53. Il avait l'âge où son sang s'échauffait !

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Lin Feiran s'essuya la bouche et sourit.

"J'ai fini de boire. Je vais le ramener à la maison, amusez-vous tous."

Il se leva. Gu Kaifeng l'étreignit par derrière et, comme un manteau vivant, colla son corps à celui de Lin Feiran, ne laissant aucun espace entre eux.

Lin Feiran voulait être en colère mais il voulait aussi rire. Ils e tourna et tapota le visage de Gu Kaifeng.

"Tu peux marcher seul ? Je ne peux pas te porter."

Lorsque Gu Kaifeng entendit que que Lin Feiran ne pouvait pas le porter, il se leva immédiatement droit, chancelant légèrement. Ses yeux, assombris pas t'ivresse, regardaient Lin Feiran avec nostalgie, comme un chiot pourrait regarder son propriétaire : Le coeur de Lin Feiran flotta. Il s'accrocha à Gu Kaifeng, l'aidant à sortir de la pièce. Il ouvrit son application de covoiturage et appela un taxi. Gu Kaifeng continua à se tourner pour le regarder comme s'il n'avait pas reconnu Lin Feiran tout ce temps.

Après que Lin Feiran ait appelé un tour, il rit en rencontrant les yeux de Gu Kaifeng et demanda :

"Pourquoi tu me regardes ? Tu me reconnais plus ?"

"Je te reconnais."

Gu Kaifeng attrapa les épaules de Lin Feiran et son expression était aussi sérieuse que s'il récitait la Constitution.

"Tu es Lin Feiran et je t'aime particulièrement."

Lin Feiran était à moitié ému et amusé. Voyant qu'il n'y avait personne d'autre autour et que Gu Kaifeng avait un peu trop bu, il rassembla son courage et répondit avec audace :

"Gu Kaifeng, je t'aime particulièrement aussi."

Lin Feiran aida Gu Kaifeng à franchir les portes du KTV pour attendre près du trottoir pour leur trajet.

La neige avait cessé. La neige avait laissé l'air particulièrement froid et vivifiant. Une rafale de vent froid balaya et énergisa Lin Feiran, qui se sentit un peu endormi.

"RanRan."

Gu Kaifeng était inhabituellement collant quand il était ivre. Il se pencha et frotta le cou de Lin Feiran avec son visage. A voix basse, il murmura :

"Appelle-moi mari, je veux l'entendre."

On dit que les gens ivres ne se souvenaient plus des choses qui sétaient produites pendant qu'ils étaient ivres une fois qu'ils sétaient dégrisés le lendemain, alors Linn Feiran mit ses lèvres près de l'oreille de Gu Kaifeng sans ses soucier, il baissa délibérément la voix et appela d'une voix douce et coquette :

"Mari."

Gu Kaifeng leva la main et se frotta l'oreille, exhortant.

"Appelle-moi encore. Tu es si mignon que je pourrais mourir."

Lin Feiran était amusé et n'arrêtait pas de l'appeler :

"Mari, mari..."

Gu Kaifeng resserra ses bras autour de la taille de Lin Feiran et le serra fermement. Ivre, il dit :

"Merde, tu m'as rendu dur."

Lin Feiran se mordit les lèvres et fixa le magnifique visage qui faisait battre son coeur. Avec la pensée - quand il sera sobre, il ne se souviendra de rien de toute façon - il se braqua et murmura :

"Alors attends qu'on rentre à la maison et je... Je vais m'en occuper."

"Tu aimes t'en occpuer ?"

Gu Kaifeng mordit le lobe de l'oreille de Lin Feiran, ni trop doux ni trop dur, et l'odeur chaude de l'alcool dériva de ses lèvres.

Don't you Like me ? [FR] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant