notre désastreuse aventure

L'annonce boulversante

Aujourd'hui, nos parents nous ont envoyé à la plage de Malamèr moi,Violette,Klaus et Prunille.
La plage était déserte, il ne faisait pas très beau mais cela nous importer peu.
Violette et Klaus étaient en train de faire des croix sur des galets de sorte à ce que, quand nous revenons, nous sachions lesquels étaient déjà là.
Prunille, elle, était au bord de l'eau, les fins de petites vagues venaient toucher ses ballerines neuves.
Tandis que moi, je m'étais mise à l'écart. tout cela ne m'apporter aucun plaisir d'être sur une plage, seul, face aux vagues.
Au bout d'environ 10 min, j'ai entendu une voix me dire..

V- T/P ! on va jeter quelques galets ! vient avec nous ! pour une fois s'il te plaît !
T/P- sérieusement Violette ? des galets ?
K- cela va être amusant je te le jure !
T/P- ok, ca va pour cette fois.

Je m'approche donc et nous commençons à faire des sortes de ricochets, Violette n'étant pas très forte n'en n'a fait que 4 mais c'est déjà un bon début, Klaus qui lui était assez professionnel dans ce genre de "jeux" fit donc 12 rebonds, Prunille elle n'avait même pas mis le galet dans l'eau mais cela nous a fait rire pendant quelques minutes. Puis vient mon tour, je n'avais jamais fait ça avant j'étais donc stressée à l'idée de me ridiculiser mais..

?- les Baudelaire ! les Baudelaire !
K- monsieur Poe ? que faites vous ici ?

Ouf ! Sauver ! Merci monsieur Poe pour cela! tout de même je me demande bien pourquoi ce dernier est venu sur la plage pour nous voir.

M.P- j'ai une annonce assez déroutante à vous annoncer, les Baudelaire..
T/P- mais que ce passe t'il bon sang !
M.P- vos.. vos parents ont péris dans un incendie, votre maison est également détruite..
V-mais c'est impossible.. c'est complètement absurde..
M.P- péri veut dire qu'ils sont..
T/P- mort. nous savons ce que périr veut dire.
M.P-je suis de tout cœur avec vous les Baudelaire mais désormais vous êtes des or..
K-des orphelins ?
M.P-tout a fait Klaus et je dois vous emmener vers votre nouveau tuteur.

A ce moment précis mon monde s'écroula.
Mon coeur s'arrêta.
J'étais en état de choc.
Je ne pouvais pas y croire.
Mais cela était bien vrai.
Nous n'étions plus les Baudelaire.
Mais bien les orphelins Baudelaire.