Le Renard et la Mésange. ( Fiction DarlingPan )

Chapitre 3 . Le Sentiment.

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                   Le Renard et la Mésange. 

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Wendy venait de voir l'ombre de Peter descendre dans la cave là où son maître se trouve emprisonné. Curieuse mais surtout inquiète, la petite blonde quitta sa cachette pour suivre discrètement l'ombre de Pan. Quand elle arriva dans les cachots, elle fit bien attention de ne faire aucun bruit. Elle n'a aucune envie de se faire repérer par son beau renard.  

Son cœur fit un bon dans sa poitrine. "Ou était-il ? Qu'allait-il me faire ? Avait-il quitté le bateau ?" Beaucoup de questions se mélangèrent dans la tête de la gamine, et elle ne trouva aucune réponse ce qui fit grandir sa peur.
Alors qu'elle s'apprêtait à quitter cet endroit si sombre, elle sentit des mains froides venir se poser sur sa bouche pour l'empêcher de crier. Son cœur se serra violemment dans sa poitrine, les larmes coulèrent sur ses joues et elle tenta de crier, mais ils firent étouffer directement par son agresseur qui est bien plus grand et bien plus fort qu'elle.

Il l'emmena dans une chambre du bateau, la forçant à le suivre, lui donnant des coups de pied dans les chevilles. Comme se crient de peurs, se crie de douleurs furent étouffer eux aussi. Quand ils entrèrent dans la petite pièce, Wendy tenta de voir son visage, mais son agresseur porte une capuche. Il la poussa méchamment dans le lit et la déshabilla sans lui demander sa permission. ,La gamine tentait de le repousser avec du mal, mais Wendy est trop faible, elle n'a pas de force . Il revint à l'attaque en lui serrant les poignets, elle cria, mais il mit sa main sur sa bouche pour la faire taire. Wendy avait de plus en plus de mal à respirer. Elle est terrifiée.
Qui est cet individu ? Qu'est qu'il le veut. La mésange se laissa faire, mais le combat n'est pas encore perdu pour elle. Wendy sentit les mains de son agresseur descendre sur ses jambes sous sa robe de nuit. Une nouvelle fois son cœur se serra dans sa poitrine, et elle eut envie de vomir. Avec beaucoup de mal, elle se redressa et lui enleva sa capuche.
La mésange reconnut son renard.

Peter : Salut Wendy ! dit-il en souriant fièrement.

Sans le remarquer, Wendy fut directement soulagé, même rassuré... Avec son imagination débordante, la gamine s'était imaginé plusieurs scènes. Cet inconnu aurait pu être Rumpelstiltskin. Ce vieux crocodile dégoûtant que chaque enfant perdu déteste !
La voyant soulagée, Peter regarda Wendy en souriant, puis il écrasa ses lèvres contre les siennes tout en caressant son corps sans aucune délicatesse. Elle sentit ses mains caresser sa poitrine, ses jambes. Revenant à la réalité, elle comprit ce que son renard désirait... alors elle tenta de se sauver mais le malicieux renard est beaucoup plus grand et plus fort que la douce mésange. Wendy n'est qu'une enfant à côté de lui. Quand elle le vit défaire son pantalon, la gamine comprit qu'il comptait la violer, une nouvelle fois... la prendre que pour lui... Oubliant qu'elle a un cœur et qu'elle souffre...

Wendy : Lâche-moi !

Peter : Je sais que tu en as envie ! Insiste-t-il en la retenant.

Wendy : Non ! Lâche-moi ou je hurle !

Il mit sa main sur sa bouche pour la provoquer une nouvelle fois, ses mains sont toujours aussi froides.

Peter : Tu vas te taire, sinon je ne te ferais pas de cadeau, je serais très violent et tu auras très mal, ma petite Wendy. Ahah !

Il ria, un rire que Wendy connaît par cœur maintenant.

La gamine était terrifiée, mais ça ne lui faisait ni chaud ni froid, Wendy avait l'impression que ça l'excitait. Sa peur l'amuse depuis son arrivée à Neverland... Avec les dernières forces qui lui restait, la petite blonde tenta de pousser le grand brun, mais celui-ci la plaqua violemment contre le lit et enleva sa chemise en tissu devant elle.
Wendy tenta de baisser le regard, mais elle en fut incapable. Maintenant que son beau renard est torse nu, elle peut admirer chaque parti de son corps... La mésange ne peut pas s'en empêcher, elle le regarde avec envie. Envie ? Envie de quoi ? À nouveau son cœur fit un bon dans sa poitrine.
"Non je ne l'aime pas, ce pervers me viole !" pensa l'enfant perdu.