{ 𝘽𝙖𝙠𝙪𝙜𝙤 𝙆𝙖𝙩𝙨𝙪𝙠𝙞 𝙭 𝙁𝙚𝙢!𝙍𝙚𝙖𝙙𝙚𝙧 }
"Tais-toi et embrasse-moi."
Avec un toucher qui fondait comme du miel, et une compréhension si pure et si apaisante pour l'âme.
Elle était toujours une idiote, mais peut-être qu'elle était un p...
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" I'm happy that you're happy and at leats I do that much for you. "
| 𝙺𝚊𝚝𝚜𝚞𝚔𝚒 𝚕'𝚊𝚍𝚖𝚎𝚝 |
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C'était hypnotisant.
Des aliments appétissants grillant sur des grilles, des stands colorés avec de mignons ours en peluche et des jeux probablement truqués, mais là n'est pas la question.
Le festival de l'été n'a lieu qu'une fois par an, et cette fois, c'était différent. Maintenant, elle avait de la compagnie.
Des souvenirs, parés de vêtements traditionnels, tandis que les lanternes dansaient dans leurs yeux comme des lucioles.
Bien sûr, Katsuki avait toujours été là, mais être dans un groupe change les choses. Elle était déterminée à en faire un moment inoubliable.
Pour elle et Aguri, qui était dans le coma depuis deux semaines maintenant.
Une âme vacillante dont le seul souhait était qu'elle vive parce qu'elle ne pouvait pas, parfois (Prénom) y pensait.
Pendant qu'elle déjeunait avec ses amis, qu'elle souriait aux messages de Katsuki, qu'elle regardait le soleil se lever sur le chemin de l'école.
Avait-elle le droit de se sentir comme ça ? Elle n'était plus coupable, se disait-elle, en ravalant ses sentiments chaque fois qu'Aguri lui venait à l'esprit.
Le poids sur sa poitrine a disparu au moment où elle a décidé de devenir une héroïne, laissant derrière elle des souvenirs douloureux.
C'était si douloureux, et ce n'était même pas son fardeau à porter, mais il n'y avait rien d'autre à faire que de continuer à vivre. Comme Aguri le voulait.
Ce soir, elle s's'empiffre sans regret.
"Allons chercher des takoyaki !"
Elle claqua un sourire, valsant sous les arches de bois qui séparaient le festival du reste de la ville, recouvertes de lumières féériques scintillantes.
"Nous ne sommes même pas là depuis dix secondes." Sero gloussa alors que Katsuki saisit le dos de son yukata et la tirait en arrière.
"Ah !" Elle toussa alors que le tissu autour de sa poitrine se resserrait, la forçant à reculer vers lui. Sa tête s'est penchée en arrière avec un regard furieux. "Tu n'auras pas le droit d'en avoir !"
"Je n'en voulais pas, sale petit cochon !"
Il a relâché le tissu, évitant la forme de la jeune femme qui s'agitait.
Un poids s'est accroché à son bras en guise d'ancrage (Prénom), pleurant faussement pour tenter de le faire culpabiliser.
