journal de bord de Lyra Rogers

Semaine du 18 au 22 Octobre 1982

18 Octobre 1882/18h45

Cher journal,
J'ai été au collège aujourd'hui. Il ne s'est rien passer de spécial à part le fait que j'ai pu manger à ma faim... Ca fait longtemps que je n'ai pas manger autant! J'ai manger de la viande, des légumes et des fruits dans la même repas! C'est beaucoup par rapport à d'habitude.

19 Octobre 1982/ 20h38

Cher journal,
Je crois que les professeurs me détestent...
Ils se plaignent car je n'ai jamais aucune faute au évaluations et surtout car je corrige leurs fautes.
Ce n'est pas de ma faute si ils font des erreurs d'orthographe.

20 Octobre 1982/17h57

Cher journal,
Aujourd'hui, au self, les cantiniers on servit des crêpes, des pancakes et des gaufres. J'ai déjà vu ça dans mes livres mais je n'en avait jamais manger. C'est super bon!
Je n'aurait sûrement plus jamais l'occasion d'en manger mais je suis heureuse d'avoir connu ça.

22 Octobre 1892/ 18h39

Cher journal,
Je tient tout d'abord à m'excuser de ne pas t'avoir parler hier. Je n'en ai pas eu le temps.
Deuxièmement, il s'est passé quelque chose d'étrange aujourd'hui.

Cet après-midi, à la dernière pause, je parlais à mon frère quand Kamalia et Louna, deux filles de ma classe, sont venues nous voir. Elles nous ont crier plusieurs insultes et m'ont frappée à plusieurs reprises, puis ont essayer de faire la même chose à Toby.
C'est à ce moment là que c'est devenu étrange...

J'ai poussé Toby en arrière et ai arrêtée le poing de Louna. Puis j'ai sentie une sorte d'énergie partir de mon cœur et de ma tête pour aller vers ma main. Puis j'ai entendue un cris, Louna venait d'être projetée contre le mur par un force invisible et était retenue à quelques mètres au dessus du sol par cette même force.

 
J'ai mis quelques secondes à comprendre que cette énergie venait de moi et quelques minutes avant de relâcher Louna.

 
Un surveillant nous à emmener, Louna, mon frère et moi, dans le bureau de la principale qui à appeler ma mère. On à parler de ce qu'il venait de ce passer et, bien sûr, personne n'a trouvé d'explication rationnelle.

 
Après ça, maman nous à ramener à la maison. On en à un peu parler dans la voiture mais quand on est arrivés j'ai du retourner dans la cave. Elle m'à tous de même promis de ne rien dire à mon beau-père.