Chapitre bonus 2 (partie 2)

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(T/P) attendait anxieusement le retour de sa camarade. Elle lui était reconnaissance de lui offrir des vêtements; elle ne pouvais passer tout son temps habillée d'une simple chemise; mais tout de même, cela lui faisait peur. Yosano était effrayante quand elle faisait les boutiques et la demoiselle était persuadée, à juste titre, que les essayages seraient horribles.

Il n'y avait pas grand-chose à faire pour elle à l'agence. Qui plus est, tous ses camarades se comportaient comme si elle avait rajeuni mentalement en rétrécissant,surtout un certain brun et un binoclar, ce qui avait le don de l'agacer fortement.

"-Pour la dernière fois Rampo, non je ne veux pas de bonbons. Ça se sert à rien de m'en proposer quinze paquets différents à la minute. Je ne changerais pas d'avis.

-Ha quelle voix toute mignonne tu as (T/P) ! On aurait presque envie de te croquer.

-Je t'emmerde.

-Charmante, très charmante. Mais de si vilains mots ne devraient pas sortir de la bouche d'une si petite fille.

-Je te jure que si tu continues, je te frappe quand je retrouve ma taille normale.

-Allons, ne fais pas de telles menaces. Viens plutôt dans les bras de tonton Dazai.

-Touche-moi et il te manquera une main ! Haa !

Le jeune homme venait de l'attraper sous ses aisselles pour la soulever comme si elle ne pesait pas plus qu'une plume.

-Je te hais ! Pose-moi !

-Ne crie pas aussi fort, il y a des gens qui travaillent à côté.

-Ok. Tu ne me laisses pas le choix. Je ne voulais pas en arriver là mais tant pis. PATRON !!!!!

Fukuzawa arriva sur l'instant alerté par le cri strident de (T/P).

-Que se passe-t-il ici ?

-Dazai refuse de me poser à terre, aidez-moi s'il vous plait !

Il souffla avant de répondre.

-Dazai pose la.

Le détective s'exécuta alors qu'un sourire vint orner les lèvres de sa camarade. Elle aussi pouvait être vache quand elle le voulait.

-Patron, est-ce que je peux vous accompagner dans votre bureau ? Je serais sage."

Devant son air de chien battu, l'homme ne put qu'accepter et fit installer une chaise dans la pièce. Bien sûr, elle savait qu'elle aurait gain de cause. Malgré ses airs quelques fois froids, le patron ne pouvait pas abandonner un enfant. C'est bien pour ça qu'il l'avait recueillie la première fois. Avant de le suivre en trottinant sur ses petites jambes, elle lança un sourire éclatant à ses camarades médusés. Depuis quand était-elle aussi fourbe ? La réponse étant : depuis qu'elle a intégrée une agence de détectives tous plus étranges les uns que les autres et se faire à leurs personnalités pour ne pas finir engloutie par le travail que certains n'hésiteraient pas à lui refiler.

Ainsi, elle passa une bonne partie de l'après-midi tranquillement installée dans le bureau un livre à la main. Il n'y avait pas à dire, c'était bien plus calme comme ça.

Enfin jusqu'à ce qu'un certain tigre vienne toquer à la porte pour formuler une requête des plus étranges.

"-Excusez-moi, il faudrait que je mesure les pieds de (T/P).

-Pardon ?

-C'est pour Yosano. Elle voudrait acheter des chaussures.

-Ha oui, ça va être compliqué sans ça. Donne-moi le mètre, je vais m'en occuper moi-même."

Avant que la demoiselle n'ait pu tendre la main, quelqu'un d'autre s'était déjà saisi de l'objet.

"-Qu'est-ce que tu fais là Dazai ?

-Hein ? Moi ? Je viens mesurer les mignons petits petons de ma camarde pardi.

-Tu es bizarre à ce point là ?

-Je ne vois pas de quoi tu parles. Aller, donne-moi tes pieds.

Devant l'air hésitant de la jeune femme, il ajouta :

-Est-ce que tu serais chatouilleuse par hasard ?

-Pas du tout. Fais le.

Elle tendit finalement ses pieds. Dazai prit tranquillement les mesures. Au moment de la relâcher, il ne pu s'empêcher de faire glisser un doigt le long de la plante du pied droit. La réaction fut immédiate. (T/P) poussa un cri et expédia son pied dans la figure de son collègue qui bascula en arrière.

-Qu'est-ce qui te prend ?!

-ça en valait la peine."

Le calme revint quelques temps. Finalement, la demoiselle s'ennuyait presque. Elle fut renvoyée du bureau quand le patron dut partir pour une réunion.

Dans la pièce principale. Personne n'évoquait le nez rougit de Dazai mais chacun lui jetait des regards moqueurs. Il s'était fait écraser par une petite fille. (T/P) décida de crever l'abcès.

"-Comment va ton nez ?

-J'ai extrêmement mal (T/P) tu sais, j'ai du mal à me concentrer sur mon travail. Il est peut-être cassé ! Tu imagines si ça défigurait mon beau visage ?"

-Ne dis pas de bêtise et laisse-moi monter sur tes genoux. Je vais mettre de la glace. Travail pendant ce temps là.

Sans rechigner, il la laissa s'installer. Son petit visage concentré et ses petites mains s'activant sur son visage lui donnaient une irrépressible envie de sourire.

Atsushi reçu un nouvel appel de la doctoresse qui lui demandait cette fois de venir l'aider.

(T/P) avait un peu honte que son amie exploite le jeune employé pour elle. Si elle avait pu, elle se serait débrouillée toute seule.

"-Tu sais, ça lui fait plaisir de rendre service. Remercie-le et il sera aux anges.

-Je prends note."

Quand tous deux furent de retour. La demoiselle se senti encore plus mal.

"-Yosano, tu as dévalisé combien de magasin ?

-Ho comme tu exagères, j'ai juste acheté deux trois tenues voilà tout.

-Mais il ne m'en fallait que deux au maximum.

-Chut ! Arrête de jouer les rabat-joies et essaye les."

C'est ici que la torture commença réellement. D'abord (T/P) essaya les tenues qu'elle porterai dans la journée et le lendemain. Jusque là tout allait bien. Elles étaient agréable à porter et pas trop compliquées à enfiler.

Vint ensuite l'affreuse robe de princesse rose bonbon et pleine de froufrou. La demoiselle aurait voulu disparaitre sous terre. Surtout que Dazai prenait tout en photo.

Après cela, elle essaya une grenouillère panda qui était plutôt confortable.

Yosano lui ordonna de tester le style punk. Elle eu un peu de mal avec tous les accessoires et se dit que définitivement, elle avait hâte que ça se termine.

S'en suivit la cowgirl puis la ninja et la sorcière, la fée, la danseuse, la mafieuse ce qui tira un sourire en biais au brun, la détective un passage obligatoire que Rampo ne put s'empêcher de commenter, la médecin, la footballeuse et tout un tas d'autres costumes tous divers et variés.

Quand enfin elle eu terminé, elle se dit que plus jamais elle n'entrerai dans un magasin de vêtement.

Et voilà, j'espère que ça vous aura plu ! Désolée d'avoir mis aussi longtemps à poster mais entre les cc et les partiels qui arrivent, j'ai très peu de temps. Priez pour moi qui doit rédiger six pages d'un devoir de philo alors que je suis en fac d'anglais et que j'ai presque jamais réussi à avoir la moyenne dans cette matière de fous. Enfin bref, j'ai fini celui de psychologie, c'est déjà pas mal. Mais ce n'est pas ce qui vous occupe ici. N'hésitez pas à me donner votre avis ou des idées que vous voudriez voir rédigées, même si c'est dans l'histoire principale ! Prenez soin de vous, bye-bye !

Osamu Dazai x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant