The way we fall in love (The Walking Dead french fic)

Fiiiirst chapteeer

NDA: L'histoire se situe quelques temps après la mort de Lori et avant que Glenn et Maggie se fassent kidnapper par Merle.

Le froid me ronge jusque dans les os, je ressers nerveusement ma parka trop grande, et je marche silencieusement, depuis que j'ai perdu mon grand-frère, Yuma et mon meilleur ami Adriel à cause d'un troupeau de ces bêtes, je crève la dalle. Avant ils s'assuraient qu'on bouffe tout les trois à notre faim, j'avais même garder (malheureusement) quelques rondeurs, tels que mon ventre replet et mes hanches trop larges, mais depuis j'ai du perdre un peu de poids à force de ne manger que des baies et autres fruits forestiers.

Je ne peux pas allumer de feu alors chasser ne servirait à rien, je risque juste de chopper des vers si je mange de la viande crue. Mais j'ai un bel arc hérité de mon père qui me sers à tuer les choses.

Il commence à faire nuit et se déplacer dans ces conditions est dangereux, je vais grimper dans un arbre et somnoler un peu, histoire de ne pas me faire bouffer demain.

Je grimpe entre deux branches proches de manière à ne pas chuter et somnole.

~Time skip~

Des bruits de pas me réveille, je reste sans bouger et j'écoute ces pas... Ce n'est ni des choses ni des animaux, les pas sont trop lourds et régulier, ils sont deux, ils parlent... Des hommes.

Je me demande si ils transportent de la nourriture, ou lors du matériel de soin, je devrais me penche pour voir...

Je me penche doucement vers l'avant mais fais bruisser les feuilles, j'entend une vibration que je reconnaitrais entre mille et me jette sur le côté, tente de me rattraper au branches, j'attrape une branche trop frêle qui ne stoppe pas ma chute mais la ralentit, empêchant trop de dégât sur mon corps et surtout mon arc et mes flèches que je maintiens serrés contre moi.

Je me redresse vite, prête à fuir, mais un revolver braqué sur mon front me stoppe, j'exhale bruyamment, paniquée, l'adrénaline cours dans mes veines et chacun de mes muscles est prêt, à la première occasion pour fuir.

"C't'une gamine. Dit une voix grave avec un accent étrange, un homme avec une barbe de quelques jours et ce que j'identifie comme une arbalète, cause de la vibration de tout à l'heure.

-Hey petite, ça va ? Pas trop dure la chute ? Me demande un jeune homme, typé asiatique en baissant son revolver.

-... Je gardais le silence, j'avais déjà été trahie par des gars avec ce genre d'air gentil, et les gars et moi on a faillit clamser.

-Hey gamine le chinois t'as parler, don tu répond. Me dit l'autre.

-Je suis coréen Daryl CORÉEN ! Puis calme toi tu va lui faire peur. Lui répond l'asiat'

-Vous êtes bien gentils mais moi je vais dégager, j'ai d'autre choses à foutre que d'écouter deux dégénéré se cracher à la gueule. Je dis en me levant et en commençant à partir.

-Ah ouais, comme quoi gamine. Me demande Daryl

-Sauver ma peau et chercher à bouffer par exemple. Je répond sèchement.

-Tu voudrais venir avec nous ? Me demande gentillement l'asiatique.

-T'es malade Glenn, si on ramène une gamine Rick va gueuler. L'engueule le possesseur de l'arbalète.

-Daryl, cette gamine elle a rien de dangereux, elle a l'air paumée et de crever la dalle, regarde elle est au bord du malaise ! Dit Glenn en balançant un va que signe du bras dans ma direction.

-Ouais t'as raison, on la ramène à condition qu'on lui couvre les yeux av-.

-Vous m'amenez nul part, qui me dit que vous allez pas me faire la peau à la première occaz' hein ?! Jamais j'suivrais des gars dans votre genre, compris ?! Je cris, énervée qu''ils parlent de moi comme si je n'existait pas.

-Écoute gamine, c'est ou tu crèves la dalle, ou alors tu te fais bouffer par des rodeurs ici ou tu nous suis et on pourras p't'être sauver ta p'tite vie, compris ?! Me balance agressivement Daryl.

-D'accord, mais je garde mes armes sur moi jusqu'à votre endroit. Sachez que je peux tirer les yeux fermer." Je grince entre mes dents.

Glenn me sourit et m'attache délicatement un foulard autour des yeux, je sens sa main se refermer doucement sur mon bras.

Je ne m'attendais pas à autant de délicatesse. On marche un long moment, peut-être une demi-heure ?

Quand je détache le foulard, un bâtiment gris se détache entre les feuilles orangées et le ciel gris.