𝕎𝕒𝕝𝕜 𝕨𝕚𝕥𝕙 𝕞𝕖 // Carl Grimes //

Chapitre 9

Lors des jours qui avait suivie les récents événements, nous avions essayé tant bien que mal de trouver un terrain d'entente avec les détenus. Ceux-la avaient fini par daignez nous donner la moitié de leurs provisions.

Nous nous étions tous à peu près remis du tragique accident qu'avait vécu Hershel, il le fallait bien, nous n'avions pas vraiment le choix. Seulement maintenant, nous redoutions le prochaine évènement comme celui-ci...

Aujourd'hui, il faisait beau, tout le monde avait l'air de bonne humeur. Nous avions trouvé des béquilles adéquats pour Hershel dans l'infirmerie.
Mais était-ce le calme avant la tempête ?

Nous étions entrain d'aider Hershel, celui-ci devait s'habituer à marcher avec des béquilles, nous le faisions dans la bonne humeur, tout le monde avait les yeux rivé sur lui, c'était sa première sorti aujourd'hui.

Cet alors que, d'un seul coup sans que personne ne s'y attende, plusieurs rôdeurs débarquèrent.
Pris au dépourvue, tout le monde bougea de partout, des cris se faisait entendre, c'était ceux de Rick qui hurlait le prénom de sa femme.

Moi, j'étais restée statique, sans voix, sans savoir comment agir, complètement paniquer.
C'est la main de Carl sur mon bras qui me ramena à la réalité, celui-ci m'agrippa le bras et me tira avec lui, Lori et Maggie à l'intérieur d'un des bâtiments, le seul qu'on est trouvé à notre portée, ce qui nous plongea dans le noir complet.

Lori était épuisée, sa grossesse étant pratiquement à son terme, le moindre gros effort lui coûtait beaucoup d'énergie.
Cet alors que dans le pire des moments, celle-ci commença à avoir énormément de contraction, c'est à cet instant qu'elle déclara entre deux souffles :

- C'est le moment...

Carl, qui jusqu'à maintenant paniquais en silence, commença à bouger de partout, voyant sous ses yeux sa mère souffrir. Maggie essayais de calmer Lori comme elle le pouvait.

Ce moment était juste horrible, et pour en rajouter une alarme continue et très forte se fit entendre. 
Le stresse monta d'un cran, puisque nous n'avions aucune idée du nombre de rôdeurs présent dans les couloirs dans ce bâtiment, ainsi nous savions tous très bien que le bruit allait tous les agités...

Nous avons à peine le temps de réagir que des dizaines de morts arrivèrent de tous les côtés
Soudain, Maggie pris les choses en mains et emmena Lori qui souffrait le martyre, dans la pièce qui se trouvait juste devant nous, c'était la chaufferie du bâtiment.

A ce moment là, aucun de nous quatre semblaient gérer la situation et c'était complètement normale. J'avais juste envie que tout s'arrête, que l'on retrouve les autres...
Pour être honnête, je n'arrivai même pas à regarder Carl dans les yeux, et d'ailleurs, si les choses venaient à dégénéré pour Lori, je ne pourrai plus jamais le regarder dans les yeux. Je suis sur que Maggie ressentais la même chose que moi, en pire évidemment, étant donné que dorénavant la survis de Lori et du bébé ne dépendais que d'elle...

Mes larmes, elles coulaient, sans s'arrêter. Je n'avais plus le contrôle, je n'arriverai plus à avoir le dessus sur ce que je ressentais et j'avais honte. Vous savez pourquoi ? Parce que même Carl, ne pleurais pas, ses traits de visage ne démontrais rien. Cela en était presque effrayant. Il avait mal, mais il essayait par tout les moyens de garder son calme, pour sa mère.

Elle essayait, de résister par tout les moyens, elle s'accoudais sur tout ce qu'elle trouvait dans cette pièce, ses contractions était affreusement douloureuse, en vue de ses nombreux gémissements.