𝐀𝐍𝐂𝐇𝐎𝐑 (𝐋𝐢𝐯𝐚i 𝐗 𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫) 𝐓𝐑𝐀𝐃𝐔𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐅𝐑𝐀𝐍Ç𝐀𝐈𝐒𝐄

Chapitre 2

le média- 🥲🥲
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Dans les couloirs, tu as ignoré le regard de tous ceux qui te regardaient, ainsi que les murmures qu'ils disaient à ton propos. Tu continuais ton chemin jusqu'à arriver devant la porte du Caporal à laquelle tu toquais.

" Nom et cause du dérangement !" A dit Livaï.

" Cadette (T/n), vous m'avez dit de venir ici."

" Entre."

Tu ouvrais la porte pour ensuite la claquée derrière toi avant de te tourner vers Erwin, Livaï et Reiner qui étaient tous assis.

Tu jeta un coup d'oeil à Reiner et tu saluais les deux autres avant de te mettre debout au milieu de la pièce.

" Je me suis rendu compte que vous continuez à vous battre." dit Erwin.

" C'est parce que c'est une paresseuse qui ne fait rien ! Reiner a crié : "Elle ne sert à rien !"

" Ferme ta gueule, connard !"

Reiner se leva et tu te précipitas vers lui, le saisissant par le col de son uniforme, balayant ses pieds.

" Essaye pour voir." Tu as grogné, "Je te défie putain !"

" (T/N) ! Assez !" A crié Livaï, claquant sa main contre le bureau.

Tu es restée à cet endroit, tenant Reiner à terre pendant que tu le regardais, ta main le serrant alors que tu essayais de retenir ta colère.
Ce sentiment familier bouillonnant à l'intérieur de toi.

Tout à coup, tu sentis une main sur ton épaule, te faisant sursauter, tu as poussé Reiner vers le bas, et tu t'étais retournée prête à attaquer cette personne, blancheur et rage t'entourant.
Quand ton poing s'est envolé vers le visage, tu t'es arrêtée à quelques centimètres de distance lorsque deux yeux bleus-gris t'ont regardé. Tes épaules se sont levées et ta respiration s'est faite lourde.

" Calme-toi, cadette." A dit Erwin doucement.

Tu étais là, à le regarder, les souvenirs inondant ta tête.

Tu t'étais assise sur l'homme qui venait de te parler, la rage dans tes yeux comme quand tu avais levé ton poing en direction de sa tête.

Les soldats essayaient de t'arrêter, mais il avait levé la main, en leur disant d'arrêter, en souriant.

" Tu es forte." Avait-il dit doucement.

" Ferme ta gueule bâtard !" As-tu rugi.

Il avait ri en secouant un peu la tête. Sa main s'approchant pour couvrir les tiennes, faisant élargir tes yeux sous le choc.

Tout le monde avait peur de toi, ils te craignaient et n'osaient pas te confronter pour les choses que tu faisais.
Mais lui, il l'avait fait.
C'est peut-être pour ça que tu étais si en colère contre lui, il t'avais empêché de voler de la nourriture et ça t'avais énervé.

" Calme-toi, je ne te ferais pas de mal."

" Vous êtes un menteur ! Vous me jetterez en prison ou quelque chose comme ça !"

" Je ne ferais pas ça, tu essayes juste de survivre, non ?"

Tu baissais lentement ton poing, en hochant la tête. Tu étais toujours assise sur lui, ta tenue salissante gâchant son uniforme propre.