Journée sans prix

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Un coup d'un soir. Ce n'était que ça. Une erreur monumentale qui a engendrée une erreur encore pire. Encore aujourd'hui, Lucius ce maudissait. Le regret ne faisait pas parti de ses habitudes mais cela, même Narcissia ne le saura jamais : L'erreur la plus grande de sa vie. Il ne regrettera jamais l'acte qui l'a mené mais plutôt sa façon de réagir. Il avait craint et, comme un lâche, avait fui. Aujourd'hui, cela scellait les dix-sept années où,contre son gré, il avait du abandonner son précieux trésor dans ce monde.

Ce monde trop grand pour lui, ou jamais il ne pourrait le consoler et l'aider. Jamais il ne pourra l'entendre rire n'y même voir aujourd'hui à quoi il ressemblait. Les années étaient passés lentement ou malgré l'énorme douleur dans le cœur du blond, il avait avancer. Il n'avait jamais raconté à sa femme l'aventure qu'il avait eu car, à l'époque, il était déjà marié et cela aurait déshonoré ses paroles.

Aujourd'hui, sa seule fierté, comme il aurait pu ce l'appeler, était son seul enfant encore présent à ses côté. Son joyau qui ressemblait tant à son frère. Des larmes silencieuses coula le long de ses joues, ou il ce permit de soupirer avant de quitter la pièce où il s'était enfermé.

Ce jour maudit, banni du calendrier par le Lord ce rependait partout dans le manoir. Heureusement que Draco, en ces temps froid, n'était pas présent, tout comme sa femme. Chaque année, Lucius faisait sortir la blonde pour ne pas qu'elle le voit dans ces moments qui encore aujourd'hui, après tant de jours, briser un peu plus le blond.

« Un jour Axel tu sauras, un jour tu comprendra »

Et sur cette pensée, le Lord quitta sa demeure en direction du ministère.

....

Le soleil pointa son nez et comme à son habitude, un jeune homme au teint pâle, dû à son maigre sommeil, ce leva péniblement.

S'engouffrant dans la salle d'eau pour ce doucher, il s'attarda un moment sur son reflet. Ses cheveux d'un blanc neige avec les racines d'un noir encre étaient coupés court comme à son habitude et son œil était encore cicatrisé tout comme sa joue et sa lèvre inférieure. Soupirant, il s'aspergea avec l'eau du robinet avant de ce déshabiller et de ce diriger sous la douche.

S'attardant un gros cinq minutes, il sortit de la douche seulement vêtu d'une serviette autour de sa taille. S'avança d'un pas lent vers sa commode, il sorti et s'habilla d'un costard noir en enfila ses chaussures cirées avant d'attraper son téléphone et ses clés et de verrouiller la porte de son appartement.

Le cartier était calme et cela n'était guère surprenant vu l'heure mais le jeune homme s'engouffra, malgré les quelque flocons ornant le paysage, en direction de sa voiture. Personnes n'étaient présents sur les routes et c'est avec amertume que le jeune homme ce dirigea vers l'établissement qui l'accueillait depuis ses six ans. La prison de sa torpeur et de sa mutilation envers tous. La place qui l'avait rendu comme il était aujourd'hui : un monstre.

...

L'année scolaire avait débuté en beauté au sens ironique d'après Harry qui, encore une fois, ce retrouva près de la mort en participant au tournois des trois ou, plutôt, des quatre sorciers. Ayant survécu à la première épreuve un mois plus tôt, il était là à soupiré de sa solitude et de sa malchance continue.

Une année encore ce passa au terrier dans l'ambiance d'une famille qu'il n'aura jamais. L'amitié, l'amour et le calme que lui portait cette endroit pourtant si simple, lui suffisait à lui faire comprendre que jamais il n'aurait cela. Mrs Weasley était charmante certes et ce rapprochait du plus d'une image maternelle pour lui sans jamais vraiment sans rendre compte.

L'enfant caché Où les histoires vivent. Découvrez maintenant