Un Monde Parallèle: La Bleue

L'apparence est parfois trompeuse.

Je n'avais plus la tête à discuter de quoi que ce soit après ma folie suicidaire. J'avais honte et je me sentais coupable de ne pas avoir attendu l'aide de mes amis. Il était tard et je m'étais endormi inconsciemment. En me voyant, Asuna prit la décision de partir rejoindre les autres qui attendaient déjà depuis un bon moment.

En s'approchant de sa chaise pour s'y installer, elle leur dit:

Asuna: Benji s'est endormi. Laissons le dormir, nous parlerons demain.

Elle avait les yeux fatigués.

Brian: Mangeons un morceau et allons nous reposés nous aussi. Rien ne presse et il est impératif de nous libérer l'esprit de toute cette tension.

Il était clair, et chacun était de son avis.

Léon: Sans oublier que le p'tit Raph ne doit pas rester trop longtemps sous l'emprise de ce monstre. Je m'inquiète pour lui et j'aimerais le délivré sans trop tarder.

Il n'avait que cette objectif en tête.

Brian: Je comprends tes intentions et nous ferons tout pour aller le cherché. En attendant, prenons quelques jours de répit.

Avec l'âge et l'expérience, il allait prendre les décisions les plus importantes pour notre sécurité à tous.

Lina: Je suis d'accord. Nous avons vécu une grande tragédie et nous sommes atteints psychologiquement.

Elle ne voulait plus utilisé son pouvoir de peur de blesser quelqu'un d'autre. Pour elle, tout ce qu'elle voulait maintenant, c'est soutenir ses amis moralement.

Léon: Bon, alors faisons cela. Prenons quelques jours...

Il était triste et m'en voulait beaucoup de ne pas l'avoir emmené avec lui. Mais il n'était pas contre le raisonnement de Brian et s'en remettait à lui.

Brian: Aller Léon, ne fais pas cette tête abattue. Nous retrouverons Raph et nous le ramènerons en vie. Ça fait partie de l'un de nos buts, maintenant. Aller, trêve de bavardages. Parlons d'autres choses et mangeons. Je sers des pâtes à tout le monde ?

Il servit chacun d'entre eux. Le silence était pesant et personne n'eût l'envie de sortir un mot. Dans cette ambiance déjà lourde, une personne qui ne parlait pas beaucoup prit la parole.

Ayame: Au fait Asuna. Ça ne te dérange pas que Lina apprécie énormément Benjamin ?

Exprime t'elle la bouche pleine.

Asuna: Tu sais Ayame, tu as un wagon de retard. Lina et moi en avons déjà parler et cela ne me gène absolument pas. Alors je te prierai de t'occuper de tes affaires si c'est pour créer une dispute inutile.

Répond t'elle durement.

Ayame: Ça va, du calme. Je prevenais simplement au cas où. Non parce que j'ai cru voir Lina touchée l'épaule de Benjamin lors d'une de leurs discutions. Et je me suis dit que...!

Elle allait trop loin et Asuna lui coupa la parole, agacée.

Asuna: Arrête toi là ! Cela me dérange pas, d'accord ! Alors ne va pas créé une histoire juste pour ça. J'ai prit Léon dans mes bras tout à l'heure pour le réconforter et c'est purement amicale. Donc ne mélange pas tout !

Ayame: Tu as prit Léon dans tes bras sans lui demander ?? Qu'est-ce que t'avais Léon ?? Tu aurais pu venir me voir, je t'aurais câliner moi.

Voilà la vraie personnalité de Ayame.

Léon: Tu peux arrêtée de faire ta petite fille de 10 ans. T'es pénible là ! Asuna est adorable, d'accord ! Elle a un grand coeur et elle est là pour nous en tant qu'amie. Si tu penses à autre chose, je ne suis pas disposé.