Denki x Reader / Le Chat Et La Souris

Chapitre Vingt : La piscine

Denki : ouhh, mais je vois, madame ne venait pas manger parce qu'elle s'occupais du pauvre petit Bakuuu' dit-il avec un sourire moqueur

(T/P) : exactement.

Denki : aller viens, il te faut des forces si tu veux résister au nombres de fois où je vais te couler cette aprèm...

(T/P) : super accueillant dis-je en riant mais j'ai pas faim

Je me suis dirigée vers l'ascenseur.

Denki : je vais devoir employer la manière forte...

(T/P) : Denki qu'est ce que-

Il se met soudain à me porter tel une princesse.

(T/P) : rah mais t'aimes trop faire ça c'est pas possible !

Denki : hihi !

Il m'amène dans l'ascenseur avant de me poser.

Denki : tu-... tu as vraiment pas faim ?

(T/P) : non, pas spécialement.

Denki : ça va hein ?! Tu me le dirais si tu allais pas bien ?

(T/P) : mais ouii !

Il sourit avant d'appuyer sur le bouton.

...

Je rejoins les autre en bas et m'assied sur le canapé à côté d'Ojiro.

Ojiro : hm, tu n'as pas mangée avec nous ?

(T/P) : non, j'ai pas faim.

Ojiro : oh, c'est dommage j'avais cuisine un bon petit plat...

(T/P) : quel homme à marier

Soudain je sens ses deux mains sur mes épaules.

Denki : c'est vrai ça  ! Quel homme ! Dit-il en lui lançant un regard défiant

Ojiro : merci... dit-il tout rouge en se grattant la nuque

(T/P) : au fait, tu pourras me passer le cours de Midnight que je n'avais pas ?

Ojiro : oh ! Bien sur, j'avais oublié de te le passer-

Denki : mais je suis sûre que je l'ai aussi moi !

(T/P) : Denki... tu écris rien en général mais dans les cours de Midnight c'est encore pire.

Denki : mais c'est pas ma faute ! Elle est trop belle !

Ojiro : c'est vrai qu'elle a un beau visage dit-il en affirmant ses dires

Denki : "visage" hein ! Répondit-il en lui donnant un coup de coude

(T/P) : j'avoue, elle est bonne.

Ils m'ont regardés avec des yeux écarquillés et se sont tus.

Ojiro : euh... dit-il tout rouge

Denki : ouhh, ma petite (T/P)... tu fais bien attention aux détails...

(T/P) : bah ça se vois quoi.

Ojiro : vous entendez quoi par ... "bonne"...

Le blondinet s'est empressé de lui répondre.