Chapitre 20 : Confession

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" If I die, don't wake me

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" If I die, don't wake me. Cause you were more than just a dream. "

| (𝙿𝚛𝚎𝚗𝚘𝚖) 𝚕'𝚊𝚍𝚖𝚎𝚝 |

𝐓𝐖 : 𝐒𝐚𝐧𝐠

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"Dabi, enlève-lui ses liens." L'homme qui s'est présenté comme étant Shigaraki a ordonné, en posant le verre de whisky à moitié vide sur le comptoir.

"Non merci." L'homme le plus grand croisa les bras, se décollant du mur sur lequel il s'appuyait. "Celui-là va se battre, tu le sais. Twice, fait le."

Les yeux de Katsuki se sont plissés en signe de reconnaissance.

Cela ne passa pas inaperçu, les paumes de ses mains se crispant légèrement à l'amusement tordu sur le visage de Dabi.

Tout ceci n'était qu'un jeu pour eux. Bien sûr, ils étaient libres de faire ce qu'ils voulaient. Ils n'avaient plus rien à perdre.

"C'est bon. Nous devons le traiter comme un égal." Shigaraki a joué le rôle de médiateur alors que le verrou sur les poignets du garçon s'ouvrait. "En plus, on peut dire qui va gagner dans cette situation, non ?"

La pièce était de taille décente, mais ça n'avait pas d'importance puisqu'ils l'avaient encerclée.

Il balaya à nouveau les lieux du regard, fixant la fille près de la porte qui gloussait et montrait ses crocs.

Toutes chances de s'échapper semblait risquée avec cette garce dérangée qui gardait la sortie.

"Alors, qu'en dis-tu, Katsuki ?" Dabi a raillé alors que le dernier jeu de menottes claquait contre le sol. "Tu veux nous aider ? Je parie que ta copine est déjà en route."

Ils n'ont besoin d'en kidnapper qu'un seul, celui qui est le plus pratique, a expliqué Shigaraki plus tôt.

À partir de là, il serait facile de proférer quelques menaces et de contraindre l'autre à les suivre.

Vu qu'ils les ont trouvés au festival, il était clair que quelqu'un les surveillait. Ce n'était pas hors de leur portée.

L'air était calme tandis que Katsuki frottait les marques sensibles sur ses bras, presque comme s'il y réfléchissait.

"Désolé d'éclater ta bulle, mais (Prénom) ne viendra pas." Connaissant cette idiote, elle viendrait même s'il fallait y aller seule, mais il préférait mourir plutôt que de travailler avec ces salopards. "Vous aimez harceler les gens, hein ? Ne vous donnez pas la peine, je ne suis pas l'un d'entre vous." Regarder son héros à la télé comme tout le monde, en rêver et le poursuivre jusqu'à ce qu'il ne connaisse que la victoire, voilà la différence. Il serait un gagnant comme All Might et rien ne changerait jamais ça. "Les gens comme vous..." Des étincelles scintillent entre les crevasses de ses doigts alors que la chaleur qu'il avait aiguisée et entraînée pendant des années inondait ses veines. S'il cédait maintenant, ils auraient (Prénom) aussi. "Devraient manger de la merde et mourir !"

𝐂𝐚𝐫𝐚𝐦𝐞𝐥Où les histoires vivent. Découvrez maintenant