J'ai beau souvent être très idiot, ça n'empêche que, cette fois ci, j'ai mis ma main à travers la porte pour m'assurer de la dureté de ce qu'il y avait derrière. Rien.
Dans le précédent chapitre, j'ai dis que ce qu'il y avait derrière, c'était le rien. Mais, quelle couleur a le rien ? Blanc, ou noir, ou je sais pas moi. Je dirais le Blanc par première pensée, le Noir par pensée scientifique, mais Aucune par pensée philosophique... Mais je ne comprend pas ce que je vois.
Je saute. La sensation est agréable, du moins, au début. La chute est interminable, je tombe lentement à pic, les heures tournent, les jours passent... Rien.
Mais, si il n'y à rien, il n'y a donc aucune force qui s'exerce sur moi (c'est a dire qu'il n'y à pas de gravité), et il n'y à d'ailleurs rien qui me ralentit dans mes mouvements, donc pas d'air, donc je suis mort depuis... une éternité. Ce n'est pas le rien car je sens l'oxygène (et l'eau, l'azote, et tout le tralala qui composent l'air) dans mes poumons. Je me tourne d'un simple mouvement de doigt, et, commence à tourbillonner,je tend les bras vers l'encadrure de cette foutue porte et me hisse dans ma cellule.
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Le Journal De Bord D'un Gars Paumé
Teen Fiction>>> comb-message ->"connex. lost" >>> comb-message ->"syst. défaillant" >>> comb-message ->"syst. survie actif" >>> comb-message ->"locate error" >>> radio-message ->"...bip.....#fjip* sckit"