bon, j'arrive.
Il allait partir.
: Tu vas où ?
Issam : en se grattant l'arrière de sa tête J'vais fumé une clope, j'reviens dans cinq minutes.
: D'accord.
Il est parti, j'me suis adossé contre la chaise et quelques minutes après j'ai entendu quelqu'un courir dans le couloir.
: Walid ?
Walid : essoufflé Elle est où ?
: en lui montrant du doigt la salle Ils l'ont prise en charge.
Walid : Ça va toi ?
: Mmh, comment tu sais que ...
Walid : en me coupant la parole Sabri il m'a appelé.
: Mmh.
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𝐒𝐘𝐑𝐈𝐍𝐄® : « Il m'a apprit à aimer. »
Fiction généraleUne âme ne peut être réconfortée que par une âme qui lui est semblable.