CHAPITRE 5

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Partie 5

Les jours qui suivait il y avait une ambiance lourde qui régnait à la maison. Papa avait le regard aussi noir qu'une mine de charbon, il me répétais à longueur de journée combien on l'avait déçu et dégoûté. Mama passait ses soirées sur son tapis de prière, demandent de l'aide au tout Puissant, car au fond elle n'avait que sa prière comme apaisement, la seul chose qui puisse bercé ne fuse qu'un peux son coeur, donc dés qu'elle pouvait elle posait son front sur son tapis de prière augmentent sa foie, elle était belle à voir wallah. Ines je l'ai entendu à plusieurs reprise gémir, vider tout son corps d'eau à force de versé des larmes. Explosent en sanglot, maudissent tout se qui se m'était sur son passage. Sa me rendait ouf, j'étais impuissant j'pouvais rien faire pour elle, Dieu seul sait combien de fois j'ai essayer de la résonner, de parler avec pour savoir réellement la cause de sa souffrance, de son mal être, mais en vain elle me disait welou. Je sortais souvent avec elle pour essayer de lui changer les idées, mais mohim sa n'a pas changer grand choses. Je m'étais juré que si je venais à savoir que c'étais à cause de se raclo de Rayan, je le tuerais, wallah. Quant-à Inaya elle se rendait compte de rien et tant mieux je n'aurais pas supporté qu'un être aussi petit et fragile pleure à cause de son grand frère. Elle passait ses journées à rigoler, jouer, j'envie son innocence, j'envie son jeune âge. J'avais les yeux qui brillait quand je l'entendais raconter sa journée à l'école à mama. Mon frangin on avait pas trop de nouvelles, il voulait pas que mama mette les pieds à la zonz. Même si mon fréro c'étais un enfoiré il avait dés principes, on était d'accord sur une chose, quoi qu'il arrive jamais mama elle mettras les pieds dans cette endroits infâme, wallah jamais je laisserais qu'un être aussi pur se retrouve dans un endroits aussi sordide. Et Moi ? bah moi j'étais habiller de remords, de regrets, réalisent qu'au fond à part zoné qu'ai-je fais de ma vie ? Welou, j'ai rien fais de ma vie à part tisé, zoné, suivre le chemin du sheitan.

En attendent j'ai l'impression d'être entre deux monde. Je traverse la porte, en bas des tours c'est l'haram qui m'attends, les sticks, la tise, bedave, la fornication. A la maison c'est la bonté de ma mère, la piété de mon père, la crainte du tout Puissant. La foie de ma mère qui envahi la maison. Les rappels de mon père. L'innocence de ma petite soeur, sa joie de vivre. Le dégoût de Ines vise à vis de tout ses vice, wallah qu'au fond je suis heureux et fière de savoir qu'elle ne touchera jamais à sa, qu'elle se préservera du mieux qu'elle peut. Quant-à moi j'ai l'choix, a mes risques et périls si je choisit le monde du haram.

- Ines on sort !
Frangine - Non wallah j'ai pas envie, j'ai la flemme
- Zeubi je m'en bas les klewis, c'étais pas une question. On sort point !
Frangine - Non putain j'ai pas envie
- Wah tu fais mal à la tête, azi habille toi je t'attends en bas
Frangine - Yani...

En bas les même rats. J'me pose avec eux pépère.

