-𝘙𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥𝘦-𝘮𝘰𝘪. /𝐿𝑜𝑐𝑘𝑧𝑖𝑒/

𝘪𝘥𝘪𝘰𝘵𝘴.

𝒑𝒐𝒊𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒗𝒖𝒆 𝒆𝒙𝒕𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒖𝒓 : -

Tandis que Corentin continuait de marcher, il remarqua très rapidement qu'il n'y avait plus de petite ombre à ses côtés. Alors il se tourna pour retrouver Lucas de ses yeux.

-Qu'est-ce-que ça peut faire ? Hein ? C'est quoi le problème d'aimer les hommes ?

-Bah. Tes homos ?

-Belle mentalité.

Corentin ne pu renchérir que Lucas accéléra ses pas, visiblement vexé par les paroles de son ami.
La tête baissé, il rejoignit les grands espace vert, devant sa faculté. Lucas ignorait pourquoi cela l'avait autant impacté, il pouvait l'admettre haut et fort, il était un bonhomme très ouvert d'esprit ! Mais il était jusqu'a la dernière veine de ses pieds, Hétérosexuel. Du moin, c'était ce qu'il serait capable dénoncer.

Lucas traversa le long des couloirs, constatant que les fenêtres gelaient par la froideur de l'hiver, en reportant son regard devant lui, il croisa celui de Baptiste, tout deux détournèrent leurs regard avant de, de nouveau s'observer, c'était un moment de naïveté et de timidité qui séparait les deux garçons de seulement quelques mètres. Et c'est Lucas qui passa le pas, avançant de façon assuré jusqu'au brun, qui l'observait toujours sans agir. Mais notre protagoniste fut arrêter par l'heure du debut des cours et il dû rejoindre les autres etudiants de sa classe en français, avec la demotivation qui le tirer au sol, le laissant avancer faiblement par des pas qui ne se décollaient qu'à peine du carrelage. Il voulait comprendre Baptiste...

•~•

Du côté de Baptiste, il n'avait pas le choix, TP en chimi, au côté de ce cher Corentin qui quelques minutes auparavant avait fait une remarque déplacé à son ami, Lucas et c'était sans doute autour de Baptiste de le supporter. Mais le brun bouillonnait... Il n'était pas aussi patient que le geek. Il bouillonnait de rage ou simplement face à la complexité qu'était un pauvre circuit électrique relié à une source de lumière.
Baptiste silencieux, observait simplement tandis que, dans un chuchotement poignant, Corentin se lança dans une merveilleuse discussion.

-Alors quoi Baptiste... tes une pédale ? Ouai. Ça tout le monde le sait ! Mais... ta donné un cours particulier à Hauchard ?

-Par pitié Corentin. J'ai entre mes doigts un circuit électrique, qui pourrait causer d'innombrables dégâts avec une mauvaise manipulation. Alors ecarte toi ou j'enfonce ces câbles dans tes deux ori-

-Pas besoin d'être vulgaire ! C'est un fait. Tes gay.
Je t'ai vu avec Hauchard. Vous avez l'air de vous être rapprocher~

-Ouah. Putain c'est une étiquette ? Soyons quitte trou de balle. Continue de m'appeler "pédale" mais lâche la grappe à Lucas.

-Ah ah ! Alors c'était pas qu'une petite leçon~

-Bordel c'est quoi ton problème !? Et on se connait même pas lui et moi.

-Mais on peut dire que mon petit message vous à aider.

-Je.. ce.. ce message c'était toi ?! Le peu que je connaisse de ta personnalité ignoble je ne sais que trop bien que ta rien d'une fleur bleu. À quoi tu joue ?

-Bwahah. Tu demandes vraiment ? Va. Laisse tomber. Tu remarqueras bien vite pendant la pause dej.

-Je vais finir par te broyer tes mini couilles molles.

- Charmant. Mais tu verras Clenche. Que chez moi, tes menaces de petites scènes de théâtre ne me font absolument pas frissonner. La seule raison d'avoir peur de toi, c'est d'être comme toi, un raté.

Les deux heures furent particulièrement longues pour Baptiste, attendant avec impatience l'heure du repas. La sonnerie retentit, il s'empressa de quitter cet enfer. Il reprit les couloirs, rejoignant son casier pour poser son sac, autant aller décontracté au réfectoire.

𝓑𝓪𝓹𝓽𝓲𝓼𝓽𝓮 : -

Fermant mon casier, je me tourna, croisant le regard de trois personnes que je connaissais de loin, Laurène, Lucas et Maxenss. Tout les trois les sourcils froncés et le regard noir me portant. Je porte malheur ? Malgré que je n'étais pas bien rassuré, mon regard ce focalisa évidemment sur le plus petit de la bande, mais ses yeux paraissait si noir que je n'avais aucune raison de me rejouir de leurs présence, les voilà dorénavant à mes côtés. Et je ne pu même pas prononcer une simple question que la seule femme du cercle s'exprima.

-Tu es content ? Pourquoi tu t'en ai pris à Lucas ? Est-ce-que tu es simplement un garçon grotesque, qui à voulu te venger parce que tu pensais que Lucas t'avais oublié ?

Le simple fait d'être accusé d'avoir mal agis auprès de Lucas m'empêchait de parler. Moi ? Mais qu'est-ce-que j'ai fais ? Mes pensées s'entrechoquaient tandis que les paroles de Laurène ne me parvenaient meme plus.
Son discours était glaçant, me perçant brutalement, jusqu'à traverser ma cage thoracique. Bordel, j'ai mérité quoi pour un tel sermon ? Puis, je sentie l'odeur de Lucas, sa main se posa sur l'épaule de Laurène, qui s'était aussi tôt calmé, elle semblait surprise, peut-être s'agissait t'il de l'expression faciale de Lucas que je ne pouvais voir, dos à moi. Je m'attendais peut-être à être frapper, c'était ennuyeux, moi qui etait content d'avoir pu avoir une discussion avec Hauchard, mais les rêves sont souvent niais et faux.

-Laurène, ne soit pas si méchante, je t'ai accordé de lui parler, mais tu va trop loin. Juste.. oublie ça.

Je ressentie une chaleur rassurante me traverser le dos, mais je baissa la tête, comme si j'étais fautif.

Merde. C'est vraiment mauvais.

--

Hey les ptits potes, je suis navrée pour le temps que je prends à ecrire mes chapitres. Je remercie tout ceux qui prennent le temps de lire, de commenter et de voter à chaque chapitre poster.

J'espère que dorénavant je me consacrerai davantage à mon histoire. Bisou les potes :)