Les feuilles jaunes virevoltent
Portées par le vent violent.
Elle volent, tournoient, s'étiolent.
La pluie frappe et les colle au sol
Prêtes à faire glisser les passants.
Rouges, oranges, les couleurs d'automne
Égaient les arbres dans la grisaille.
Ils s'endorment jusqu'au printemps
Et donnent à ce temps monotone
Un instant virevoltant.
La nature presque se cache
Du froid qui arrive doucement.
Dans la maison on se prépare.
Et bientôt dans la cheminée
Craquera le bois réchauffant.
Aux fenêtres on aperçoit
Quelques plantes choyées.
Boutures et bébés verts entiers
Dont l'astre créé une atmosphère
Propice à une survie aisée.
De fleurs, on ne peut se passer,
Quel que soit la saison.
Et en extérieur ou bien dans la maison
On garde et sauvegarde
Orchidée, cyclamen, hellébore,
Afin de les revoir fleurir chaque année.
VOUS LISEZ
Délires oniriques
NouvellesPetit recueil de textes sortant de mon imagination débordante, pour un concours d'écriture, ou un rêve remit en scène. Avant tout pour partager d'autres mondes, vous faire rêvez... Poèmes, jeux de mots et alexandrins, sonnets amoureux. Coups de gueu...
