Je ne te laisserai plus partir (fanfic Moriarty the patriot)

Tu fais tout de travers

La rentrée a Durham, à été légèrement agitée, Mary et Moran n'ont pas arrêté de se prendre la tête, Sherlock avait des affaires a Londres, il ne viendra à Durham que pour le mariage. Ce qui vaut mieux pour l'identitée de Bond. Mais mon entrain n'est plus là, j'ai l'impression d'être mise sur la touche. Est-ce que c'est parce que je suis de la famille Holmes ? Il ne me considèrent pas comme une traîtresse j'espère ? Ils s'imaginent que je vais tout raconter à mon frère ou a ma sœur ?

Celà fait déjà une semaine que nous sommes rentré, William ne me parle plus des plans. Heureusement Bond et moi nous entendons bien. Aujourd'hui ils doivent faire une course à la banque pour William. Je n'étais même pas au courant. C'est évidemment pour intégrer Bond dans l'équipe mais... Pourquoi je ne sais plus rien dans cette maison?

" Hum.. T/P?

- Oui Mary? Qu'y a-t-il ?

- Je.. j'ai l'impression que les choses ne vont pas fort entre ton fiancé et toi. Ne le prends pas mal... mais il ne te parle quasiment pas. Enfin comme tout le monde dans la maison, sauf Bond.

- Hmm, je sais bien, et j'en suis triste. Je vais parler à William je pense. Il faut que l'on fixe ça avant le mariage.

-  Ma foi, j'espère que tout ira bien.

- Merci Mary."

J'entre dans le bureau de Will pendant que les autres sont en ville. Il a l'air totalement absorbé par un plan de l'Inde.

" - Hello, tu te rappelles de moi j'espère.

- T/p... Que fais tu ici ?

- Parler à mon fiancé peut être ?

- À propos du mariage hein ? dit il avec un sourire charmeur

- Sans doute oui.

- Écoute, si tu t'inquiètes pour les bagues, Al nous en fait cadeau.

- Qu'es-ce que ça peut me faire ? Tout ce que je veux savoir, c'est pourquoi plus personne ne me parle dans cette maison ?

- Écoute, je sais que c'est dur à entendre, mais on ne peut plus te faire confiance, ta récentes retrouvaille avec ton frère et ta soeur pourrai te donner l'envie de tout leur dire. Mais notre activité disons, doit rester secrète.

- Et qu'est-ce que je dois faire pour encore ! prouver ma loyauté ?! RAMPER A GENOUX DEVANT TOI?

- Calme toi, tu dois comprendre que je sois anxieux.

- Tu sais quoi ? Puisse que je ne sers visiblement a rien dans cette maison, je pense partir sur le champ !

- Allons ne soit pas ridicule !

- VAS TE FAIRE VOIR ! Et dit adieu au mariage !"

Je sors en claquant la porte. Je cours dans le couloir menant à ma chambre et j'y croise Mary. Je luis dit de ranger ses affaires et car nous partons. Elle semble légèrement surprise mais par dans sa chambre sur le champ. Une fois que nous avons fini nous descendons dans l'entrée mais William nous y attend.

" Il est hors de question que je laisse ma fiancée partir de cette maison.

- Écoute moi bien enfoiré! Je sais pas encore ce que tu as fait à ma sœur ! Mais tu vas le regretter.

- Mary... S'il te plaît laisse moi gérer.

- C'est tout vu! Tu restes ici c'est tout ! Dit William.

- Dégage William!"

Sur ces paroles je lui mets un coup dans l'estomac , Mary et moi partons à la gare aussi vite que nous pouvons. Heureusement, un train par pour Londres a l'instant. Il devrait arriver à Londres a dix-huit heures. On dormira chez Sherly. Mais une fois assises dans le compartiment, je pleure. De rage. De tristesse. De dégoût. De déceptions. Je l'aimais tellement. Pourquoi fallait il qu'il soit aussi stupide. Mary me console du mieux qu'elle peut. Quand nous arrivons chez Sherlock, je le retiens de se précipiter a Durham pour casser la figure de William. Il voit que je suis bouleversée et décide de s'occuper de moi à la place. Watson n'a pas l'air de comprendre se qu'il se passe. A chaque fois que je débarque à Baker Street, je suis dans un état épouvantable.

Après une nuit de sommeil agité, je me réveille dans un état encore plus pitoyable que la veille. Les cernes sous mes yeux ressemble à des valises, j'ai les yeux encore rouge et gonflé. Le petit déjeuner en compagnie de gens n'ayant pas de plan machiavélique a leur actif est plus qu'agréable. Cependant, a l'heure du déjeuner. Miss Hudson fait monter un homme qui veut me voir. Albert.

" Fout le camp Al!

- T/p.. calme toi... William regrette sincèrement ses actes et ses paroles. Tu sais très bien que quand il s'agit de toi il n'est pas objectif.

- Ha oui ? Alors pourquoi n'est il pas là pour me le dire ?

- Son train arrive cette après midi. Voilà tout.

- Bon si t'as rien d'autre à dire dégage.

- Allons, tu ne vas pas casser vos fiançailles comme ça. Tu sais combien on coûté les bagues ?

- Sherlock, Attaques !

- Je suis pas ton chien!!!

- Ha mince simple erreur de ma part.

- On réglera ça plus tard.

- Bon Albert ma patience a des limites, vas-t- en!

- Mais enfin, T/p..."

Sur ces mots quelqu'un entre dans la pièce. William. Déjà ?

Un jour tu seras moins maladroit avec moi