Perdue entre le cœur et la raison suis je condamnée a le suivre?
Lui, cet homme que je connaissais même pas, cet homme à l'apparence froid , cet homme qui me faisait peur, cet homme dont le sourire me retournais le cœur, cet homme dont je me suis at...
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<< dans mon cœur, il s'est assit sur le trône personne n'arrive à prendre sa place >>
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R A Y A N
Mansour: c'est maman elle a fait un malaise je l'ai conduit à l'hôpital ils on dit qu'elle a une tumeur au niveau du cerveau elle doit se faire opéré dans quelques heures.
Moi: QUOI ?
Zayda : qu'est qui ce passe ?
Mansour: l'opération est très risquée c'est soit ça marche soit ça foire. Je sais que tu lui en veut à mort mais elle tient à te parler avant l'opération on sait pas de quoi est fait demain et j'ai vraiment pas envie que tu vive dans le regret je t'en prie vient mon frère .
Sans mentir je me sentais pas bien certes je lui en veux mais je lui souhaite pas la mort
Mansour: RAYAN T'es là
Zayda: Rayan je te parle qu'es qui ce passe ?
Voyant que je ne réagissais pas elle m'arrache le téléphone des mains
Zayda: oh mon dieu...d'accord on arrive tout de suite.
Elle raccroche et se tourne vers moi.
Zayda : lève toi on y va
On sort du parc et montons dans ma voiture je prend la direction de l'hôpital c'était le silence totale personne parlait. Elle me caresse la main je la regarde, elle souriait j'ai compris qu'elle faisait cela pour rassurer je lui rend son sourire puis me concentre sur la route.
[...]
Mansour : je savais que tu aller venir
Il me fait une tape sur l'épaule et sort de la salle.
Elle: approche toi mon fils
Je la regarde, elle était branché par plusieurs files plus je la regardais plus mon cœur se serrée elle avait avait beaucoup maigri par rapport à la dernière fois que je l'avais vu.
Je m'assois sur la chaise qui était à côté d'elle .
Elle: je suis désolée bébé pardon weldi il n'y a pas un jour qui passe sans que je ne pense à toi.
Je la regarde le plafond laissant apparaître aucune émotion. En vrai tous ce qu'elle disait me toucher.
Elle: * larmes aux yeux * tu peux pas imaginer à quel point ça a était dur pour moi de me séparé de toi.
Je croise les bras sans rien dire.
Elle: *larmes aux yeux *je t'aime plus que tous bébé. Je voulais pas mais j'étais obligé de te placer en famille d'accueil j'avais pas les moyens de t'élever je n'avais rien à t'offrir voulais que tu ai une vie meilleure. ton père est mort alors je te portais encore dans mon ventre tout l'argent qu'il avait à gagné n'a servi qu'à payer nos dettes je me suis vite retrouvé à la rue.
