26. Métamorphosé en vent.

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Lorsque les yeux de l'humain et du chat se rencontrèrent, le chat se rendit vivement compte que cet humain pouvait le voir. Un soupçon de joie fit surface dans ses yeux désolés. Il se précipita avec impatience vers Lin Feiran et mordit soigneusement à sa jambe de pantalon. Puis, il se retourna et fit deux pas avant de s'arrêter pour tourner la tête et regarder Lin Feiran d'un regard implorant. Le chat remora bruyamment quelques fois, puis répéta d'urgence les mêmes actions à nouveau.

Il semble qu'il veuille que je le suive ? Lin Feiran pensait. En vérifiant son téléphone, il constata qu'il restait encore six minutes avant le début des cours, alors il se leva et le suivit.

Bien qu'il n'ait pas peur de ce chat, il avait peur des autres fantômes. Il devait faire attention à l'endroit où il se laissait regarder, alors il verrouilla son regard sur le chat. En fin de compte, l'expression de ce chat était trop triste et Lin Feiran ne pouvait pas se résoudre à prétendre qu'il ne l'avait pas vue.

Heureusement, c'était le jour. La plupart des fantômes ne semblaient pas aimer la lumière du jour, donc même s'il y avait beaucoup de fantômes autour, la plupart d'entre eux étaient juste allongés par terre, dormant rapidement. Le vieil homme avec une demi-tête, qui voyait Lin Feiran comme une cible clé pour la supervision, semblait s'être enfui pour inspecter une autre classe et n'était pas apparu.

Lin Feiran prit une profonde inspiration, s'emmenant de regarder négligemment autour de lui.

Gu Kaifeng, voyant que l'expression de Lin Feiran était quelque peu étrange, fit plusieurs grands progrès pour le rattraper, puis demanda :

"Où vas-tu ?"

« Quelque chose est arrivé. Tu n'as pas à me suivre », répondit vaguement Lin Feiran.

Il garda soigneusement une distance de sécurité de Gu Kaifeng, craignant que s'il absorbait accidentellement l'énergie Yang, il ne puisse pas voir le chat.

Gu Kaifeng ne dit rien et suivit simplement de loin. Il mit les deux mains dans ses poches, son comportement tranquillement, comme s'il ne faisait que se promener. Lin Feiran ne le renvoya pas. Après tout, le fait d'avoir Gu Kaifeng à proximité le rendit plus à l'aise.

Le chat courut agilement devant, tournant parfois la tête pour confirmer que Lin Feiran suivait. Lin Feiran le suivit jusqu'à l'entrée du bâtiment de l'école. Voyant le rideau de pluie dehors, ses pas s'arrêtèrent.

Juste à ce moment-là, Wang Zhuo heurta le bâtiment en fermant un parapluie, avec un sac de boissons et de collations à la main. Il semblait qu'il avait tellement faim qu'il n'avait pas pu attendre le déjeuner.

« Vous êtes venu au bon moment. Je confisque ça. » Gu Kaifeng se rendit immédiatement chez Wang Zhuo et vola son parapluie.

Wang Zhuo secoua le sac dans sa main. « Tu vas acheter quoi ? Si tu as faim, manges-en une partie de la mienne. »

"Je n'achète rien", déclara Gu Kaifeng en courant pour rattraper Lin Feiran, tenant le parapluie.

Wang Zhuo se moqua des deux par habitude : « Se promener sous la pluie avec sa femme, comme c'est romantique. »

Lin Feiran jeta un coup d'œil avec amertume cachée à ce "complice" qui avait toujours aidé Gu Kaifen à le harceler. Mais il découvrit qu'il suivait immédiatement Wang Zhuo une longue piste de fantômes avides qui n'avaient pas reçu d'offrandes. Ils étaient pleins de griefs alors qu'ils saliveaient, les yeux fixés sur le sac rempli de collations dans la main de Wang Zhuo, mais ils ne pouvaient rien y faire.

«...... »

Lin Feiran n'était pas sûr s'il devrait avoir pitié de Wang Zhuo, qui ne savait rien, ou lui-même, qui en savait trop.

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