« Le 30 juin,
Merci de m'avoir aimé plus que de raison, je t'embrasse et te souhaite de te reconstruire loin de moi.
Nathanaëlle. »
Irène fermait les yeux, une dernière fois, serrant dans ses mains la dernière lettre de Nathanaëlle, elle lui manquait, mais elle se rejoindrait, car si la vie les a séparé, la mort les rapprochera sans aucun doute. La jeune femme laissa le noir l'emportait en murmurant seulement trois mots.
Je t'aime.
Gravé sur un bout de papier, sur un mur invisible, dans l'histoire et le temps, mais surtout, gravé dans sa mémoire s'éteignant lentement.
« La lune devient le grain de beauté de la nuit quand son ciel se met à noircir
Ô combien j'aimais te voir lire, allongée pendant que j'étais, ces soirs, ivre
Pendant qu'on courait un champs de rêves inexaucés, je me suis mis à douter d'eux
Mais le poids de ces doutes, s'est logé sous mes yeux. »———
je finirais cette petite fiction en vous disant d'être fier.e.s de vous, vous êtes incroyables (et très swag aussi) je vous aimes et vous dis à bientôt ❤️
-dybalia
PS (post-scriptum pas le parti socialiste sorry) : désolée pour les larmes de fin, mais Nath et Irène sont des incapables (je les aime, mais depuis le début leur mort était tracée)
VOUS LISEZ
relation épistolaire #WRITTENWITHPRIDE ✓
Poetry« au moment ou j'écris ses mots, je pense que tu dors et je tire un trait sur notre histoire aux mille passions nouvelles. » - enfantdelhiver 1er juin 2021 | 1er juillet 2021 wattpride soyez fier.e.s de qui vous êtes, personne ne peut mieux vous dé...