Karim - Tiens kho met toi bien
- Non non y'a ma frangine elle va m'rejoindre belek je sens le zdehh, j'ai pas envie !
Karim - Wah safé
- Mohim les frères moi j'décale

J'slm tout le monde et je trace jusqu'à ma caisse. Je m'assis sur le capot et attends ma frangine. Wallah si elle vient pas dans dix minutes je l'attrape par les cheveux et la traîne jusqu'en bas ! Je tourne ma tête et je vois une feumeu avec le maillot du Real Madrid. Wallah la regarder m'étais pas désagréable. Elle était mignonne et n'avait vraiment pas l'air d'une michtoneuse, elle avait un visage doux

- Hella le t-shirt !
Elle - Real Madrid ma geule
- J'aime bien, j'aime bien

Elle me lance un sourire et continue son chemin. Wallah elle ma fait quelque chose cette fille. Elle n'inspire que du respect, c'est le genre de fille t'ose à peine la toucher ou parler de peur de lui manquer de respect ou de la blessé. Elle à un visage d'ange, un sourire sincère et des petits yeux brun avec des reflets vert. Une voix apaisante, petite de taille wallah un vrai petit bijoux. Elle m'a pas laisser indifférent...

- Ines j'vais t'niqué t'es ou ?
Frangine - Wah je t'ai dis j'ai pas envie de sortir
- Wallah dans cinq minutes t'es pas là, je t'attrape par les veuch !
Frangine - Tfou tu ménnerve
- Ouais ouais yAllah descend

Deux minutes non même pas elle était déjà en bas. Masha'Allah comment elle est belle ma frangine. Wallah les soeurettes elles veulent jamais comprendre pourquoi leurs grand frère est aussi protecteur et sévère. Mais les filles sachez que pour un grand frère, sa petite frangine c'est comme un bijoux, un trésor, on fait de notre mieux pour vous préservé du mal, même si des fois on a tord. On est prisonnier de notre propre peur. Vous croyez c'est pour vous faire chié, non pas du tout mais on angoisse, on stress, on a peur qu'une fils de put vienne vous voler votre innocence et qu'il vous face du mal, car voilà faut pas se voilé la face on parle en connaissance de cause. On veut évité que vos petites perles coulent de vos yeux. Quand je vois des gamines de quinze ans agir comme des mini petasse wallah sa me rend ouf, elles méritent des grosses gifle ses khenza. Elles sont perdu, n'on pas de repère, elles sont faible face à tous ses vices. Abandonnent leurs fierté,leurs pudeur, oublient les principes qu'une femme est forcé d'avoir. Négligent leurs propre chair, salissent leurs corps, offrent leurs hymen aux premiers venus qui leurs dit quelques mots doux.

- Mohim tu veux aller grailler haja ?
Frangine - Moi je veux dormir
- Zeubi tu viens de rentrer dans la vago et tu m'fais déjà mal à la tête
Frangine - Non mais stp laisse moi dormir, j'ai pas envie d'aller grailler
- Ah wili tu vas devenir anorexique wesh c'est quoi l'délire ? tu manges plus, tu fais que dormir, tes sah la ? zeubi dis moi y'a quoi ?
Frangine - Mais y'a rien Yaniss je suis fatigué avec l'école et tout
- La tu commence a me zehef wallah Ines tu me prends pour un hmar ? Wesh je suis un tahane moi pour croire à t'es couilles la ?
Frangine - Un grec

Je tape sur le volant, me retourne et l'attrape par le cou collent son visage contre la vitre.
Mon coeur il battait fort, mon souffle accélérait, le seum me montait à la tête. J'perdais patience, je mordais fort fort sur ma lèvre essayent de me retenir de lui coller des coups car wallah j'aime pas la tapé, je l'ai fixé droit dans les yeux serrent de plus en plus fort son cou et j'ai suivis

- C'est à cause d'un raclo oula à cause de se fils de put de Rayan ?
Frangine - Han ? Mohim lâche moi tu fais mal
- Zeubi Ines réponds moi, joue pas avec mes nerfs ! Je suis à deux doigt de te niqué, donc fais belek à se que tu dis, réponds a ma question !
Frangine - Mais non
- Jure le ?
Frangine - .....
- 3, t'as 3 seconde pour balancé son blaze tah zeubi, balancé son adresse, WALLAH TROIS SECONDE ! Wallahi je le trouve je le balafre de la tête aux pieds ! Dieu seul sait de quoi je suis capable !

SOLDAT DU BITUMEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant