~ It's between me and you, our little secret ~

Chapter IV

Holla! Voila un autre chapitre. J'étais comme aahfjhafdfag en l'écrivant, jespere que vous allez l'aimer comme moi jai adoré l'écrire. merci pour vos votes, commentaires. Merci de m'encourager a continuer je vous adore tous :)

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Je me cacha dans un coin de l’enclos de Summer, me morfodant sur moi même, roulé en boule et pleurant toutes les larmes de mon corps. J’étais pétrifiée par ce qui venait de se passer, je ne le savais pas capable de faire une telle chose. Je pensais qu’il avait changé, qu’il n’était plus la brute d’autrefois, mais au fond, il était toujours ce Ryan, celui qui m’avait fait du mal et qui ne se gênerait pas pour me détruire.

Mes pleurs résonnèrent dans l’écurie. Summer s’approcha de moi. Je décela de la tristesse et de la pitié dans son regard perçant. Elle s’agenouilla près de moi et caressa mon ventre avec son museau. Mes yeux s’équarquillèrent devant le geste adorable de Summer, un peu surprise par l’intelligence de la jument. Elle me comprenait comme personne d’autre. Mes pleurs avait cessé, comme par magie, plutôt à cause du réconfort qu’elle m’apportait. Je l’adorais déjà. Je commença à lui caresser la tignasse, aussi douce que du velours. Elle poussa un hénissement, comme pour me dire qu’elle appréciait le geste. Puis, plusieurs hénissement suivèrent, alors que la jument se remit sur ses quatre pattes.

Quelqu’un venait dans notre direction, je me cacha dans un coin, arrêtant toute respiration. Mon coeur pompait rapidement et bruyamment, comme s’il voulait sortir de ma poitrine. Mes mains tremblaient et des larmes naissaient à la commisure de mes yeux. J’avais peur. Peur que ce fut Ryan qui en voulait plus. De jolies bouclettes chocolatées envahirent ma vision et toute peur quitta mon corps, mais je resta dans mon coin, espérant qu’il ne me remarqua pas vu mon sale état. Robe déchirée, yeux enflés par les larmes, du foin dans les cheveux. Il avait les yeux pétillants, sa façon de regarder Summer me faisait fondre intérieurement. Il posa ses lèvres pulpeuses sur le museau de la jument, y laissant un baiser humide et plein d’amour. Il était dos à moi en train de caresser la chevelure de Summer.

Harry: Que faites vous ici?

Moi: *sursaute*...

Harry: *amusé* J’attend votre réponse

Je ne savais pas quoi lui répondre. Aucun mot ou phrase ne me venait en tête, j’avais perdu mon don de la parole pendant cet instant, incapable de formuler une quelconque phrase. Il soupira, signe de son impatience. Il se retourna, ce que je redoutais, mais à la seconde où il posa son regard sur moi, il resta là, paralysé, pétrifié. Son regard vint se poser sur mon corps affaibli, souillé, l’examinant dans les moindres détails.

Harry: *inquiet* Que vous est-t-il arrivé?

Moi: *éclate en sanglots*

Il s’approcha de moi, la distance entre nous à peine négligeable. Il posa ses émeurades scintillantes sur mes seins, seulement il les regarda d’une tout autre façon que Ryan. Il était tracassé lorsque sa main tâta les marques rouges qui surplombait ses deux précieux joyaux. Je laissa échapper un petit grognement lorsque ses doigts effleurèrent les endroits sensibles, mais je n’avais ni l’envie ni la force de le reposser.

Harry: *furieux* Qui vous a fait ça?

Moi: *pleure* personne

Harry: Vous mentez mal. Pourquoi vous ne voulez pas me le dire?

Moi: Cela ne vous concèrne pas. Vous ne pouvez pas m’aider.Vous n’aurez que des ennuis.

Harry: Je m’en contre-balance des ennuis que cela m’apportera.

Moi: *perplexe* Pourquoi tenez-vous tant à m’aider. Vous ne me devez rien, alors pourquoi?

Harry: *jouant avec ses bouclettes* ….je..j..

Moi: ….

Harry: Laissez tomber. Suivez-moi je vais vous donner une autre robe à mettre *fixant mon sein*

Moi: *rougit* *rire nerveux* haha oui....

Il m’emmena jusqu’à sa chambre ou plutôt une pièce annexée à l’écurie qui lui servait de demeure. Il fouilla dans un mini-garde robe et en sortit une robe simple et légère, couleur chaire.

Moi: Je me change où?

Harry: Bah ici...

Moi: Quoi? Devant vous?

Harry: Je ne vais pas vous regarder. *sourire amusé* *fermes ses yeux et me tend la robe*

Moi: *le regarde, incrédule* Tournez-vous au moins

Harry: *rit* *se tourne*

Moi: *enfile la robe à la vitesse* j’ai fini.

Harry: Vous êtes ravissante. *fixe ma taille* Cependant, il manque quelque chose, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.

Il fouilla une fois de plus dans le garde robe et en sortit une ceinture noire.

Harry: Voilà

Il s’approcha de moi, posant ses grandes mains sur ma taille fine. Des papillons envahirent mon ventre. C’était comme si ses mains chaudes était directement en contact avec ma peau, le tissu de la robe étant très mince. Il noua la ceinture autour de ma taille, l’épousant parfaitement.

Harry: Maintenant, vous êtes parfaite

Moi: *rougit* merci.

Moi: *replace une mèche derrière mon oreille* humm comment se fait-il que vous ayez des vêtements de femmes dans votre garde robe.

Harry: Ils appartenaient à mon amoureuse.

Son traits se durcirent, ses lèvres se pincèrent. Son visage enfantin avait cédé sa place à un visage meurtri par le chagrin.

Moi: Oh désolé, je vais l’enlever..

Harry: Non...*triste* vous lui ressemblez tellement avec cette robe.

Il approcha son visage du mien, ses lèvres effleurant les miennes. Un tas de sensations envahirent mon corps et j’avais des tas d’envies à cet instant-là. Le prendre dans mes bras, l’envahir de tendre baisers passionnés, mais je ne pouvais pas. C’était une erreur tout ça, il ne fallait pas tomber sous son charme. Il ne fallait pas m’attacher à lui. Notre relation ne marcherait jamais, nous ne sommes pas de la même classe. Il n’était qu’un coureur de jupons, j’étais sûrement la prochaine femme qu’il désirait avoir dans son lit.

Je recula brusquement. Il me regarda, désapointé devant mon recul.

Moi: Je..je vais y aller. Merci pour la robe.  

Je sortis d’un pas rapide, courant presque. J’étais vraiment égarée dans mes émotions, je ne sais même plus si j’ai bien fait de le repoussser. J’étais déjà dans la maison, Ryan n’était plus là, une chance! Je grimpa les escaliers sous le bout de mes orteils, faisant en sorte de faire le moins de bruit possible. J’atteignis ma chambre et me jetta dans mon lit, plus vulnérable que jamais. Je faisais vraiment pitié, perdue dans ce monde si compliqué...