𝐋𝐞 𝐃𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐃𝐞 𝐋'𝐨𝐢𝐬𝐞𝐚𝐮 [[𝔼𝕟 ℝ𝕖́𝕖𝕔𝕣𝕚𝕥𝕦𝕣𝕖]]

Chapitre 18 : Voyage

Au dessus de la ville, Myron faisait attention de ne pas voler trop bas, ayant peur qu'une personne essaye de le capturer. Les faucons Pelerins étaient souvent pris comme cible par les hommes du a leur puissance et leur beauté. De se fait, comparé à des simples pigeons où corbeau, il devait être prudent et resté a l'écart des habitations.
L'obscurité de la nuit qui régnait toujours ne gêna pas le prédateur, le plus gênant, était le vent contraire qui le poussait en arrière. Heureusement, ses ailes puissante et son instinct d'oiseau l'aida à surmonter cette épreuve, et peu à peu, il vit la forêt de séquoias s'approchaient.
Il rétréci la distance entre son corps et le sol, puis en virevoltant entre les grands arbres, il se dirigea vers le chemin qui menait à la boucle.
Quand il arriva enfin au séquoias voulu, Myron prit le temps d'observer les alentours pour s'assurer qu'il n'était pas en danger, puis d'un battement d'aile, il vola dans l'arbre et traversa la boucle.
De l'autre côté, le temps était légèrement plus frais mais il n'y prêta pas attention.
Il distinguait plusieur voix non loin de la, mais elles avaient l'air de s'éloigner dans la forêt. L'oiseau reconnu aussitôt la voix des enfants de sa sœur. Il avait déjà pu les entendre lorsque qu'il devait faire du repérage dans la boucle afin de préparer l'enlèvement.
Avant qu'il ne soit trop tard, Myron mit en exécution sa mission et s'envola à travers les hautes branches. Étant donné que c'était des séquoias, les branches les plus basses se trouvaient à une quarantaine de mètres de sol se qui favorisa la discrétion de l'oiseau.
Quand il arriva à la hauteur des enfants, le plus silencieusement possible, Myron les dépassa de plusieur dizaine de mètres afin de ne pas être vu, puis en seulement quelques seconde, il descenda à toute vitesse et posa rapidement une carte au sol qu'il tenait dans ses serres depuis le début, puis il remonta dans les airs et se posa sur une haute branche.

Peu à peu, il entendait les enfants s'approchaient des lieux où il avait posé la carte, puis dans un grand soulagement, il entendit avec son ouïe fine, Emma s'exclamait à la découverte de la carte.
Myron était soulagé qu'elle l'ait trouvée. Sans cette carte, le plan serait un échec, alors d'entendre Emma donnait beaucoup d'espoir sur cette carte soulaga Myron.
Il resta perché sur sa branche écoutant attentivement les enfants et leur plan. Il savait qu'il devait les suivre tout du long, de se fait, il devait rester près d'eux, mais à bonne distance pour ne pas être repérés.
Tout était prévu de A à Z. Son rôle était de donner la voie aux enfants et de les accompagner si nécessaire. Pendant sa mission, Jack et Alma ne quittaient pas son esprit. Il savait très bien se qui attendait sa sœur et cela lui procura un énorme frisson. Il avait vraiment peur pour elle, et étonnamment, il se rendait compte que même après toute ses années, il éprouvait un réel amour fraternel envers elle.

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Dans la voiture, le trajet devenait long et pesant pour Alma. Cela ne fesait qu'une heure qu'il était sur la route, mais d'être entouré par ses ennemis les estres, avec un scepulcreux sur le toit, et son frère qui l'avait traumatisée étant petite, l'a terrifiée et l'oppressait sur son siège.
Certain des estres parlaient doucement entre eux, et les paroles étaient tout aussi noir que leur vie. Alma écoutait leur horreur de tuerie, de sang et de satisfaction. Ils étaient fiers de se qu'ils étaient, ils étaient fiers de la terreur qu'ils provoquaient quand on prononçait leur nom. L'ombrune les regardait avec haine. Elle leur lancée quelque regard, mais elle n'arrivait pas à tenir le regard sur eux trop longtemps. En temps normal, elle leur aurait tenu tête pour protéger ses enfants, mais maintenant, elle était là plus faible. Elle était seule entourée de ses monstres, et son frère a coter l'empêchait d'essayer quoique se soit. Elle savait de quoi il était capable si elle le contrariait, de se fait, elle resta calme comme demandé et se faisait toute petite voulant éviter les regards des estres qui la regardait avec envie d'horreur, et peut-être même envie de luxure.