Un Monde Parallèle: La Bleue

Révélation.

(Une semaine plus tard)

Ce qui allait se passé n'était pas prévu. Nous avions l'habitude de nous faire avoir, mais là, nous étions dans une situation dangereuse. Moi et Brian étions tombés dans une embuscade. Nous étions entourés par une dizaine de magiciens tous autant féroces les uns que les autres.

Je m'adresse à Brian, perplexe:

Moi: Tu ne m'avais pas dit que nous aurions des problèmes arrivé ici ?!

Brian: Comment j'aurais pu le deviné ! Je suis moi même surpris et je pensais que mon ami serait dans les parages. Et d'ailleurs, où est-il passé ce rigolo...

Il soupirait pensant le voir dans les coins.

Moi: Au lieu de ça, nous nous trouvons dans une posture assez délicate. Toi aussi tu as calculé leur niveau de puissance ?!

Leur niveau était incroyable.

Brian: Ouais ! Et ce n'est pas de la tarte. Nous allons devoir nous battre Benjamin. Je sais que tu as décidé de ne plus attaquer qui que ce soit mais si tu ne fais rien, tu risque de perdre ta vie.

Il était formel et confirmé le niveau adverse.

Moi: Si cela se gâte, je me défendrai. En attendant, je vais simplement les esquivé.

Je ne contrôlais pas tout à fait ma puissance et j'avais fait le choix de ne plus attaquer, de peur de tuer quelqu'un.

Brian: Fais ce que tu veux mais je ne compte pas croisé les bras.

Il était prêt à faire un carnage.

Retournons maintenant dans le passé, à une semaine plus tôt.

Le soleil illuminé la chambre de bonne heure. Il m'avait réveillé alors que je faisais un rêve agréable. Asuna dormait encore. Dans son sommeil, elle s'était mise dos à moi. Hmm, je souris automatiquement en la regardant. Je ne pu m'empêcher de la câliner. Je passe ma main en dessous de son t-shirt et lui carresse le dos. Elle avait la peau douce et ma main glissée sur celle-ci comme si c'était une patinoire. Elle se retourna et elle se retrouva face à moi. Ma main resta sous son t-shirt. En voulant la retirée, je lui frôle l'un de ses seins, ce qui la tira de son subconscient. Totalement embarrassé, je me mets sur le dos comme si de rien n'était. Elle me vit les joues rouges et me dit encore dans le pâté:

Asuna: Hello toi. Je sais que tu as fait quelque chose, petit coquinou.

Dit elle d'un ton coquin.

Moi: Hey, coucou... Je te jure que je ne voulais pas. Je te carressais le dos et quand tu t'ais retournée, ma main est restée coincer. En l'enlevant, j'ai frôlé un de tes seins par mégarde. Je n'aurais jamais osé un geste aussi pervers alors que tu dormais. C'est inacceptable !

Je lui explique ce qu'il vient de se passer de A à Z.

Elle était attentive et elle me regardait en souriant légèrement.

Asuna: Tu es mignon quand tu es gêné. Tu perds tout tes moyens. Tu semble tellement fort et froid quand tu combats tes adversaires que ce côté de ta personnalité te rend plus vulnérable. Hihihi.

Je lui tire la langue un peu vexé par ce qu'elle vient de me dire.

Moi: Peut-être que je devrais reprendre ce regard là, qu'est-ce que tu en penses ?

Je la regarde sérieusement comme si elle était mon adversaire.

Asuna: Arrête, ce n'est pas drôle !