Chapitre 22 : Liar

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" Things change, people change, feelings change too

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" Things change, people change, feelings change too. Never thought the circumstances would've changed you. "

| (𝙿𝚛𝚎𝚗𝚘𝚖) 𝚏𝚛𝚊𝚙𝚙𝚎 𝙺𝚊𝚝𝚜𝚞𝚔𝚒 𝚊𝚞 𝚟𝚒𝚜𝚊𝚐𝚎 |

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"À bientôt." Elle a fermé la porte, la main s'attardant sur la poignée pendant un moment. "Six semaines..."

Ses joues étaient rougies par le sourire. Aguri était réveillée.

"Elle est vraiment adorable." L'infirmière a fredonné, la conduisant à travers le hall jusqu'au taxi à l'entrée de l'hôpital.

(Prénom) acquiesça, toujours irrité qu'on lui ait demandé de partir si vite alors qu'elle n'avait pas eu une vraie conversation avec sa sœur depuis des années.

Mais Aguri avait besoin de se reposer.

Elle était juste heureuse qu'il n'y ait pas eu de complications étant donné le temps qu'elle a passé sous assistance respiratoire.

Un sourire s'afficha à nouveau sur son visage, regardant la ville défiler devant elle, tandis que les portes massives de Yuei apparaissent.

Elle remercia le chauffeur, déposant ses affaires dès qu'elle entra dans le dortoir. Une voix retentit à son arrivée, lui demandant comment s'était passée la visite.

Ses pieds ont dansé dans la cuisine, virevoltant sur la pointe des pieds lorsqu'elle a repéré des têtes familières dans la salle commune.

"Wouah." La mâchoire de Kaminari s'est relâchée lorsqu'elle est entrée, les yeux fascinés traînant sur les zones nouvellement texturées de sa peau. "C'est trop cool."

"Merci." (Prénom) soupire, s'asseyant sur le sol à côté de lui.

Peut-être qu'elle aurait dû porter un pull. Les glaçons s'entrechoquent dans son verre lorsqu'elle le pose sur la table basse.

Ses doigts glissaient avec précaution sur ses bras, à moitié par soulagement et insécurité.

Il y avait des cicatrices déchiquetées, allant de son biceps à son avant-bras, preuve que Shigaraki ne mentait pas quand il disait qu'il utiliserait son alter.

"Ouais ! Tous les grands héros ont des cicatrices de combat."

Kirishima fit un cadre avec ses mains, plissant les yeux alors qu'il l'inclinait vers elle.

Un pouce pointa la marque sur son œil droit, ramassant les cartes distribuées devant lui. Ils étaient assignés à résidence.

Pas pour s'être mêlés des affaires des héros et avoir créé un autre tracker, mais pour avoir utilisé leurs alters sans licence.

𝐂𝐚𝐫𝐚𝐦𝐞𝐥Où les histoires vivent. Découvrez maintenant