notre désastreuse aventure

Le tuteur inconnue.

Monsieur Poe nous a dirigé dans sa voiture, nous n'avions aucune idée de où nous allons et de qui sera notre nouveau tuteur mais tout ce que nous savons c'est qu'il n'était pas une personne que nous connaissons.
Le trajet était assez long et nous n'avions pas encore réalisé ce qui nous arriver. Le simple fait de se dire que nous n'avons plus de parents, nous détruit à petit feu.
mais malgré tout cela, je voulais éclaircir les informations sur notre tuteur.

T/P- dites-moi monsieur Poe, quel lien nous réunis avec notre tuteur ?
M.P- et bien vous ne le savez pas ? c'est le frère de l'oncle à votre oncle.

à ce moment là Violette et moi avions découvert que quelque chose n'allait pas.
et pourquoi donc ?
nous n'avons pas d'oncle ou du moins nous n'étions pas au courant.

V- et pourquoi es-ce vous qui nous l'annonce, c'est vrai, vous n'êtes que notre banquier.
M.P- votre banquier certe, mais je suis l'une des seuls personnes qui vous connaît assez bien pour vous annoncer ce genre de tragédie.
K- mais pourquoi nos parents ne nous on jamais parlé d'oncle?
M.P- assez de blabla, nous y sommes.

je trouve que le quartier est simple et accueillant, les maisons sont toutes de tons pastel et très fleuries.
mais il y a une maison étrange et à l'écart de tout les autres, mais nous n'y faisons pas très attention à vrai dire.

?- oh les Baudelaire ! je m'excuse de tout cœur ce que le destin à fait de vos parents et de votre maison.
M.P- Juge Habbot, qu'elle surprise de vous voir ici!
J.H- mais enfin monsieur Poe je vis ici, où avait vous la tête ?
V- c'est donc vous notre tutrice à partir de maintenant ?
J.H- malheureusement non, je suis la voisine de votre tuteur.
T/P- mais vous êtes la dernière maison de la rue avant..
K- ne me dites pas que c'est celle ci (il pointe la maison isolée) je vous en supplie.
M.P- félicitations Klaus tu as le sens de l'observation! et bien oui c'est celle ci.
P- (babille des mots incompréhensible)
V- Prunille trouve cette maison beaucoup trop étrange pour des enfants.

évidemment.
il fallait que ça arrive.
nous n'avions même pas encore eu le temps de digérer le décès de nos parents que nous voilà entre les griffes d'un tuteur, que nous ne connaissons pas.

M.P- voyons les Baudelaire, soyez un minimum respectueux envers le comte Olaf.
T/P- le quoi ?
M.P- le comte Olaf bien sur.

c'est donc sûr.
nous ne le connaissons pas.
même pas eu-je le temps de réfléchir que monsieur Poe sonne à la porte de cette étrange bâtisse.

?- entrez donc, jeune fortune... hum hum... enfants, je voulais dire enfants.

il n'est vraiment pas net, il est assez vieux je lui donnerai une petite quarantaine d'années.
il a les cheveux gris avec une coupe extrêmement étrange, un costards froissés et très négligés et pour finir des chaussures...
attendez!
il a un tatouage avec un œil sur la cheville.. je me demande ce que cela peut bien être.

?- je me présente je suis le comte...
V- Olaf.
O- laissez moi finir petite fille mal polie! hum hum. je reprends!
M.P- ce n'est pas que je n'ai pas le temps mais je dois repartir à la banque.
O- laissez moi finir non d'un chat enragé !
T/P- bon fait ton truc là.
O- je suis le comte Olaf, acteur et comédien..

acteur ?!
comédien ?!
cela est impossible, il n'est passé dans aucun des films que j'ai regardé pourtant je regarde absolument tout !

O- j'ai une troupe de théâtre qui nous regoindra dans quelque jours. a présent monsieur Poe vous devez partir (dit il en poussant  monsieur Poe à la porte et la ferma avec un cadenas puis un mot de passe) bien à présent place à la visite.

nous avons fait toute les pièces de la maison, elle est immonde!
pas de salle de science pour Violette.
pas de bibliothèque pour Klaus.
ni de film pour moi.
nous étions donc lié à nous même.