Chapitre 6

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Bonjour!

Me revoici enfin après mes vacances et mes examens! J'espère que vous allez bien.

C'est un petit chapitre assez doux avant d'attaquer les choses sérieuses (et peut-être douloureuses) ! Parce que oui il arrive toujours quelque chose à nos deux personnages préférés... :O j'espère que la mère de Hélène vous plaira, je n'ai pas l'habitude de créer de nouveau personnages... Mais il y aura surement d'autres moments avec elle!

Bonne lecture!

Chapitre 6

Après s'être habillé, Balthazar descendit rejoindre Hélène qui s'affairait dans la cuisine. Elle était en train de préparer du café et un petit déjeuner. Elle ne l'avait pas entendu entrer et elle sursauta quand il l'enlaça par derrière.

« Balthazar ! »

Il déposa un baiser dans son cou, fière de lui.

« Où est ta maman ? »

« Elle doit être dans le salon. » Répondit Hélène sans quitter des yeux ce qu'elle était en train de faire.

« Et euh... Je peux savoir sur ce que tu lui as dit sur moi et euh sur nous ? » Demanda Balthazar légèrement inquiet en lâchant Hélène et en l'aidant à finir ce qu'elle préparait.

« Tout. »

Balthazar arrêta ses gestes.

« Tout ? C'est-à-dire, tout comme vraiment tout ? »

Hélène rigola et se tourna vers lui.

« Oui, tout comme vraiment tout. »

« Je ne suis pas sur qu'elle va m'adorer alors... »

Hélène redevint plus sérieuse et posa une main sur sa joue.

« J'avais besoin d'en parler et j'avais besoin de commencer par le début. Elle sait dans les grandes lignes ce qu'il s'est passé entre nous et elle comprend et accepte mes choix. Tu n'as pas à t'inquiéter. »

« Bon, je te fais confiance. »

« Tant mieux ! » Sourit Hélène en posant le déjeuner sur un plateau. « On y va ? »

Balthazar acquiesça et suivit Hélène vers le salon.

« Maman, elle posa le plateau sur la table basse qui se trouvait devant le fauteuil où était assis Madame Bach, je te présente Raphaël. »

Hélène se décala pour laisser place à Balthazar.

« Ah le fameux Balthazar qui retourne le cerveau et le cœur de ma fille ! » dit la dame en se levant et en tendant une main vers le légiste.

Ce dernier serra la main tendue devant lui avec un sourire timide. La mère de Hélène était aussi grande qu'elle, elle avait des cheveux gris clair qui lui arrivait au-dessus des épaules. Les traits de son visage étaient tirés et elle arborait un air sévère assorti à sa voix mais ses yeux bleus trahissaient une immense gentillesse et de la bienveillance.

« Enchanté Madame Bach. »

« Appelez-moi Sophie, je vous en prie. » dit-elle en souriant ce qui eu pour effet de détendre toute l'atmosphère.

Balthazar et Hélène prirent place dans le divan.

« C'est vous qui avez offert ces magnifiques tournesols à ma fille, Raphaël ? » Demanda Sophie avant de boire une gorgée de thé.

« Oui, Madame. Pardon »

Hélène n'arrivait pas à effacer son grand sourire. Ça la faisait bien rire de voir son légiste perdre toute sa confiance en lui.

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