Un Monde Parallèle: La Bleue

Nouveau départ.

Retour en 3019.

Asuna et moi voulions absolument aller voir si il y avait des survivants dans cette crevasse gigantesque. En descendant, tout en faisant attention à ne pas rouler boulet, on aperçut Léon au loin qui avait l'air d'être mal en point.

Moi: Léon !? Ça va, tu n'ais pas trop esquinter ?

Léon: Oh Ben, c'est toi.. On va dire que je suis encore capable de me mouvoir.

Dit-il accablé par ce qu'il vient de vivre.

Moi: Tu as l'air chamboulé ?

Léon: Euh, ouais... Je te raconterai ça plus tard. Qui est cette fille ?

Léon était choqué et sa voix était nouée.

Moi: Elle s'appelle Asuna. Sans son sauvetage extrémiste, je serais en morceaux.

Asuna: Enchantée. Tu es Léon le gros costaud?

Léon: Costaud... Va savoir.. Allons retrouvés Miyuki. Il ne doit pas être très loin.

Léon s'était déjà lever et partit à la recherche de Miyuki en tenant son bras. Il n'était pas comme d'habitude. Il était flasque et mollasson. J'étais inquiet...

Le cratère était vaste et très spacieux, si on peut dire. Il était certain que Miyuki ne s'y trouvait pas. Nous prîmes alors la décision de remonter. Il y avait tout de même quelques centaines de mètres. Ce qui n'était pas rien. Le chemin était songé de pierres et de rochers qui pouvaient déboulé à tout instant. Arrivés en haut, on pouvait se rendre compte des dégâts causé par la météorite. L'onde de choc avait ravagée des kilomètres et des kilomètres d'habitations.. C'était un très grand désastre. Je me posais une question primordial... où allions-nous crècher cette nuit ?

Chacun de nous regarder dans une direction différente pour essayer de retrouver notre cher intello à lunettes. Malheureusement, aucunes traces et personnes à l'horizon.

Léon: Je commence à souffrir réellement de mon bras cassé..

Asuna: Attends, laisse-moi faire. Je vais te soigner ça illico. Fais moi confiance.

Moi: Je te l'assure. Comptes sur elle.

Léon: Okay. Merci...

Asuna était une elfe et avait la compétence principale de sa race, le soin. Elle invoqua de par ses mains, une lumière intense et régénératrice au dessus du bras gauche de Léon.

Léon: Waouh ! C'est chaud. Mais c'est une sensation très difficile à décrire. Ça ne fait pas mal et je sens la réparation de mon os. C'est carrément chelou !

Il retrouva un soupçon de quiétude.

Moi: Ah, je retrouve enfin ton language si particulier propre à toi-même.

Léon: J'aurais quelque chose d'important à te dire...

Moi: Rien ne presse, je pense que nous pouvons nous posés pour aujourd'hui.

Léon: Oui, je suppose...

Asuna: Je sens en toi un grand désordre. Tu viens de vivre une chose inhabituelle? Je me trompe?

Léon: Je préfère prendre le temps de digérer l'information. Quand nous aurons rapatriés Miyuki, je vous l'annoncerai.

Après une guérison plus que spectaculaire, Léon avait récupéré le contrôle de son bras.

Le soir arrivé petit à petit. Léon s'était assit par terre, les jambes croisées. Son énergie était au plus bas et nous commençions à avoir une faim de loup...