Une touche de bleu

Chapitre 3

Observant la jeune femme endormie sur son divan, Klaus sentit un sentiment de peine pour elle. Elle était si minuscule et tellement blessé et il ne fallait pas être devint pour savoir qu'elle se faisait maltraité depuis un long moment.

Jetant un coup d'œil vers son visage, il descendit son regard vers ses poignets prêt de celui-ci et observa l'un d'eux rouge et enflée. Il était peut-être casser, fêlé où moins ça il en était sur. Peu importe combien de maquillage elle avait mit la pluie avait fait le ménage à priori.

Saisissant son téléphone il la prit en photo avant d'envoyer celle-ci a Arwan, son bras droit de confiance en lui demandant de trouver toutes les informations possible et inimaginable sur la jeune femme et sur son mari. Après avoir envoyer son message il s'empressa de téléphoner au médecin personnel de Kélio car après tout ils étaient en Amérique et il n'avait pas ramener tout ses hommes non plus.

- Klaus ? Que me vaux cette appel si tardive ? Demanda le médecin.

Souriant, Klaus pouvait aisément dire que très peut de personnes qui n'était pas les mafieux du monde ne lui parlait ainsi. Le médecin était très apprécié car il était très doux dans ses gestes de plus étant de homosexuel, il savait que beaucoup était plus calme pour faire ausculter leurs femmes et bien que ce soit le cas pour lui aussi, il se sentait rassurer pour la jeune femme qui en cet instant n'avait pas besoin qu'un énième pervers vienne lui rappeler son passer.

- Une jeune femme, je crois sans doute qu'elle a plusieurs os casser et sûrement un poignet fêlé pour le reste je suis pas certain, il faudrait l'ausculter.

Quelques secondes de silence le laissait alors impatient avant d'entendre la porte de claquer de l'autre côté du téléphone.

- Je serait la dans vingt minutes mon collègue sera la aussi. Dit le médecin avant de raccrocher.

Tiquant au "collègue" mentionné, Klaus s'empêche de rappeler car après tout l'homme avait toujours été quelqu'un de confiance absolue.

S'assayant près de la jeune femme, il posa sa main sur son front et constata de la fièvre, la pluie n'avait pas été non plus très bonne pour sa santé, elle allait sûrement enchaîné avec une Angine voir une grippe, la laissant quelques instants, il appela un magasin de vêtements après avoir pris ses mesures pour qu'on lui livre le lendemain matin.

En même temps, il monta à l'étage et ouvrit la fenêtre d'une des chambres. Ayant pas été présent dans cette résidence privée depuis un moment, la maison n'avait pas été entièrement aérer c'est pourquoi il ouvrait la fenêtre, il dormirais dans cette chambre et placerait la jeune femme dans la sienne pour l'instant avant de trouver un autre endroit car il se doutait que la police viendrai l'embêter le lendemain pour "séquestration" de la jeune femme.

Souriant, il savait que les policiers était terrifier par lui et les autres du conseil des Mafieux. Après tout ce qu'ils avaient déjà fait dans le monde peu d'autorité osaient ce mettre en travers de leurs chemins.

Descendant les marches quatres par quatres, il vint ouvrir la porte aux deux docteurs. Découvrant le collègue de Phil François, il ne pu admettre que l'homme dégageait quelques chose d'étrange.

Les yeux sombre, des cheveux en bataille de la même catégorie, il devait mesurer un mètre quatre-vingt a tout casser et il voyait très bien que l'homme était bien monter. Était-ce l'amant du docteur ?

- Non ! Rougit Phil qui comprit ses pensées. C'est un collègue !

- Hum...Tu fais comme tu veux tu sais.. Lança il malicieux en marchant vers le salon.

Marmonnant des insultes, Phil s'exécuta et commença a observer et a noté des trucs sur un petit carnet.

- Je me présente, je suis le Docteur James.

Tournant le regard vers l'homme, il l'observa quelques instants.

- Klaus.

Restant sur une réponse basique, il s'avança vers la jeune femme qui commençait à se réveiller et qui montrait des signes de peur.

- Tous va bien, c'est un médecin. Fit il et posant sa main sur sa tête pour la rassurer.

Plongeant ses yeux dans les siens la jeune femme, lança un regard inquiet vers le Docteur James.

- C'est mon collègue, il est la parce que on était ensemble avant que Klaus nous appel. Sourit Phil.

- Docteur James, ravis de faire votre rencontre mademoiselle. Sourit l'homme.

Appuyant sur le "mademoiselle", Klaus compris que ce docteur était plus intelligent qu'il ne le montrait.

Ils passèrent alors l'heure qui suivirent a ausculter la jeune femme, lui déclarant plusieurs fracture, conseillant Klaus de l'emmener à l'hôpital le plus tôt possible avant que ça ne s'aggrave plus. Sur ces conseils, ils partirent les laissant seuls.

S'assayant près d'elle il, prit sa main et caressa celle-ci de son pouce.

- Klaus Walter. Dit il en souriant.

- Annie...Juste Annie... Souffla t-elle doucement.

- Ravis... Annie.

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(ET EXCEPTIONNELLEMENT
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