MIS A JOUR LE : 29 - 07 - 14
Il y'a cette atmosphère des vacances qu'on ne retrouve plus les jours communs. On prend le temps de faire ce qu'on veut. On va où notre cœur veut qu'on aille. Si on le veut, on peut encore plus s'enrichir qu'en restant assis sur une chaise à écouter des professeurs qui ne font que nous raconter ce qu'ils ont vécus. Les vacances, (pareil, si on le veut) on fait nos propre expériences et on découvre. La plupart de nos anecdotes viennent de choses qu'on a vécu avec nos sens et je pense que ce sera aussi le cas cet été. Je ne vais pas au Mexique, en Espagne, ou je ne sais trop dans quel coin où il fait chaud. Pour l'instant je suis là.
Vous êtes en train me tuer virtuellement en voyant que cet article n'est pas celui que vous attendez...
Mais il s'avère qu'un jeune homme adepte de café et de clopes est venu m'interrompre dans mon élan.
Je suis retournée dans la forêt aujourd'hui. Je n'ai pas pu prendre d'autres photos même si je sais que vous aimez particulièrement que je poste quelques clichés sur ce lieu magnifique, je n'étais pas seule cette fois ci. Encore le même gars et son café oui !
Seule, accompagnée, je le répète encore une fois mais je ne peux pas me lasser de me promener dans la forêt, au bord de la mer, sur les routes des campagnes, etc surtout dans cette forêt.
Je ne pourrai pas décrire toutes les vertus que peut avoir la nature. En écrivant cette phrase par contre, je pense de suite à Alfred de Musset qui en parle vraiment bien selon moi dans son poème. Attendez, je vous poste un extrait directement ci-dessous :
« Souvenir »
Les voilà, ces coteaux, ces bruyères fleuries,
Et ces pas argentins sur le sable muet,
Ces sentiers amoureux, remplis de causeries,
Où son bras m'enlaçait.Les voilà, ces sapins à la sombre verdure,
Cette gorge profonde aux nonchalants détours,
Ces sauvages amis, dont l'antique murmure
A bercé mes beaux jours.Les voilà, ces buissons où toute ma jeunesse,
Comme un essaim d'oiseaux, chante au bruit de mes pas.
Lieux charmants, beau désert où passa ma maîtresse,
Ne m'attendiez-vous pas ?Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères,
Ces larmes que soulève un coeur encor blessé !
Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières
Ce voile du passé !Je vous épargne mon analyse cette fois mais Musset décrit vraiment la nature comme une confidente, c'est ce que je trouve beau. Il lui donne un aspect atemporelle. Il sous-entend en parlant de ses souvenirs que c'est elle qui les lui rappelle lorsqu'il s'y promène à nouveau. C'est la nature qui est complice de ce qu'il a pu vivre. Elle le garde et devient notre jardin secret.
La forêt est la même pour moi à chaque fois que j'y rentre. Je passe devant un arbre et me rappelle qu'on était posées par terre, là avec ma sœur et qu'on construisait des villages pour les fourmis par exemple.
Et ce que je trouve le plus beau encore, c'est qu'elle n'est pas la même pour nous tous. Chacun va associer tel recoin à tel souvenir, heureux ou malheureux.
Et voilà, je me suis encore emporté dans ma poésie...
Et vos lieux préférés ? ---> commentaires
Passez tous une agréable journée mes amis <3
-N
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Hey!
Je ne sais pas ce que vous pensez de ce chapitre sous forme d'article de blog. C'est le premier que je rédige alors il peut vous paraître peut être moyen. Ce ne ne sera pas le dernier comme ça et j'essayerai de les améliorer au mieux au cours du temps...
En tous cas ces articles de blog ont quand même leur rôle, j'espère que j'arriverai à bien vous le montrer dans la suite de l'histoire...
Ah et puis, si vous souhaitez aussi intervenir par rapport au "blog", laisser des commentaires par rapport à ça, ne vous retenez surtout pas ! :D
Bonne journée et lisez !
VOUS LISEZ
Luciole
RomanceRécit d'une rencontre qui peut vous sembler au départ étrange, reliée par les deux mondes d'aujourd'hui : virtuel et réel. (Je m'excuse d'avance de la présence d'éventuelles fautes d'orthographes) Je vous invite vraiment à commenter, que vos comment...