Chapitre 5

6.6K 374 28
                                    

Silencieuse, Annie fixait le mûre en face d’elle depuis une trentaine de minutes, complètement recroquevillée sur elle-même , elle s’était rendu compte à quel point elle avait été désespéré le soir d’avant pour supplier un homme qui lui était tout bonnement inconnu lui venir en aide. C’est sur qu’il avait été très gentil, pareil pour les deux médecins mais Klaus dégageait quelque chose de vraiment effrayant et elle ne savait pas trop quoi exactement. Son instinct lui soufflait simplement que l’homme était plus dangereux qu’il ne le laissait penser.

Après que les deux médecins est énumérés ses plaies, Klaus lui avait laisser le choix d’aller a l’hôpital sur l’instant ou attendre le matin et Annie avait ressentit l’envie de rester là. Après cette décision, l’homme l’avait soulever et porter jusqu’à l’étage la plaçant dans une immense chambre. Allonger dans un lit sombre, Annie avait sentit immédiatement l’odeur de son sauveur l’entourer et en avait déduit être sa chambre.

Elle se demandait alors si la chambre où elle se trouvait avait été la seule, mais n’eu pas le temps de lui demander qu’il lui avait souhaité bonne nuit avant de disparaitre la laissant seule dans la pièce. L’odeur la rassurant elle s’était alors endormie rapidement.

Maintenant qu’elle était réveiller, elle devait se l’avouer elle était folle. Faire confiance à un inconnu avait été complètement déraisonnable mais dans la situation où elle s’était trouver elle savait qu’elle n’avait pas vraiment eu le choix.

Essayant de se réveiller, elle lâcha un couinement de douleur alors que sa poitrine lui faisait affreusement mal. Se rappelant que les médecins avait annoncé ses blessures elle en déduit que les coups serait assez élevée.. mais elle n’avait plus rien… comment ferait elle ?

-Annie ? Appela une voix chuchotante.

Tournant les yeux elle vit Klaus éclairer par la fine lueur qui traversait le rideau et en eu le souffle couper. Cet homme était vraiment beau, a présent qu’elle avait l’esprit clair elle ne savait pas comment elle réussirai a ne pas rougir quand il la regarderait.

-O-oui ? Répondit elle gêner.

Pénétrant dans la chambre, son aura prit place dans la pièce, il était le maître des lieux et il le montrait sans aucune honte ou gêne.
Marchant jusqu’au lit, l’homme leva la main pour le poser sur son front la faisant rougir encore plus fortement.

-Vous n’avez pas de fièvre… Avec vous trop chaud ? Demanda Klaus.

-N-non…pourquoi ?

Restant silencieuse, l’homme se pencha vers elle très près avant de se relever.

-Vous êtes rouge… C’est assez étrange.. Bon, j’ai ma voiture qui nous attend en bas, je vais vous portez en essayant de vous faire le moins mal possible. Je m’excuse d’avance si je n’y parvient pas totalement.

Rouge de s’être fait prise sur le fait, Annie acquiesça simplement sans savoir quoi dire d’autre. Klaus était vraiment un homme imposant et elle se sentait vraiment comme une petite souris maintenant qu’elle se retrouvait face a la en plein jour.
Se penchant vers elle, l’homme passa ses bras sous son dos et ses jambes avant de la soulever avec les plus de précaution possible mais malheureusement a peine était elle soulever dans les air qu’une immense douleur embua ses yeux, la faisant gémir de douleur.

-Je suis vraiment désolé Murmura t-il en commençant à descendre les marche avec précaution, évitant de faire des gestes trop brusque.

Sentant une douleur qui pulsait, Annie ne put s’empêcher de se mettre à pleurer et a peine les premières larmes coulaient qu’elle sentit toute ses douleurs passer se mêlées a celles présent. Comme ci toute les souffrances sortaient enfin de son cœur. Se sentant poser sur un siège, elle ferma les yeux quand l’immense main de Klaus se mit a caresser ses cheveux murmurant des choses dans une langue qui lui était complètement inconnu.

C’est sans sens rendre compte qu’elle s’endormit de nouveau avant de se réveiller à nouveau pour oublier la douleur si profonde qui lui poignardait le cœur.

Se réveillant une nouvelle fois, elle vit qu’elle se trouvait dans une salle d’hôpital, observant les lieux elle vit une poche relier à son bras et en déduit que c’était un anti douleur car elle ne souffrait plus, elle vit aussi que son poignet droit portait une attelle, en baissant la tête elle sentit un bandage entouré son cou , elle leva alors le bras pour le toucher avant de soulever sa chemise blanche que les médecins lui avait sûrement mise pendant qu’elle dormait. Elle vit alors son torse porter un immense bandage, lui entourant totalement la cage thoracique.

-Évite de faire trop de mouvement, dit une voix rauque.

Tournant les yeux elle vit son sauveur assis sur une chaise, devant lui un ordinateur tandis qu’il tapait sur les touches rapidement, lui lançant un regard d’avertissement. C’était un ordre elle en était sur et cette simple constatation la fit frissonner.

-Annie Durand 32 ans , Mariée à Hugo Durand 54 ans alors que tout les deux avait réciproquement 18 et 40 ans. Mariage de convenance, étant donner que vous étiez de nationalité américaine et lui française vos parents on vue une affaire que de vous marier à un homme riche qui pourrait les débarrasser de votre charge en plus de les enrichir encore plus. Le mariage était sous arrangement que vous donniez un héritier à votre maris sous quatre ans après votre mariage mais ça ne s’est jamais fait car il était stérile. C’est d’ailleurs partir de se moment la que la maltraitance qui était mentale est devenu aussi physique je me trompe ?

Les yeux écarquillés, Annie se sentit terrifier qu’il ai toute ses informations sur elle mais ne put rien dire car il poursuivit.

-Hier soir, lors d’un énième galas de charité, votre maris vous à menacer, les témoins disent qu’il vous a gifler avant que vous ne vous enfuyez lors d’un moment d’inattention de sa part. Sa mère est d’ailleurs dans le comas car il la frapper. Les domestiques témoigne de votre lien très fort avec celle-ci qui est déjà venue vous aider à plusieurs reprises. Dite moi Annie, pourquoi ne pas avoir porter plainte contre lui ?

Plongeant son regard dans le sien, Annie se sentit complètement prise au piège dans se regard autoritaire.

-Il…il avait des amis bien placer… il la dit qu’il détruirait ma vie si je tentais quoi que ce soit…

-Ce ne sont que des mensonges. Votre mari a d’ailleurs de plus en plus de problème financier a cause des nombreuse prostituées et escortes girls qu’il a payer ses six derniers mois. Il a d’ailleurs reçu plusieurs plainte pour agression qu’il a arranger par de l’argent. Voyez vous Annie, si vous aviez porter plainte pour maltraitance sur conjoint, votre maris aurait eu énormément de soucis amis ou pas si cela était arrivé à l’oreille des médias ça aurait détruit son image.

Silencieuse, Annie sentit simplement son cœur se serrer et ses oreilles bourdonner.

-J’avais peur de mourir Finit t-elle par dire avant de fondre en sanglots.

************************************

NOUVEAU POSTE
LE DIMANCHE

************************************

Instagram : ___hope_winter___

N'hésitez pas à laisser un commentaire et a voté, ça aide et ça ❄️ motive ❄️
❄️♥️❄️

Une touche de bleuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant