📍 𝐄𝐝𝐝𝐢𝐞 𝐊𝐚𝐬𝐩𝐛𝐫𝐚𝐤 𝐗 𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫

• Deux •

Je me retourna et vis Richard, ou plutôt Richie comme il aurait aimer que je l'appelle.

Richie : C'était pas mon but sache le. On peut recommencer si tu me le permet : moi c'est Richie Tozier a vos service mademoiselle !

Il bomba son torse et me tendit la main fièrement, cela me fit rire et je lui sera la main.

Richie : Ça c'est Stanley ou Stan si tu préfère,

Stanley : C'est moi !

Moi : Oh c'est toi que j'ai persécuté dans le couloir a cause de RICHARD.

Riche rigola puis continua ce qu'il disait :

Richie : Ça c'est William mais tout le monde l'appelle Bill haha,

Bill : Oui on a eu une sorte de "rencontre"

Bill me regarda mal : Richie froncer les sourcils ainsi que Beverly : je le regarda d'un air désolé.

Moi : Je tenais à m'excuser je ne sait pas ce qu'il m'a pris...

Bill : C'est pas grave t'inquiète pas.

Richie : Quelqu'un peux m'expliquer ce qu'il ce passe ?

Moi : Non

Beverly rit Bill aussi mais quelque chose ou plutôt quelqu'un maintenait mon attention depuis quelques temps : il n'avait toujours pas bougé et me fixait depuis le début : il était brun au yeux marron, j'avoue que il était très beau, et le fait qu'il me regarde ne me dérangeait pas.

Richie : Et lui c'est Eddie mais on peux l'appeler Ed's ; Ed's ?

Eddie : Ha oui euh salut !

Moi : Et moi c'est Ashley.

Richie : Et tu habitais où avant ?

Moi : Tout en premier dans une petite ville qui s'appelait "Meri" puis à mes 7 ans on a déménagé en Californie et me voilà maintenant à Derry/

Richie : C'est marrant tu habitait en Californie, là bat les gens doivent être bronzés !

Moi : Ta gorge Richard ! 

Richie : Nan sérieux pourquoi tu as déménagé de Meri et de Californie ?

Moi : J'ai déménagé de Californie parce que on avais plus assez d'argent c'est cher là bat !

Pourquoi je mentais comme ça ? Je n'allais pas leurs dire la vérité ils vont me prendre pour une faible ! Pourquoi le fait d'être violer signifier être faible ? Probablement.

Moi : Puis on a trouvé une maison à Neibolt Street pas cher donc on si est installé !

Eddie : Neibolt Street ?

Le sourire magique de Richie disparu, et toute sa bande ce regarda seul Beverly qui regardait le vide en ce touchant les cheveux désespérer.

Stanley : Rien que d'y penser cette endroit me fout la trouille...

Moi : J'avoue la maison d'en face fous la trouille mais pourquoi vous dîtes ça ?

Richie : Euh... Sinon pourquoi tu as déménagé de Meri ? Je me redemande pour être sûr.

Pourquoi changer t-il de sujet brusquement ?
Je fit comme si de rien été, et voulu répondre puis la véritable cause de pourquoi j'avais déménagement de Meri me revenu, et les larmes me montait au yeux...

Eddie : Ça vas ?

Richie : Pourquoi tu deviens triste directement comme ça ?

Moi : Je- Euh mon frère ne si plaisait pas, et moi non plus d'ailleurs

Je fit un sourire forcé alors que des larmes coulaient sur les joues... Les avaient ils vus ? Je pris la fuite, honteuse, dans les toilettes des filles

.Quelques minutes plus tard.

? : Pourquoi tu pleure ?

Moi : Ça ne te regarde pas.

? : Tu peux tout me dire tu sais.

Moi : Je sais même pas avec qui je parle donc non.

? : C'est Ed's, Eddie, tu peux me dire maintenant ?

Moi : Non.

Eddie : Tu peux au moins sortir des toilettes ?

Je pris un instant pour savoir ce que j'allais faire. Je décidas après quelques minutes de réfections de sortir. J'ouvris le verrou puis la porte pour y voir devant moi Eddie, les autres étaient devant la porte des toilettes et ce presser tous voir mon état.

Richie : Tu peux tous me dire señorita !

Beverly : Les gars ! Elle est pas encore prête et ça se voit.

Je fit un hochement de tête pour signifier un "oui".

.Fin des cours.

Les cours avaient été tellement ennuyeux, cela tout aux long de la journée, heureusement il y avait Richie et les autres. J'aurais aimer rester plus avec eux mais Gretta et Alice m'en empêcher.  Sur le chemin du retour Beverly ,et moi prenons le même chemin ce qui nous permis de discuter un peu plus.

Beverly : Tu sais tu peux me dire maintenant pourquoi tu as déménagé de Meri et de Californie, je sais que ce que tu as dit été faux.

Moi : Et si je n'en ai pas envie ?

Beverly : Et bien j'attendrais.

Je mis ma main sur son épaule et la regarda d'un air pour dire merci, puis je continua mon chemin.

Beverly : A demain !

Je lui fit signe pour dire au revoir de dos et continua mon chemin, différent du sien.