Chapitre 20

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Les cries grave emplir l'habitacle, un frisson d'horreur traversa alors Annie, elle avait reconnu la voix de Klaus et ne pouvait imaginer à quel point la douleur devait être intense pour qu'il hurle.

Un des gardes qui était venue pour les surveiller ricana soudainement avant de ce tourner vers un autre qui lui renvoyait son sourire.

- Il à survécu à la décharge électrique c'est une première vue le voltage Ahah !

- Je suis sur que le boss va réussir à le faire supplier, il deviendra obéissant après tu verras, on pourra lui ordonner n'importe quoi !

- Je lui fairait lécher la cuvette des toilettes !

- Pfff t'es con, c'est débile de faire ça, moi je vais lui faire faire le nettoyage des pièces ça nous ferait moins de corvée...

- Ta raison c-

- Hé vous bande bâtards ! Quand je sortirais d'ici je vous briserait en deux pour avoir non seulement prononcer le nom de mon frère mais en plus avoir osé vouloir le réduire en esclave ! Cracha Alison.

Un des hommes, se tourna et sorti un bâton et en quelques secondes Alison se retrouva sur le sol a convulser en lâchant un gémissement de douleur.

- Matraque électrique ! Ria l'homme avant de reprendre sa conversation avec son collègue.

- Alison ? Appela Annie en s'approchant doucement vers elle.

Les yeux révulser la jeune femme ne répondit rien. Zed et Tristan, vinrent à leurs tour à ses côtés et caressaient son front.

- Il faut qu'elle reprenne connaissance ne t'inquiète pas, c'est juste que...

Des hurlements de pure douleur le coupa d'un coup. Les hurlements étaient encore plus abominable que les précédents, devenant insupportable de l'entendre. Annie se boucha alors les oreilles alors que les larmes lui montait au yeux.

Les cries cessèrent alors et elle retira ses mains après que Tristan lui ai fait signe, essuyant les larmes qui avaient couler sur ses joues, elle avait lancer un regard inquiet vers Alison qui c'était réveiller et qui fixait le couloir où avait été emmenée Klaus.

Tournant le d'yeux aussi, elle écarquilla les yeux en voyant l'homme prénommée Esteban couvert de sang, le regard fou et à son plus grand dégoût exciter sans sans cacher. L'homme bandait sans honte, exciter par la souffrance qu'il avait lui même infliger à un autre. Soudainement Annie ce demanda si c'est ce que ressentait son mari quand il la frappait. Était-ce pour ça qu'il le faisait ?

Secouant la tête elle s'insultait ce n'était pas le moment de penser à ce genre de choses. Passant une main tremblante sur son visage elle observa l'homme s'approcher des barreaux.

- Vous n'imaginez pas à quel point ça m'avait manquer de voir cette soumission à la douleur sur son visage... Murmura t-il alors qu'un silence malsain avait envahi les lieux.

Il caressa les barreaux, d'un air distrait avant de glousser.

- Pourquoi être obsédé à ce point envers lui ? Demanda Alison dans un souffle.

Relevant les yeux vers elle, il les observa un part un avant de la fixer d'un air intriguer.

- Je ne saurait le dire ... En revanche je sais que j'ai toujours voulu qu'il m'appartienne à partir du moment où je l'ai rencontré et qu'il à été à ma charge. Je voulais qu'il me vénère tel un dieu, qu'il m'adule tel un esclave envers son maître.

- Tu es abominable... S'exclama Tristan.

- Voyons Tristan, toi aussi tu voulais qu'il soit tien non ? L'amour violent qui te traversait tu y avait pas penser, le voir à genoux devant toi ? Te regarder avec adoration ?

- Bien-sûr que non ! Certainement pas ! Le seule regard qui aurait pu me rendre heureux c'est un regard emplie d'amour en étant sûr de son bonheur ! Toi tu veux seulement sa soumission total, heureux où non ! Tu es un putain de malade !!!

Un rire sinistre emplie la pièce.

- Ce n'est que d'en la pleine soumission qu'il sera heureux, comme avant, obéissant aux ordres sans réfléchir, sans ce poser de question, comme un bon petit toutou à son maître. Klaus est à moi ! Il le sera jusqu'à que je mourrais est-ce claire !? Cracha-t-il.

Il ria alors pendant quelques minutes avant que des hurlements de peur raisonne et que plusieurs homme apparaissent essoufflé.

- Monsieur ! Il s'est réveillé ! Il à... (Il inspira) Il à tuer deux autres gardes malagré les entraves !

- Vilain petit toutou ... Gloussa Esteban.

Il se tourna a nouveau vers eux avant de la fixer elle, un sourire malicieux s'affichait alors sur son visage. Il la pointa alors de l'index.

- Faite la sortir, je suis certain qu'à coup sûr pour pas qu'elle souffre il serait capable de supplier et d'obéir enfin.

Horrifiée, Annie se leva en se reculant, Zed et Tristan se mirent devant elle, Alison elle lui prit la main.

- Tu ne l'a touchera pas ! Cracha Zed.

- Aller me l'a chercher !

Trois gardes entrèrent alors dans la cellule dans leurs mains les fameuses matraques électrique, fonçant sur eux, les deux hommes essayèrent tant bien que de mal de les repousser, de des coups retenir. Zed reçu le premier au niveau de la mâchoire qui eu l'air de le sonner à moitié.

Tristan lui envoyait un coup dans la trachée de son adversaire avant de frapper fort à l'entre jambe mais qu'il ne puisse bouger à nouveau, il reçu une décharge électrique de l'adversaire de Zed qui était assommer sur sol. Alison se mit alors devant bien que tremblante en fixant la matraque qui se rapprochait d'elle mais comme elle devait s'y attendre elle reçu a son tour un coup d'électricité dans le corps.

Son corps devint alors raide avant avant de tomber lourdement contre le sol en béton, seule et sans défense, Annie ne sut pas quoi faire, elle ne s'était jamais battue de sa vie et encore moins contre des Matraque électrique. Une seule idée lui vint, la fuite.

Elle tourna la tête sur le côté et s'élança vers la droite, elle courut à l'autre bout de la cellule. Incapable de sortir a cause de Esteban qui barrait l'entré en la fixant amusé.

Elle essayait alors de s'enfuir a nouveau mais elle fut attraper et menotté alors même qu'elle se débattait en hurlant et mordant.

- LÂCHER MOI !!!  Hurlait elle.

On la forçait alors a ouvrir la bouche de force, y insérant un bâillon en forme de bâton qui imbibas ses papilles de cette saveur de rouille signe qu'il était en métal. Les larmes glissaient alors sur ses joues malgré elle tandis qu'elle continuait à se débattre tel une tigresse.

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