Ciel ensoleillé, mêlé de ciel orageux,
Un après-midi d'été, frais et nuageux
L'ondée rafraîchi soudain l'air chargé
Mais l'averse ne dure, et les nuages s'écartent,
Les rayons du soleil, aiguisés, les transpercent.Dans les villes et les bois, soudain, tout respire
Portes, fenêtres, pétales et feuilles s'ouvrent
Apaisés par cette fraîcheur inespérée
Un brin d'air porte la douce odeur de la pluie
Et d'un même soupir tout ces êtres reprennent vies.Sur la route brûlante l'eau s'évapore,
Entre les arbres, à côté du canal qui dort.
Cette brume vaporeuse, est promptement dissipée
Car si l'orage qui gronde n'est pas parti loin
Le petrichor est à la pluie ce que la rosée est au matin.
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Délires oniriques
Historia CortaPetit recueil de textes sortant de mon imagination débordante, pour un concours d'écriture, ou un rêve remit en scène. Avant tout pour partager d'autres mondes, vous faire rêvez... Poèmes, jeux de mots et alexandrins, sonnets amoureux. Coups de gueu...