𝑳𝒆 𝑪𝒚𝒈𝒏𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝑺𝒆𝒓𝒑𝒆𝒏𝒕 (Pause)

𝑰𝒍 𝒆𝒔𝒕 𝒕𝒐𝒎𝒃𝒆́ 𝒅𝒆𝒔 𝒆́𝒕𝒐𝒊𝒍𝒆𝒔

PDV Extérieur

Les cours étaient déjà terminé depuis plus d'une heure, Chloé avait fini sa journée par son option d'histoire. Ce cours était passionnant pour elle, entendre son professeur, M.Nikaido, parler d'histoire et de légende : la passionnait. La fac, où elle étudiait, se trouvait un peu plus loin de la tour de Stark mais ni trop loin ni trop près. Assise sur un des bancs de la cours de la fac, Chloé lisait tranquillement un des livres de la bibliothèque, le soleil lui caressait ses long cheveux brun, sa peau se réchauffait au contact des rayons du soleil. De temps en temps, quelque nuages traversait le ciel et passait devant le soleil cachant ses rayons solaires sur sa peaux blanche, ça ressemblait à une journée grisé. Adossé contre l'accoudoir du banc et ses jambes relâché sur l'assise de celui-ci, le livre dans ses mains, la jeune étudiante ferma les yeux et laissa sa tête en arrière quelques minutes.

La sonnerie retentie dans toute la fac, Chloé regarda sa montre, elle indiquait 16h05. Elle lâcha un long soupire d'ennui puis se leva du banc pour rentré dans le campus, au même moment son téléphone sonna. Lorsqu'elle le sortit de sa poche arrière droite, c'était Cheyenne, elle décrocha :

"Allo ?

- Salut Chloé, fit la voix de son amie dans son oreille.

- Tu veux quelque chose en particulier ? Demanda Chloé.

- Oui, est-ce que tu peux passé chez moi pour me passé les devoirs ainsi que les cours de la semaine s'il te plait ? Sa voix était faible, comme malade. Chloé lui répondit aussitôt.

- Pas de problème, j'arrive dans 45 minutes, le temps que je pose mes affaires dans ma chambre puis je serai devant chez toi, avait-elle dit la voix rassurante.

- Merci Chloa, avait répondu son amie dans un petit rire. Chloa était le petit surnom que son amie lui donnait en début d'année de fac quand elle ne se souvenait plus de son prénom.

- Ne m'appelle pas comme ça, tu sais très bien que je n'aime pas se surnom, râla la jeune femme, la mine boudeuse.

- Mais ça te va tellement bien, pouffa son amie dans l'appareil électronique.

- Je ne croix pas non, avait répondu Chloé sur un ton neutre mélangé à du dégout. Bon aller je te rappelle dès que je suis devant ta porte.

- Okay, à toute suite, ajouta son amie avant de raccroché."

Ne lui laissant pas le temps à Chloé de lui répondre, Cheyenne avait déjà raccroché. Chloé rangea son tel dans la poche de sa veste avant de se diriger vers le bâtiment où se trouvait le dortoirs des filles. Les couloirs du bâtiment étaient presque vide, quelques groupes d'étudiants trainaient le long des murs du couloirs, tous adossé au mur ou assit par terre. Chloé traversa tout le couloir du dortoir et trouva sa chambre, sur la porte il était écrit : 

Cham n°394

Chloé Romanoff et Cheyenne Dolhov

Elle ouvrit la porte de sa chambre et y pénétra. La jeune femme referma la porte derrière elle et s'adossa contre la porte 10 secondes puis fit quelques pas en direction de son bureau. Sa chambre de coloc était assez grande, il y avait deux lits : un en mezzanine et un autre au sol, deux bureau de chaque côté de la pièce ainsi que deux commodes et deux armoires. Deux tapis de couleur clair et foncé étaient disposé sur le sol. Le lit de la jeune ballerine était au sol et celui de sa coloc, la mezzanine. A son bureau de travail, Chloé prit toute ses affaires de cours et celui de Cheyenne. Certe son amie ne suivait pas le même cursus qu'elle mais en fouillant dans son petit coin, en regardant l'emploie du temps de son amie, Chloé trouva facilement les cahiers des cours qui lui manquait de la semaine. Elle mit tout dans un grand sac, enfila une paire de basket à la place de ses bottes noires puis sortie du bâtiment des dortoirs des filles (N.A : dans se campus, il y a un bâtiment fille et un bâtiment garçon). Chloé marcha vers le portail du campus, lorsqu'elle sortit entièrement du campus, la jeune ballerine prit la route vers la maison de son amie. Le soleil était haut mais le froid y était tout autant qu'il soit, Chloé remonta le col de sa veste pour ne pas sentir les vents frais dans son cou.