Une touche de bleu

Chapitre 18

Relevant les yeux sur son téléphone qui ne cessait de sonner, Harry resta silencieux avant de souffler et de poser le marteau recouvert d'un rouge écarlate sur un plateau argenté.

Passant un main dans ses cheveux, il déglutit péniblement avant de décrocher en prenant une voix innocente qu'il avait toujours eu avec les autres mafieux.

- Salut ! Dit il en affichant un air enfantin sur son visage par habitude.

- Harry, on a une urgence tu dois venir, nous sommes tous conviés d'ailleurs... Je sais que le sang et les armes c'est pas ton truc, mais Walter c'est fait enlever et c'est une insulte à l'organisation que de faire ça. Dit Igor d'une voix gêner.

Jetant un coup d'œil sur le marteau qui baignait dans une petite marre de sang, il tourna les yeux vers l'homme attacher, tout son corps était recouvert de contusions et on pouvait apercevoir certains os aux endroits où Harry avait trop frapper.

Un sourire psychotique éclipsant quelques instants celui enfantin sur son visage fit pleurer encore plus sa victime qui pleurnichait en silence.

- B-bien sur... Je comprends dit il en clignant des yeux.

- Parfait ! Il faudra que tu rejoigne la base, avant demain matin. Dit l'homme avant de raccrocher avec empressement.

Soufflant, Harry lâcha son téléphone sur le sol qui dans un bruit qui raisonnait dans la pièce se brisa en partie. Observant l'écran casser, il soupira d'un air triste.

- Tu vois mon cœur, personne ne me comprends réellement... Geint il en s'assayant près de l'homme.

- P-pitié... Pleura t-il.

Gloussant Harry se releva caressant ce corps si amochée.

- Je sais que tu souffre, mais tu dois comprendre que c'était le seule moyen de payer ! Tu m'as fais croire que tu m'aimais après tout ! Tu m'a draguer, TU MA SÉDUIT !

Il caressa son visage avant de saisir le marteau, le regard brillant d'excitation.

- Tu n'as pas à avoir peur, c'est juste une punition pour avoir voulut jouer avec mon petit cœur. Tu n'y peu rien en soit, tu ne savais pas qui j'étais, tu ne savais pas de quoi j'étais capable, personne ne sais de quoi je suis capable après tout... Par amour... Tout est possible après tout n'ai-je pas raison ?

- N-non...!

Il leva le marteau et dans un bruit de craquement brisa son dernier genoux intacte, frappant dessus encore et encore jusqu'à qu'il n'y ai plus qu'une bouillie de chaire et d'os. Une vrai purée maison gloussa t-il intérieurement.

Il regarda le visage emplie de souffrance, et embrassa les lèvres de l'homme avec passion, lenteur avant de mordre sa lèvres inférieure jusqu'au sang.

- Tu as un goût délicieux, dommage que tu met tromper ... Mon petit Quentin... Tu es une âme égaré et comme je suis une âme charitable, je te punit de cette manière tu ne fera pas la même erreur dans ta vie précédente.

Il frappa de nouveau sur l'homme avec le marteau mais cette fois au niveau des côté et les brisa une par une. Il aimait vraiment le bruit que faisait le cet outil quand les os se brisaient, c'était un plaisir indescriptible qu'il ressentait a travers tout son corps.

Il frappait, encore et encore, avant de terminer par la tête, éclaboussant des morceaux de cervelle partout, la pièce était recouverte de chaire, d'os et le cerveau venait rajouter quelques chose qui pouvait s'apparaître à de l'intelligence à ses yeux ce qui était assez amusant.

Lâchant le marteau, il sortit de la pièce, en croisant une des employés il lui souria gentiment.

- Oh Maryline ! Je sais désolée de vous déranger, est-ce que vous pouvez demander à quelqu'un d'aller nettoyer la salle du fond ? J'y suis peut-être aller plus fort que d'habitude alors je m'excuse d'avance. Fit il avec une moue innocente.

Souriant doucement Maryline, acquiesça simplement avant de s'éloigner.

Harry était pas du genre a laisser un secret ce mettre en travers de ses amis et de sa famille mais sa mère et son père lui avait toujours demander de garder celui-ci celé à jamais, celui qui faisait que tout les mafieux pensaient qu'il n'était pas fait pour être mafieux car il ne supportait pas les armes a feu. À vrai dire, Harry leurs avaient dit qu'il en avait peur mais la vérité était que dès qu'il avait quelque chose qui s'apparentait a une arme dans la main il devenait a moitié fou et tuait tout ce qui s'apparentait à un être vivant.

Et ça depuis l'âge de trois ans. Il avait tuer les poissons de sa mère en les découpant après qu'il ai apprit à découper , peu de temps plus tard il avait tuer sa tutrice alors qu'elle était tomber avec ce même couteau.

Depuis c'était un secret fermée au plus profond de lui.

Et toute personne qui le regardait pouvait juste voir un jeune homme dans la vingtaine, blondinet au yeux bleu l'air innocent et qui sursaute à chaque fois pour un rien sans savoir qu'en réalité il empêche ses pulsions meurtrières à chaque instant.

- Monsieur la voiture est prête dans une vingtaine de minutes, préparer vous s'il vous plaît.

- Bien-sûr ! Dit il gaîment.

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