Chapitre 16

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Serrant les dents, Klaus essuyait le sang qui coulait d'entre ses lèvres e jetant un regard noir vers la famille qui lui servait de couverture, il les avait tous ligoté et bâillonné. Son père adoptif avait été le plus violent en lui assénant un coup de poing lui faisant exploser l'arcade sourcilière. En retour cet enfoiré avait récolté un coup de son magnifique petit taser qu'on lui avait offert pour sa résistance à l'électricité.

- Pourquoi...? Demanda Francine.

La douce femme, avait été une mère e or pour lui et cause de ça il avait faillit abandonné sa mission mais son grand frère lui avait rappeler que si voulait garder contact avec sa famille de coeur il faudrait bien écouter père.

Soupirant, Klaus s'assit sur une des magnifique chaise de la cuisine pour se mettre en face d'eux.

- Ce n'est pas contre vous Mère, au contraire j'ai faillit oublier tellement l'amour que vous m'avez portez était si bon... Ça faisait si longtemps que l'on ne m'avait pas aimer de cette manière... Mais voilà, mes frères et sœurs mon rappeler qu'il ne fallait pas décevoir notre père et que je me devait de punir ceux qui le traite avec dédain en le provoquant.

- Père ? Demanda t-elle encore perdu les yeux larmoyant de larmes.

Se levant en caressant sa joue, il lui souria avant de sortir un enregistrement qu'il avait reçu avant d'exécuter sa mission et le mit en route, il entendit alors la voix de son père.

- "Carole André. Moi, Ischyrós Père fondateur de la grande famille ne peut accepter que tu met rabaisser ainsi et ai envoyé un de mes plus braves enfants pour accomplir ma volonté la plus grande. Punir de mort ceux qui on bafouée mon nom. Que la souffrance emporte ton âme."

Écarquillant les yeux toute la famille ce tourna vers la jeune femme pour essayer de comprendre alors que celle-ci ce mit à pleurer.

- J-je savait pas que... qu'il était le maître ! Je peu rendre tout l'argent ! Le tripler ! Je peu même offrir mon âme à ton père si il me laisse en vie ! Je t'en supplie ! Pleurait elle.

La fixant , Klaus eu un peu pitier d'elle.

- Tu sais au début j'avais prévue de te tuer en empoisonnant tes poison alcoolisé... Mais tu as tout d'un coup décidé de jouer la jeune femme sage et cool de la famille pour ton futur époux... Je trouve ça triste que tu lui mente d'ailleurs et je suis heureux que tu n'ai pas concrétiser car il aurait été lié à toi...

Soupirant, il ouvrit une petite malette pour y saisir une seringue. Tapotant pour faire sortir l'air il fixa le produit grisâtre quelques instants avant de se tourner vers la jeune femme.

- Je veux rendre père fière tu sais. Je n'ai rien contre toi en soit, il est vrai que tu es quelque peu superficielle et bête sur les bords mais ça s'arrête là mais c'est du à ton éducation. Regarde ma maman et mon papa mon éduquer à la ferme et mon appris qu'il faut travailler dur pour avoir ce que l'on veut alors que les tiens ton tout servit sur un plateau d'argent...

- Tu ...tu parle de tes parents biologiques ? Demanda le père qui avait réussi à retirer son bâillon.

- Bien-sûr, de qui d'autre ? Sourit il amusé.

- Mais alors qui...qui est Ton Père ? Celui qui t'envoie ? Demanda Thamos le majordome.

- ...Je ne suis pas sur encore... Disons qu'il est celui qui à prit mon âme pour ce l'approprier me rendant plus fort que je ne l'ai jamais été.

- Il kidnappe des enfants... Murmura Francine.

- Klaus... Est-ce ton vrai nom ?

- Pourquoi prendre un nouveau ? Ce serait stupide. Bon ! Assez parler !

S'approchant de Carole, il lui injectait le poison via l'épaule d'un geste rapide et efficace. Jetant la seringue sur le sol il essayait le sang qui coulait de la petite piqûre pour que tout soit propre. C'était son lieux de travail après tout.

- Souhaite tu boire où manger quelque chose ? Demanda-t-il à sa victime en crise panique.

- Tu as plusieurs heures devant toi alors profite en à font soeurette. Pour être exact il te reste quarante huit heures avant de mourir. Ne t'inquiète pas, tu te sentiras juste très fatiguée et tu t'endormiras simplement. Je suis pas non plus abominable. Sourit il.

- Carole ! Hurla Francine.

- Voyons mère, elle aurait pu envoyer toute la famille à la mort..

- Ferme la ! Tu ... Tu es un monstre ! Pleura Carole.

Gloussant, Klaus les fixait avant qu'une idée germe dans son esprit. Il prit un couteau énorme dans la cuisine et enleva les liens de la jeune femme avant de la gifler.

- Lève toi et cours, je vais te montrer ce qu'est un monstre ! Si tu veux vivre les dernières heures que je t'ai gentiment offert fuit !

Écarquillant les yeux, elle le fixa comprendre, il leva alors le couteau et la blessa avec alors qu'elle mettait sa main devant pour se protéger.

Les gouttes de sang s'éparpillairent sur le sol et avant qu'il ne puisse admirer plus longtemps elle partit en courant, Klaus sentit alors son sang bouillir comme de la lave, il en baverait presque tellement la sensation était forte.

Un sourire sombre couvrit son visage avant qu'il ne s'élance vers sa proie lui aussi en courant. Les pas martelant le sol, il l'a suivi jusqu'à l'étage. Elle est stupide il pensa alors qu'il vit la porte fermée à clef.

Il toqua avec le couteau et dit d'une voix amusé.

- Ouvre moi petit cochon...

- Va crevé sale bâtards ! Hurla une voix à côté de lui.

Se tournant il n'eu pas le temps de réagir pour parer entièrement le coup qui fut frapper avec une batte de base-ball sur les avants bras. Elle courut alors vers le bas, profitant du fait qu'il ce soit arrêter quelques secondes mais c'est amusé qu'il l'a suivi en marchant, l'observant alors s'écrouler sur le sol. Le faisant rire.

- Ai-je préciser que l'activité physique accélère le sang donc le poison ? Tu es paralysé actuellement... Donc je peu faire ce qu'il me plaît de toi...

S'avançant, il saisissa un de ses poignets et le trancha avant de faire de même avec l'autre.

- Fait de beau rêve soeurette. Dit il avant de s'éloigner content de terminer cette mission aussi rapidement.

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